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puce Philippe Catoire, Stéphane Cottin, Bernard Malaka et Marie Perrin
Interview  (Vincennes)  27 octobre2004

Nous avons rencontrés les membres de La Compagnie La nuit et le moment qui joue en ce moment "L'Oeuf" de Félicien Marceau, un texte décapant et riche d'enseignement, qui s'inscrit dans la ligne du théâtre vivant.

L'interprétation tout à fait remarquable des cinq comédiens, dont quatre endossent tour à tour une trentaine de rôles différents, nous a donné envie de les rencontrer.

Passionnés, généreux, partageant et défendant la même idée du théâtre, ils ont foi en l'homme et dans leur métier.

Les comédiens qui jouent dans" L’œuf" font-ils tous partie de la Compagnie La nuit et le moment ?

Stéphane Cottin : Nous faisons tous partie de la Compagnie La nuit et le moment puisque le spectacle a été créé par La nuit et le moment Théâtre avec nous tous. Le spectacle a été joué au Théâtre Mouffetard et il s’est arrêté de manière un peu rapide à notre goût car nous n’avions pas le sentiment d’avoir pu exploiter à fond cette pièce. Pendant deux ans, nous avons seriné Christophe Lidon pour reprendre le spectacle. Un jour, il nous a dit : "Débrouillez –vous ! Créez votre structure et reprenez ce spectacle !" Sur ces paroles, j’ai crée ma compagnie pour reprendre ce spectacle, le produire sur Avignon ; c’était en fait une production collective puisque nous sommes tous partis gratuitement pour soutenir ce spectacle. Cela a donné lieu à une tournée avec Atelier Théâtre Actuel et à notre venue ici au Théâtre Daniel Sorano à Vincennes. C’est un spectacle La nuit et le moment théâtre produit par Léo théâtre.

La structure que vous avez créée est purement conjoncturelle pour ce spectacle ou a-t-elle d’autres projets ?

Stéphane Cottin : L’œuf en a été l’occasion. La création de cette structure est intervenue à un moment opportun pour moi. La compagnie a bien sur d’autres projets. Moi-même j’ai des projets de mise en scène et de production pour d'autres spectacles de Christophe.

Quels sont pour vous l’intérêt le plaisir de jouer un texte un peu ancien et d’un auteur qui n’est plus très joué ?

Bernard Malaka : Nous, et puis aussi le public, nous trouvons que ce texte n’a pas pris une ride. Il contient toujours des phrases ou des répliques qui parlent à l’inconscient de chacun. Cela tient à l’écriture. Ainsi par exemple hier soir, des spectateurs nous ont dit : Tiens, cela ferait un bon boulevard ! Je laisse toujours dire. Et ensuite, ils ont rajouté : Mais ça dit quand même des choses !. La pièce parle de la vie mais par petites touches dans lesquelles chacun de nous est amené à se reconnaître. Ce texte aborde des sujets toujours d’actualité et agite l’esprit. Nous avons beaucoup travaillé sur ce texte sur son contenu mais aussi pour découvrir de nouvelles formes. C’est une de nos grosses motivations et nous aimons défendre ce texte.

Vous inscrivez-vous dans la démarche du théâtre vivant en ce qu’il veut notamment montrer l’homme à l’homme ?

Stéphane Cottin : C’est bien la raison pour laquelle ce texte n’a pas vieilli même si du point de vue de la forme on peut dire qu'il est daté, en termes de date d’écriture. Ce qui fait sa grandeur c’est effectivement qu’il montre l’homme à l’homme, le mythe profond de l’intégration de l’homme parmi les siens dans le milieu qui l’entoure. Il parle de l’homme au sens premier du texte et c’est ce qui en fait un vrai texte de théâtre. Et il n’est pas près d’être obsolète, ni dépassé.

Bernard Malaka : Il parle de l’homme dans son intimité. Il parle de petites choses qui parlent à l’intime. L’effet n’est pas toujours aussi flagrant que cela mais cela agit en retour, comme l’effet kiss cool. Des spectateurs sont même assez touchés par ce texte et viennent nous parler de leur vie. La finalité est là, et même au-delà à de ce que nous espérions.

Vous avez évoqué le travail sur le texte. Quel a été le rôle du metteur en scène ?

Stéphane Cottin : Le texte n’a pas été modifié dans l’écriture. Il y a 1 ou 2 personnages qui ont sauté. Par exemple, il y avait 3 sœurs Berthelet. Il n’a pas été réactualisé. L’écoute particulière de Christophe Lidon sur le texte est de le mettre en correspondance par exemple avec le cinéma de Bertrand Blier. Toutes les adresses au public, la manière de couper dans la temporalité de la narration lui rappellent le cinéma de Blier et donc il nous dirige dans ce sens là et cela donne à ces phrases écrites dans un style daté une consonance très moderne.


Bernard Malaka : La grosse idée aussi c’est que lors de la création la pièce comportait une distribution d’une trentaine de comédiens avec des changements de décor énormes pour un spectacle qui durait 2 h 15. C’était une grosse machinerie. Là on se retrouve sur une espèce d’équilibre, de fil avec uniquement la performance de cinq comédiens qui sont là pour changer de personnages en 2 secondes. Cette forme est très nouvelle.

Justement, s’agissant des comédiens. Un peu moins pour vous Bernard Malaka qui interprétez uniquement si l’on peut dire le rôle de Magis qui est plus linéaire, mais pour les autres, comment gérez-vous ces changements quasiment à vue ?

Philippe Catoire : Il ne faut pas se poser la question. Il faut être entièrement le personnage que l’on joue et quand on passe derrière le paravent il ne s’agit que de choses concrètes : on pense au chapeau, aux lunettes sans réfléchir à ce que l’on va être dans les secondes suivantes. C’est devenu, à force de travail, comme un réflexe et on est l’autre. Comment cela se passe, je ne le sais pas.

Marie Perrin : Derrière les paravents, nous avons un regard sur les autres comédiens qui se transforment. Pendant le changement, nous voyons le changement pour devenir le personnage. (ndlr : s’adressant à Stéphane Cottin) On te voit devenir Joseph.

Le spectateur attentif constate également une certaine métamorphose physique.

Bernard Malaka : Moi qui ne suis pas dans le même exercice je les vois, je constate ces transformations physiques

Marie Perrin : Tout à fait. Il y a de spectateurs qui m’ont demandé combien nous étions.

Stéphane Cottin : Nous ne sommes que 5. Nous n’enterrons personne avant le salut !

Et vous, pour tenir la scène en maître du jeu du début à la fin ?

Bernard Malaka : J’ai le texte.(rires) Ce qui tombe bien par ce que sinon je serais un peu embêté. Magis est un homme qui vient raconter sa vie comme devant un tribunal car il a quand même commis une mauvaise action. Le tribunal c’est le public. Le but du jeu est d’arriver à être son propre avocat. Qu’à la fin, le public ne soit pas absolument contre Magis, en repoussant l’échéance le plus loin possible.

Marie Perrin : Le public ne t’en veut pas à la fin, il est avec toi.

Bernard Malaka : Oui mais il me juge.

Stéphane Cottin : La critique du journal La croix était super :" La question :valait-il mieux qu’il rentre dans le moule ?" Il s’agit d’une question qui terrorise. On dit non mais en même temps cela veut dire qu’on cautionne ce meurtre. La pièce nous enserre donc dans un piège.

Bernard Malaka : C’est une question essentielle, existentielle.

Stéphane Cottin : Quel parti peut-on prendre à la fin ?

Bernard Malaka : L’enjeu est de maintenir le trouble jusqu’au bout et c’est très jouissif.

Marie Perrin : Une autre question est aussi : "Le meurtre parfait existe-t-il ?"

Bernard Malaka : C’en est la preuve…pour tous les amateurs.

Pouvez-vous nous dévoiler quelques projets de votre compagnie ?

Stéphane Cottin : Il faut préciser ce que l’on met sous le terme de troupe de nos jours. Ce n’est plus qu’un plaisir de travailler ensemble. Une troupe constituée qui aurait les moyens de garder les acteurs en permanence cela n’existe plus de nos jours qu’à la Comédie Française..

Bernard Malaka: …et avec Mouchkine…

Philippe Cottin : Mouchkine a aussi de longues périodes sans activité.

Bernard Malaka : Ce sont des familles.

Stéphane Cottin : Un projet qui me tient particulièrement à cœur et qui est le prochain objectif de la compagnie est de monter L’avare de Molière avec Bernard dans le rôle d’Harpagon. Nous avons également fait une lecture d’une pièce inédite de Félicien Marceau qui a pour titre L’année du président au Théâtre Daniel Sorano qui a remporté un succès, je ne dirais pas inattendu car on l’espérait, …

Bernard Malaka : …surprenant…

Stéphane Cottin : oui surprenant dans son ampleur. Ce qui fait qu’il n’est pas impossible que nous nous attelions à cette pièce.

Pour quelle visibilité ?

Stéphane Cottin : 2005 me paraît un peu juste. Plutôt 2006.

La compagnie vous permet-elle de monter des pièces que vous ne pouvez pas trouver ailleurs ?

Stéphane Cottin : En ce qui me concerne, c’est la réponse que j’ai donné à ce mur sans aucune fissure qui se dresse de plus en plus haut devant nous et qui fait qu’il devient de plus en plus compliqué de faire des choses intéressantes. Il m’est arrivé à plusieurs reprises de jouer dans des projets que je ne n’aimais pas artistiquement parce qu’il fallait que je travaille. Donc il arrive un moment où on se dit : "Je vais arrêter de vouloir qu’on me désire et je vais désirer les projets dans lesquels je suis". Cela me rend beaucoup plus actif et cela me satisfait.

Comme une bulle d’oxygène ?

Stéphane Cottin : Ce n’est pas une compensation, quelque chose vers laquelle on se rabat par dépit ou par déception. C’est une façon différente de sortir du marasme ambiant. Les artistes redeviennent les moteurs pour que les décisions de production soient davantage entre les mains des artistes que de gens qui sont éloignés de la fabrication du spectacle.

Bernard Malaka : Et puis aussi échapper à ce discours autour du théâtre qui n’est pas bon en ce moment sans pour cela agir de son côté. C’est la possibilité d’aller dans son propre désir, faire aussi des choses qui ne plairont pas, mais au moins d’avoir essayé. C’est une première réponse. C’est le fait aussi qu’avec le temps nous nous connaissons bien, nous connaissons les possibilités de chacun et cela permet déjà de ne pas se tromper au niveau de la distribution des rôles car le casting est à la base d’un succès.

Vous n’êtes pas des comédiens débutants. Donc avec le recul, quel regard avez-vous sur l’évolution du théâtre ?

Bernard Malaka : C’est un sujet des discussions entre comédiens. Et à chaque fois, il n’y a pas de réponse. Le théâtre est aussi le reflet d’une société. Il y a eu des quelques réponses concrètes avec le ministère Lang pendant lequel il y a eu beaucoup d’argent injecté dans la culture. Et automatiquement dès qu'il y a de l’argent, il y a des choses qui se font. Ce qui veut pas dire que ce sont des choses de qualité à chaque fois. Mais cela entraînait une vie. Avec les réductions de subventions cela devient plus difficile.

Le contexte économique est difficile pour tout le monde. C’est lié. Il y aussi une forme d’esprit qui change un peu, un manque de repères à tous les niveaux, chez les politiques et les autres. Le déséquilibre général affecte même le théâtre. Alors qu'il y a des sujets, des choses à dire justement en ce moment. Il est vrai que le théâtre surtout dans le privé est devenu très insaisissable. Une pièce qui commence en septembre on ne sait pas si elle va rester à l’affiche jusqu’à Noël…

Stéphane Cottin : …parce que les gens qui décident quoi va se jouer où l’envisagent d’une manière qui confine à l’absurde : "Mon Dieu quels ingrédients, quelle pierre philosophale vais-je pouvoir inventer pour remplir ma salle ?" sans songer à ce que je veux. "Qu’est-ce que je veux faire avec cet outil ?". Je ne connais pas très bien le subventionné qui très hermétique pour ceux qui n’ont pas fait des écoles nationales mais ce que j’entends dans le privé autour de moi ce sont des gens avec des yeux comme des papillons dans des phares, affolés en train d’essayer de remplir leur salle sans prendre le temps de se poser pour dire : "Voilà j’en envie de parler de ça, j’ai envie de telle tonalité, j’ai envie d’apporter cela aux gens qui vont venir". La crise des intermittents a eu le mérite, chez certains d’entre nous, de nous faire poser des questions sur le sens que nous nous donnons à cette activité.

Bernard Malaka : La question fondamentale c’est :"Pourquoi fait-on ce métier ?". Au bout d’un moment on peut très bien s’endormir parce que l’on travaille régulièrement, on gagne sa vie. Quand l’obstacle survient, la vraie question se pose de savoir comment va-t-on le franchir, pour continuer, pour aller plus loin.

La démarche des théâtres est essentiellement économique actuellement.

Stéphane Cottin : Et ce qui est drôle c’est qu’ils se plantent économiquement.

Marie Perrin : Il en est de même pour l’ouverture des théâtres à 19 heures. Ils ne doubleront jamais le nombre de spectateurs. On comprend mal leur démarche.

Philippe Catoire : Ils espèrent en risquant 2 spectacles que l’un des 2 marche. Si celui de 20h30 se casse la gueule ils mettent l’autre à laplace.

Marie Perin : Donc les comédiens sont encore pris en otage !

Philippe Catoire : Absolument !

Stéphane Cottin : Je suis tout à fait d’accord. On peut sacrifier des troupes qui vont s’exposer dans certains créneaux. Je ne dis pas que l’on ne doit jamais avoir une démarche économique mais que l’on ne doit pas commencer par là. Notre meilleur exemple c’est José Paul qui depuis 3 saisons se bat pour des textes qu’il a trouvés lui-même avec des comédiens qui ne sont pas des stars et qui fait des cartons. Cela ne veut pas dire que les directeurs de théâtre n’en soient pas conscients mais on dirait qu’il n’y a pas d’apprentissage.

En de hors des projets de la compagnie, quels sont vos actualités et projets personnels ?

Marie Perrin : Je chante depuis deux ans dans un spectacle qui s’appelle "Piaf l’ombre de la rue" que l’on reprendra au Sentier des Halles à partir du 15 février 2005.

Bernard Malaka : Philippe et moi allons jouer à partir de novembre dans un spectacle qui s’appelle "Nathan le sage" de G.E. Lessing au Théâtre Sylvia Monfort. Le thème est la rencontre d’un musulman, d’un chrétien et d’un juif au temps des croisades. Donc un thème d’actualité.

Stéphane Cottin : Je vais me reposer un peu en novembre après les représentations de L’œuf à la Réunion et au Théâtre de Meudon.

Y a-t-il d’autres reprises prévues pour L’œuf ?

Stéphane Cottin : Il y a des choses…mais rien de concret pour le moment. Nous jouons ici avec bonheur et nous avons été merveilleusement accueillis par Patricia Monceaux, la directrice du théâtre, avec des conditions qui n’existent nulle part ailleurs en région parisienne.

Et, dernière question avant de vous laisser vous préparer : allez-vous au théâtre ?

En chœur : Oui !

Philippe Catoire : Nous jouons du mardi au samedi et j’y vais le dimanche et le lundi. J’ai vu "L’opéra de quat’sous" au Théâtre National de la Colline et "Le menteur" à la Comédie Française. La semaine dernière nous avons vu "Irma" au théâtre du soleil. Et puis j’irais voir "Le bourgeois gentilhomme" dont tout le monde parle mis en scène par Benjamin Lazare qui se jouera les 11 et 12 novembre au Trianon à Paris.

Bernard Malaka : Je suis allé voir "Traits d’union" de Murielle Magellan.

Philippe Catoire : "Avis aux intéressés" avec Didier Bezace et Jean Paul Roussillon au Théâtre de la Commune. C’est au théâtre que nous sommes le plus heureux.

Stéphane Cottin : "Nora (La maison de poupée)" d’Ibsen mis en scène par de Starmayer.

Marie Perrin : magnifique !

Bernard Malaka : Oui nous allons au théâtre !

Avez-vous le même regardeur qu’un spectateur ordinaire ?

Stéphane Cottin : Oui quand c’est réussi. Si on commence à analyser c’est que quelque chose en s’est pas produit.

Philippe Catoire : On apprend beaucoup à regarder les autres.

Bernard Malalka : Quand on voit un beau spectacle on est vraiment heureux. Et ça donne vraiment envie de continuer.

Il est temps de vous laisser pour la représentation de ce soir.

Stéphane Cottin : Mademoiselle, messieurs à la mise !

 

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