Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Festival Beauregard #3 (édition 2011) - Samedi
Repeaters - Jesus Christ Fashion Barbe - Agnes Obel - Herman Düne - Morcheeba - Cold War Kids - Aaron - Concrete Knives - ZZ Top - Stromae - Do Brasilians  (Château de Beauregard, Hérouville Saint-Clair, Calvados)  Samedi 2 juillet 2011

La nuit avait été courte. Rentrés après le set des Birdy Nam Nam la veille, il fallait aller se sustenter avant de retourner sur le site de Beauregard. C'était donc l'occasion de faire un peu de tourisme. Direction Beuvron-en-Auge pour un plat de tripes à la mode de Caen en guise de petit déjeuner. La nourriture de festival étant traditionnellement à base de patates, frites, saucisses et autres sandwiches autant se faire plaisir avant la longue journée qui nous attendait.

En terrasse au soleil au restaurant, nous avons un peu laissé défiler les heures. Encore une fois, nous arrivons juste à temps pour assister à la fin du concert des Repeaters. Les quatre caennais font du rock garage estampillé 60's, de celui qu'on retrouve sur les excellentes compils Nuggets. L'orgue Hammond est mis en avant, les guitares saturent, la voix feule. Les deux chansons auxquelles nous assistons rappellent le son des Hives ou des Detroit Cobras. Une entrée en matière énergique pour ce samedi.

Jesus Christ Fashion Barbe, autre groupe local est composé de trois types dont, malgré leur nom, seulement deux portent la barbe. Leur style se situe entre le rock et la musique d'inspiration cajun. C'est enjoué, rapide, authentique et interprété sans frime. La batterie, en particulier, participe à leur donner ce son d'un rock des bayous, ce bon son voodoo avec les deux gros fûts sur lequel le batteur s'acharne. Ça fait penser aux Black Angels en plus pop. Le trio doit passer cet été aux Vieilles Charrues. Jesus Christ Fashion Barbe, malgré leur nom imprononçable, est une chouette découverte dont on entendra certainement de nouveau parler bientôt.

Direction les demi-finales nationales d'Air guitar animées par un présentateur dont la voix part bizarrement dans les aiguës, une voix comme celle du méchant dans Police Academy. La vice-championne de France ouvre la compétition, suivi du champion de Normandie qui se lance dans une air interprétation de "Gay bar" d'Electric 6. Il y a des costumes, des déguisements et beaucoup d'auto-dérision. Par exemple, à la question posée par le MC à la voix de larsen "Tu as fait beaucoup de démonstration dans des magasins de hifi ?", la championne de France répond "Oui. Beaucoup de dépressions aussi".

Entre deux concurrents, le présentateur donne sa définition de l'air guitar, "C'est comme la masturbation, ça ne sert à rien, mais ça fait du bien et tout le monde pratique" ou encore "L'air guitar est au rock'n'roll ce que le couteau est à la purée, c'est inutile mais indispensable". Pop The Fish, aperçu la veille sur la grande scène, participera également au concours. Mais nous abandonnons cette demi-finale pour nous diriger vers la scène où se produit la prochaine artiste.

Étonnamment, Agnes Obel est accueillie par un public qui scande son prénom. Elle démarre dans une formation piano/violoncelle, accompagnée d'Anna Muller. Les deux sont ensuite rejointes par une harpiste. Détendue, visiblement contente de l'accueil, Agnes Obel enchaîne les chansons, concentrée mais souriante. Le son est excellent. Elle livre une prestation tout en douceur devant un public attentif.

Vêtue de blanc, les cheveux maintenus en arrière par une tresse, Agnes Obel commence avec "Beast" puis "Let's go tonight" avant d'interpréter une nouvelle chanson au nom encore indéfini "We call it "New song" si far". La blondeur d'Agnes Obel sous le soleil, la présence diaphane de ses deux musiciennes à la harpe et au violoncelle tranchent avec l'ambiance du festival jusque là plutôt rock. Le public écoute religieusement "Riverside" et nous sommes nombreux à être traversés de frissons malgré la chaleur. Par son charme, sa présence mystique et ses chansons empreintes de spiritualité, Agnes Obel a retourné le public de Beauregard. Une ambiance étonnante en festival à un horaire de plein soleil.

Après ce pur moment d'émotion, il est temps de se précipiter vers la deuxième scène où Herman Düne va bientôt jouer en formation réduite, guitare/basse/batterie. Contents de revenir sur le festival, leur folk acoustique et électrique, sans fards, séduit le public. Il faut néanmoins un peu de temps avant de rentrer dans le concert. D'abord c'était un piège que de passer après Agnes Obel. Ensuite, le soleil couchant derrière la scène fait cligner les yeux, et la poussière crée un voile qui rend le plateau invisible pour les deux tiers des spectateurs. L'ambiance s'installe doucement. A à peine trente mètres de la scène, en plein milieu, une gamine de 4 ans joue et danse sur la musique. Trois jeunes types sont encore allongés au soleil entre la scène et la régie. On ne peut pas dire qu'on se bouscule vraiment.

Les Herman Düne interpréteront beaucoup de morceaux de The rock dont le titre éponyme. On reconnaîtra aussi des extraits de Giant, dont le très réussi "Your name, my game". En fin de concert, "I wish that I see you soon" dans une version sautillante ou le mélancolique "Ah hears strange moosic" entraîneront les fans à taper dans leurs mains. En conclusion, un concert agréable malgré des conditions pas forcément idéales pour le public.

Morcheeba joue sur du velours. Ils arrivent avec, dans leur besace, une flopée de tubes imparables et connus de tous.

La présence de la divine Skye, sa voix de velours, enchantent le public dès les premières notes. Les mélodies pop et trip-hop s’enchaînent tranquillement. Les musiciens assurent, aux guitares Ross Godfrey muscle les versions sans trop en faire.

Skye absente du groupe pendant une décennie n’est revenue que l’année dernière, c’est pourtant elle qui incarne ce groupe. Même alors qu’elle ne faisait plus partie de Morcheeba, la pochette du best of qui est sorti était illustrée par une photo d’elle et d’elle seule. Vêtue d’un collant moulant, de chaussures à talons (très) hauts, elle porte un haut rouge plissé dont la traîne flotte au vent. Enfin pas vraiment au vent puisqu'un énorme ventilateur en devant de scène la rafraîchit. On ne boudera pas notre plaisir de voir Skye sourire au public, sa peau dorée par le soleil couchant. Elle est simplement magnifique.

Quant aux chansons, que ce soit les anciennes telles que "Trigger hippie" ou les plus récentes extraites de Blood like lemonade sorti l'année dernière, toutes rencontrent un succès équivalent. On entend parfois le rire de Skye dans le micro. Ces musiciens prennent vraiment plaisir à jouer ensemble, et ce jour-là devant ce public-là. Ils concluent leur set par un "Rome wasn't built in a day" que la foule reprend en choeur. Ce concert fut l'un des plus beaux moments du festival.

On enchaîne avec les très attendus Cold War Kids. A peine les quatre américains sont-ils sur scène qu'une enceinte commence à cracher. Nathan Willet a abandonné sa coupe de surfeur pour une brosse très sage. La prestation est énergique, mais équilibrée entre des morceaux du premier album et des chansons du récent Mine is yours. Ils interprètent "Hang me up to dry", "Saint John" ou leur tube "Hospital bed". Les récents "Louder than ever" ou "Skip the charade" rencontrent néanmoins moins de succès. Et bien que "Bulldozer" soit interprété avec beaucoup de conviction, il semble manquer quelque chose. Leur prestation n'a pas convaincu et au final les festivaliers restent sur leur faim.

On continue dans la programmation pour jeunes avec Aaron et sa pop à midinettes. Je sais que je vais me faire des ennemis jusque dans les chroniqueurs de ce site, mais on est là en présence de ce qu'on pourrait appeler une escroquerie. Que fait donc ce groupe ici ? Il n'y a aucune originalité dans leurs compositions qui rappellent Coldplay en (encore) plus mou. Et encore moins dans les paroles où lorsque l'auteur a trouvé une phrase, il la répète en boucle dix fois de suite. Un groupe dans le succès repose uniquement sur le physique du chanteur pourra-t-il durer plus de cinq ans lorsque celui-ci prendra de la bedaine et commencera à perdre ses cheveux ?

Le show se décline avec énormément de lumières pour masquer le peu d'intérêt de la musique. Les musiciens assurent, très professionnels, voire requins de studio, mais froids. Collées aux barrières du premier rang, des gamines hystériques répondent à toutes les grosses ficelles, complètement usées, dont ne manque jamais de faire usage le chanteur : "je coupe le public en deux, puis je fais chanter d'abord à droite puis à gauche", ensuite on n'échappe pas à "d'abord les filles, puis les garçons". Enfin on a aussi droit au coup du "vous reprenez tous ensemble avec moi". "Lily" est certes un énorme succès, mais c'est vraiment la sinécure.

En ayant attiré les lycéennes acnéïques armées de leur appareil dentaire, le festival tirera certainement pécunièrement bénéfice de la présence de ce groupe. Par contre, la musique n'en sortira pas grandie. Mais après tout, tant mieux si cela permet un public peu aventureux de découvrir d'autres d'artistes plus confidentiels mais largement plus intéressants qu'Aaron. Aaron est exactement le type de groupe grâce auquel en festival on peut tranquillement aller faire pipi.

Mais que la pop des Concrete Knives est rafraîchissante après Aaron !

Le groupe bas-normand, récemment installé à Paris, donne dans la pop festive, fluorescente et acidulée.

Même si la coupe de cheveux, dans le style Mireille Mathieu, de Morgane au chant, n'est pas des plus sexy, son pantalon bleu lui sied à ravir.

L'ambiance devient très chaude, le public saute à l'unisson et tape dans ses mains. Les Concrete Knives visent du côté de CSS. Parfois on retrouve aussi du Tom Tom Club pour la rythmique. Le jeune groupe n'évite cependant pas quelques écueils, leurs chansons font alors un plat, évoquant plus les bambous de Philippe Lavil que les fêtes hédonistes de MGMT. Même si tout cela n'est pas abouti, leur pop est assez chatoyante pour qu'on ait envie de les suivre.

Vient alors le moment de voir  ZZ Top. Ils sont impériaux, bluesy et livrent un grand numéro. Car,  autant le dire, on n'est plus exactement dans la musique mais dans un numéro de magiciens. Les vieux papys roublards, Dusty à la barbe blanche, et Bill à la barbe rousse ont une technique et un savoir-faire sans faille. Le show est certainement tous les soirs le même, mais il est carrément jouissif.

Leur blues, que ce soit "Under pressure" ou "Cheap sunglasses", est assez traditionnel pour que tout le monde s'y retrouve, mais il est surtout habillé en véritable show de Las Vegas. Il y a les costumes, les lunettes de soleil, les chapeaux, mais aussi des têtes de mort et une batterie posée sur un as de pique géant. Derrière le trio texan, sur un écran, défilent les images d'une Amérique caricaturale avec les étoiles de shérif, les tiags, les longues routes, les jeunes skateurs...

Puis les voilà qui reprennent "Hey Joe" de Hendrix. A la fin du concert, on retrouve les ZZ Top qu'on a connu pendant les années 80, ceux qui chantaient "Legs" et "Gimme all your lovin". Les clips avec leur fameuse voiture Eliminator sont diffusés derrière eux, et pour l'occasion ils ressortent les guitares à moumoute. Mais c'est surtout lorsqu'ils entonnent "La grange" que le public exulte. Le morceau est un classique totalement imparable qui met tout le monde d'accord.

A la fin du concert, un album de photos est projeté qui résume leur carrière. On les voit ados, commençant à jouer ensemble alors qu'ils n'ont pas encore de poils au menton, jusqu'à devenir ce groupe à la limite du parodique mais franchement extraordinaire. Aucun doute qu'ils prennent encore plaisir à jouer. Quant au présentateur de la compétition d'air guitar, il avait raison : c'est fou le nombre de personnes qui pratiquent le air guitar lorsque les ZZ Top jouent.

Le show se termine, pour un public plus jeune Stromae rentre sur la petite scène. Le seul moment drôle sera lorsque pour annoncer son tube "Te quiero", il demandera au public comment on dit je t'aime en espagnol et que celui-ci lui répondra à l'unisson "ti amo".

Après le blues de ZZ Top qui vous attrape par les tripes, la musique de boîte de sous-préfecture de Stromae est une véritable punition. On décide alors de vite partir, et tant pis pour Do Brasilians auprès desquels on s'excuse. Mais franchement Stromae, même avec des boules Quies, ce n'était pas possible. La journée était longue, mais que de bons moments !

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

Jesus Christ Fashion Barbe en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2012 - samedi & dimanche
La chronique de l'album Philarmonics de Agnes Obel
La chronique de l'album Aventine de Agnes Obel
La chronique de l'album Citizen of Glass de Agnes Obel
Agnes Obel en concert au Festival de Beauregard #6 (édition 2014) - dimanche
Agnes Obel en concert au Festival Europavox 2017 - Vendredi 30 juin
La chronique de l'album Mash Concrete metal mushroom. de Herman Düne
La chronique de l'album Giant de Herman Düne
La chronique de l'album Mariage à Mendoza de Herman Dune
La chronique de l'album The Portable Herman Dune Vol. 1 de Herman Dune
Herman Düne en concert au Festival Antifolk 2003
Herman Düne en concert au Festival Antifolk 2003 - 2ème
Herman Düne en concert au Festival Mo'Fo 2003
Herman Düne en concert à Pizzeria du Soleil (2 février 2004)
Herman Düne en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2005 (jeudi)
Herman Düne en concert au Trabendo (26 novembre 2005)
Herman Düne en concert à La Cigale (4 novembre 2006)
Herman Düne en concert à Angers (22 novembre 2006)
Herman Düne en concert au Festival Les Nuits Parisiennes 2006
Herman Düne en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2007 (samedi)
Herman Düne en concert au Festival Primavera Sound 2007 (jeudi)
Herman Düne en concert au Festival des Vieilles Charrues 2007 (samedi)
Herman Düne en concert au Festival La Route du Rock 2007 (mercredi)
Herman Düne en concert au Festival La Route du Rock 2007 (jeudi)
Herman Düne en concert au Fil (9 avril 2009)
Herman Düne en concert à La Vapeur (15 avril 2009)
Herman Düne en concert au Festival Furia Sound 2009
Herman Düne en concert au Festival Les Nuits de l'Alligator 2010 (samedi 27)
Herman Düne en concert au Festival International de Benicàssim #17 (vendredi 15 juillet 2011)
Herman Düne en concert au Festival Rock en Seine 2011 - Programmation du vendredi
Herman Düne en concert au Festival Rock en Seine 2011 (vendredi 26 août 2011)
Herman Düne en concert au Festival We Love Green #2 (édition 2012)
Herman Düne en concert au Festival We Love Green #2 (édition 2012) - Dimanche 16 septembre
L'interview de Herman Düne (2 novembre 2006)
La conférence de presse de Herman Düne (15 août 2007)
La chronique de l'album Dive deep de Morcheeba
Morcheeba en concert au Festival des Vieilles Charrues 2008
Morcheeba en concert au Festival Solidays #13 (édition 2011) - samedi
Morcheeba en concert au Festival Crazy Week !!! #5 (édition 2014) - jeudi
Morcheeba en concert au Festival Les Vieilles Charrues #31 (édition 2023)
Cold War Kids parmi une sélection de singles (janvier 2007)
La chronique de l'album Robbers and cowards de Cold War Kids
La chronique de l'album Mine is yours de Cold War Kids
La chronique de l'album New Age Norms 1 de Cold War Kids
Cold War Kids en concert au 106 (28 juin 2007)
Cold War Kids en concert au Festival des Inrocks Motorola 2007
Cold War Kids en concert à L'Aeronef ( 25 mai 2009)
Cold War Kids en concert à Paléo Festival #34 (2009)
Cold War Kids en concert au Festival Garden Nef Party #4 (2009)
Cold War Kids en concert au Festival Solidays #13 (édition 2011) - vendredi
La chronique de l'album Queens live in caskets de Aaron Stout
La chronique de l'album Cabaret Sauvage de AaRON - Liseaupiano
La chronique de l'album Dogs in Spirits de Anna Aaron
La chronique de l'album Neuro de Anna Aaron
La chronique de l'album Home de Kian Soltani & Aaron Pilsan
La chronique de l'album Pallas Dreams de Anna Aaron
Aaron en concert au Festival FNAC Indétendances 2007 (vendredi)
Aaron en concert à L'Aéronef (mardi 16 novembre 2010)
Aaron en concert au Café de la Danse (mercredi 5 décembre 2012)
Aaron en concert au Festival Les Femmes S'en Mêlent #17
Aaron en concert au Festival MaMA 2015 (6ème édition)
Aaron en concert au Festival Les Francofolies de La Rochelle #32 (édition 2016)
Aaron en concert au Festival Hop Pop Hop #3 (édition 2018) - vendredi 14
Aaron en concert au Festival Rockomotives #26 (édition 2018) - Vendredi
L'interview de AaRON (6 mars 2007)
L'interview de Anna Aaron (26 janvier 2012)
La chronique de l'album Our Hearts de Concrete Knives
Concrete Knives en concert au Festival Rock en Seine 2011 - Programmation du dimanche
Concrete Knives en concert au Festival Rock en Seine 2011 (dimanche 28 août 2011)
Concrete Knives en concert au Festival Crazy Week !!! #4 (édition 2013) - vendredi
Concrete Knives en concert au Festival Fnac Live #3 (édition 2013) - Samedi
Concrete Knives en concert au Festival La Route du Rock #23 (Samedi 17 août 2013)
Concrete Knives en concert au Festival Beauregard #10 (édition 2018) - Lundi 9 juillet
Stromae en concert au Festival Beauregard #6 (édition 2014)
Stromae en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort #26 (édition 2014) - vendredi
Stromae en concert au Festival Les Vieilles Charrues 2014 - Vendredi
Stromae en concert au Festival Rock En Seine #18 (édition 2022)

En savoir plus :
Le site officiel du Festival Beauregard
Le Myspace du Festival Beauregard

Crédits photos : Pascale Borrell


Laurent Coudol         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :

• A écouter aussi sur Froggy's Delight :

Agnes Obel (2 septembre 2010)
Erik Truffaz Quartet et Anna Aaron (27 septembre 2012)
Anna Aaron (25 janvier 2012)


# 29 septembre 2024 : On se réchauffe l'esprit

Coup de froid sur le pays, tant en terme de météo que de politique. Réchauffons nos petits coeurs avec de la musique, des livres du théâtre et la MAG#90...
Pensez aussi à nous suivre sur nos réseaux sociaux.

Du côté de la musique :

"En songe, Solovoice 1" de Anne Warthmann
"Broadway rhapsody" de Cyrille Dubois & Ensemble ArteCombo
"Rachmaninoff for two" de Daniil Trifonov & Sergei Babayan
"Heart starter" de Last Temptation
"L'alto lyrique" de Loan Cazal
"Avanti" de Malice K
"Virtuosi" de Romain & Thomas Leleu
"The first exit" de Tramhaus
Nouvelle saison du Morceau Caché ! premier épisode "Passerelles, Partie 2"
et toujours :
"Sula Bassana" de 20Syl et Christophe Panzani
"And then winter came again" de Francesco Bearzati & Federico Casagrande
"Little bit of soul" de Little Odetta
"Free fall" de Nairam
"Chamber songs" de We Hate You Please Die
"Luck and strange" de David Gilmour
"Trénet en passant" de Guillaume de Chassy
"Happenings" de Kasabian
"Talkie talkie" de Los Bitchos
"Born horses" de Mercury Rev
"Moon Mirror" de Nada Surf
"And the lord don't think I can handle it" de The Silver Lines

Au théâtre :

"Variations Pirandelliennes" au Théâre de Poche Montparnasse
"Dany Parmentier, gourou" au Petit Palais des Glaces
"Formica" au Théâtre des Gémeaux Parisiens
"Les liaisons dangereuses" à la Comédie des Champs Elysées
"Lettres d'excuses" au Théâtre Le Lucernaire
"The loop" au Théâtre des Béliers Parisiens
"Sur tes traces" au Théâtre de La Bastille
"L'art de ne pas dire" au Théâtre Saint-George
"Belvédère" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"La longue route" au Théâtre Le Funambule Montmartre
"Les marchands d'étoiles" au Théâtre Le Splendid
"Rentrée 42 Bienvenue les enfants" au Théâtre Comédie Bastille
des reprises :
"Frida" à la Manufacture des Abbesses
"La parure" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Looking for Jaurès" au Théâtre Essaïon
"Pourquoi Camille ?" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Van Gogh, deux frères pour une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Glenn naissance d'un prodige" au Théâtre Montparnasse
"Majola" au Théâtre Essaïon
"Gisèle Halimi, une farouche liberté" au Théâtre La Scala
"L'odeur de la guerre" au Théâtre La Scala
"Le premier sexe" au Théâtre La Scala

Du côté de la lecture :

"Les voisins" de Diane Oliver
"18 Barnfield hill" de Robert Goddard
"Histoire de l'Europe, Tome 1" de Violaine Sebillotte Cuchet
et toujours :
"Only lovers left alive" de Dave Wallis
"Amours manquées" de Susie Boyt
"Blackouts" de Justin Torres
"Emanciper ou contrôler" de Pascal Clerc
"Le débarquement de Provence" de Claire Miot
"Les présences imparfaites" de Youness Bousenna
"Seul restait la forêt" de Daniel Mason
"Après ça" de Eliot Ruffet
"Archipels" de Hélène Gaudy
"Dogrun" de Arthur Nersesian
"Le syndrome de l'Orangerie" de Grégoire Bouillier
"Les âmes féroces" de Marie Vingtras
"Les deux visages du monde" de David Joy
"S'aimer dans la grande ville" de Sang Young Park
Nos polars de l'été :
"7m2" de Jussi Adler Olsen
"La meute" de Olivier Bal
"Les effacées" de Bernard Minier
"Norferville" de Franck Thilliez

Il est toujours temps d'aller au cinéma ou regarder un bon film :

nouveauté :
"Papa est en voyage d'affaires" de Emir Kusturica

"Gondola" de Veit Helmer
"Aventurera" de Alberto Gout
"Karmapolice" de Julien Paolini
un DVD avec "Berlin boys" de David Wnendt
"Saravah" de Pierre Barouh
"La récréation de juillet" de Pablo Cotten et Joseph Rozé
"El profesor" de Marie Alché & Benjamin Naishtat
"Six pieds sur terre" de Hakim Bensalah
"Nouveau monde" de Vincent Capello
et toujours :
"La Gardav" de Thomas et Dimitri Lemoine
"Heroico" de Davis Zonana
"Roqya" de Saïd Belktibia
"L'esprit Coubertin" de Jérémie Sein

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=