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Interview  (Paris)  mercredi 5 février 2014

De La Jolie Musique, c'est un collectif à géométrie variable chapeauté par Erwann Corré, auteur, compositeur et interprète qui vient de sortir son premier album, Mémoire Tropicale, après 10 ans d'écriture et de composition. Un album longuement mûri donc qui se positionne déjà comme une des plus belles réalisations françaises du moment. Rencontre avec Erwann Corré.

C'est notre première interview pour Froggy's Delight de De La Jolie Musique. Peux-tu nous résumer d'où vient De La Jolie Musique ?

Erwann Corré : J'ai grandi dans un milieu musical assez fort, avec des musiciens partout autour de moi. J'étais petit, années 80. J'ai des parents qui adoraient la musique, qui étaient musiciens. J'ai grandi au milieu de la musique, du dessin, de la peinture. J'ai appris la musique en entendant des choses à droite à gauche.

A un moment tu as quand même décidé de faire un groupe. Comment cela s'est passé ?

Erwann Corré : Au départ, comme j'ai grandi dedans, les instruments n'étaient pas pour moi automatiquement faits comme des instruments de musique, c'était plutôt un terrain de jeu. J'avais bien une guitare mais je m'en servais pour n'importe quoi. Je l'ai cassé d'ailleurs.

A l'époque il y avait ce live de Johnny Halliday façon Mad Max où il débarquait sur scène avec son espèce de combinaison en cuir. Moi je le refaisais dans mon appartement, j'avais ma petite panoplie en cuir et ma guitare dont je me servais comme une sorte de hache.

Mais en fait, c'est de fil en aiguille en rencontrant des potes, je me suis dit que la musique c'était plutôt sympa, que ce n'était pas forcément que celle de mes parents.

Et tu as alors commencé à suivre un chemin plus personnel ?

Erwann Corré : Oui, en me disant que la musique pouvait être quelque chose de faisable, comme le dessin ou les films.

Tu sais aussi dessiner ?

Erwann Corré : Au départ, j'étais plutôt destiné à être graphiste. Mais c'est trop… tu restes trop seul. Dessinateur, c'est un boulot de solitaire. La musique aussi mais il y a un moment donné où il se passe quelque chose avec d'autre gens. Mais j'ai fait du dessin oui, notamment des storyboard pour des films. J'aime le cinéma aussi. Mais quand même je trouve que la musique est le moyen le plus simple de raconter des histoires.

Donc on arrive à De La Jolie Musique. C'est un nom assez conceptualisé. Quelle est l'idée de ce nom qui se situe entre jeu de mots et quelque part une certaine prétention ?

Erwann Corré : Ce n'est pas prétentieux du tout ! Non non non ! C'est plutôt dans le clin d'oeil. Il y a cette idée que la musique doit être jolie et que quand ce n'est pas jolie, cela fait fuir les gens. Cela veut dire aussi que le groupe "vient de", tout ce que j'ai absorbé comme jolie musique.

Et puis c'est un projet qui est vieux, et qui ne se veut pas ancré dans une époque particulière. Quand j'ai commencé ce projet, il n'y avait pas vraiment… Il y avait (Sébastien) Tellier qui commençait un peu. Je ne me situe pas à ce niveau là. Quand Politics est sorti, j'étais complètement fou. Cela fait des années que j'essayais de faire Mellow Gold. Et quand Tellier a sorti Politics, j'étais emerveillé, je trouvais ce disque complètement fou et génial en me disant : "c'est dommage que ce ne soit pas en français". Mais oui, ce disque (Mémoire Tropicale) découle de Politics.

De La jolie Musique vient de là, c'est un ensemble. C'est un peu comme "l'incroyable vérité" de Tellier. Je me suis dit aussi pourquoi le nom du groupe ne serait pas aussi long qu'un nom d'album ? D'ailleurs, on faisait un morceau qui s'appelait "L'impossible échapatoire". Cela découlait de l'incroyable vérité.

C'est intéressant ce que tu dis à propos du nom de groupe, pourquoi ne serait-il pas aussi long et aussi élégant qu'un nom de chanson ?

Erwann Corré : C'est mystérieux et au final, ce n'est pas si mystérieux que ça. Cela annonce, sans prétention (bon après si je pensais que je faisais une sombre merde, ça fait longtemps que je me serais remis en question), ce que ça va être. Un peu comme une musique de film.

Merci d'assurer les transitions. Pour ce qui concerne les musiques de film, "Mémoire Tropicale", le premier morceau en dehors de l'intro est quand même très cinéma. Les premières mesures m'ont immédiatement évoqué Enio Morricone, la voix c'est Broadcast... On est sur un morceau qui fait très cinéma et amène des images à l'auditeur immédiatement.

Erwann Corré : Ce qui est amusant, c'est qu'il y a certes l'intro mais "Mémoire Tropicale" est un peu une intro aussi, qui revient d'ailleurs avec "The Last Unicorn". Je ne l'ai jamais considéré comme un morceau en soi, autonome, c'est pour cela qu'il est si court et si frustrant et que sur le disque il enchaîne tout de suite sur une autre couleur avec "Establishing Bling Bling".

D'ailleurs, Bling Bling devait être Blender. Bling bling devait être une face B mais il répondait si bien à "Mémoire Tropicale".

Effectivement, il y a une rupture très forte entre les deux morceaux.

Erwann Corré : On s'éloigne un peu de Mémoire Tropicale mais je voulais effectivement cela, comme je voulais cette intro avec les violons même si c'est arrivé plus tard. Par ailleurs, il y a tout un passage de l'album qui est parti parce qu'on n'a pas pu le faire. Il a été enregistré mais c'est vraiment beaucoup de travail, de prise d'instruments pour des formats très courts. Il devait y avoir une plage plus narrative où la fin de "The Last Unicorn" se transformait en une autre version de "Lili La Tigresse" plus tropicale à la Tom Zé, que l'on faisait sur scène avant. Un peu "L'homme à la tête de chou" quand ça part. Sans prétention encore une fois, c'était un truc qu'on se disait entre nous, je n'ai jamais pensé cela réellement.

En tout cas, le résultat fait que le disque paraît vraiment court.

Erwann Corré : Il y aurait eu cette plage en plus en effet, et "Denver", ce qui l'aurait amené à 35 minutes. Mais les disques que j'aime sont souvent courts.

En tout cas, cette frustration liée à la brièveté est bénéfique dans la mesure où l'on a envie de le remettre au début sans arrêt.

Erwann Corré : Oui et je suis content que cela ait marché. C'est vraiment une idée que j'ai depuis le départ. Il y a des trucs qui ont changé mais la narration est vraiment telle que je l'ai voulue. Je voulais vraiment cette espèce de tournerie infernale. Que la fin de la narration boucle avec le début du disque.

De La Jolie Musique est un groupe qui sait ce qu'il veut, ce n'est pas faire un groupe juste pour sortir un disque 6 mois après.

Erwann Corré : C'est 10 ans de travail, cet album en fait.

Et tu le vois comme un album neuf ou bien comme une sorte de Best of nécessaire pour passer à autre chose ?

Erwann Corré : C'est un album pour lequel je me suis débrouillé comme j'ai pu. J'aurai sans doute aimé qu'il sorte avant pour rebondir sur d'autres trucs, c'est sûr que là je suis un peu bloqué.

Tu as peur de remettre 10 ans pour le prochain ?

Erwann Corré : Non mais c'est délicat de composer. La narration au niveau des textes est compliquée. C'est étalé sur 10 ans et il y a des chansons qui sont des réponses à d'autres avec un espace entre elles de plusieurs années. Les dernières chansons de ce disque là, qui ont fait l'homogénéité de l'album, c'est-à-dire que je les ai composées en fonction de ce qu'il me manquait, de ce que je voulais pour la narration, datent d'il y a 3 ans. Mais pour moi c'était hier, c'est flippant de se dire cela mais le temps passe vite.

Les liants du disque que sont "Mémoire Tropicale", "Losange", "Plein Soleil" et "Establishing Bling Bling" même s'il a surgi de nulle part, ce sont les dernières compos.

Ce disque existe donc enfin physiquement. Es-tu déjà dans l'idée de passer à autre chose ?

Erwann Corré : Pour l'instant, j'ai envie de défendre ce disque. Ce disque est important et c'est un bel objet. C'est aussi pour cela que j'ai mis tant de temps à le sortir aussi.

Tu ne sens pas de lassitude ?

Erwann Corré : C'est un gros travail intellectuel de ne pas tomber dans cette folie pour que cela reste frais en permanence et ça reste frais aussi parce qu'on n'a pas peur de changer du tout au tout sur scène.

Il faut reconnaître que tes prestations scéniques sont assez différentes les unes des autres, tout comme les membres du groupe.

Erwann Corré : Oui mais ce sont des gens qui reviennent assez souvent quand même.

Parfois tu joues seul aussi, c'est la conséquence de contingence technique ?

Erwann Corré : C'est une fausse raison technique, c'est une envie que j'ai en moi mais je ne dirais jamais vraiment que c'est le cas, je crois. C'est aussi pour essayer des choses. Comme la session que nous avons faite pour Froggy's Delight où certains musiciens ne se connaissaient pas ou peu. Mais tout le monde avait déjà joué sur des morceaux. Mais c'est assez courant quand on est nombreux, car c'est difficile de réunir tout le monde à la fois.

D'ailleurs à propos de ce nombre incroyable de musiciens, De La Jolie Musique c'est d'abord toi et des musiciens qui jouent ce que tu leur demandes ou bien ces musiciens collaborent-ils à la composition des morceaux ?

Erwann Corré : C'est inconsciemment despotique, quand tu fais un projet il y a forcément un réalisateur qui donne la direction. Il y a des groupes qui arrivent à composer ensemble mais à la base, il y a quand même la note d'intention. Beaucoup de gens sont rentrés dans le projet par les compositions qu'ils ont écoutées. Il y a des gens que je suis allé voir aussi.

Ces gens là sont plutôt des exécutants dont tu restes le chef d'orchestre ou bien apportent-ils une coloration musicale que tu n'aurais pas forcément choisie au départ ?

Erwann Corré : C'est un travail commun oui, même pour le disque. Les musiciens, le producteur tout le monde apporte quelque chose. Même pour la pochette. Si elle est noire, c'est aussi parce que on est sur Savage Records. Cela ne sert à rien d'apporter son truc comme ça sans faire attention à ce qu'il se passe autour. Je voyais bien le truc du noir avec l'image au milieu. Mais pour un autre label, ça n'aurait peut-être pas été cette pochette là.

Et pour la musique, ce disque là c'est Erwann Corré OK mais c'est aussi Raphaël Ankierman qui a tout produit. C'est son disque autant que le mien et que celui de tous ceux qui ont participé.

Au début, tu es toujours despotique parce que tu te dis : "je voudrais faire ça, c'est nouveau, je veux mettre des trucs en français et ça va faire comme cela car ça répond à Beck ou parce que je l'ai piqué à John Cale". Donc si au départ tu n'es pas despotique pour imposer cela, c'est compliqué.

De toute façon, au départ tout le monde est à l'écoute. C'est aussi pour cela que le projet s'appelle De La Jolie Musique et par Erwann Corré car cela aurait voulu dire que je me bloquais même par rapport à moi. Si plus tard je veux faire un truc complètement différent, je ne pourrais pas. Je serais obligé de chanter avec la même voix, etc. tandis que sur De La Jolie Musique, si je veux prendre une voix aigue ou si je veux que ce soit quelqu'un d'autre qui chante, il n'y a pas de problème.

Mais c'est difficile parfois de dire : "c'est toi qui chantes, c'est toi qui joues donc c'est un peu ton bébé maintenant mais tu respectes les règles de De La Jolie Musique".

Tu te positionnes un peu comme un directeur de troupe au théâtre ? Un metteur en scène ?

Erwann Corré : Oui c'est ça. C'est aussi pour cela que c'est bien de revenir tout seul avec sa guitare et sa voix de temps en temps. C'est apaisant. Au début de De La Jolie Musique, à force de donner des notes d'intention, de dire on va faire ça, ça et ça, je finissais par ne plus entendre ma musique.

Et des concerts comme au Glazart où j'étais en duo, c'était délicat mais c'était constructif, je me rendais compte de mes morceaux.

Concernant le ressenti à l'écoute de cet album, reviennent souvent les noms de Michel Legrand ou des Little Rabbits, je pense aussi à Travis Bürki, Enio Morricone...

Erwann Corré : Peu de gens cite Morricone, c'est plus John Barry. J'écoute beaucoup de musique de films. Morricone pour moi, c'est le côté punk que n'a pas John Barry dans la composition. C'est super écrit mais tu peux te dire : "ouais je peux le faire".

A propos de choses très écrites, ton album semble vraiment à la fois très cohérent dans l'enchaînement et certains semblent répondre à d'autres. Comment se passe la composition ?

Erwann Corré : Elisa Chiou a été un déclencheur je pense. Cela a été la rupture avec la chanson francaise (aussi au niveau des textes, des jeux de mots, du mi la mineur, du couplet refrain). J'étais fan à l'époque de Beck, voire Pavement même si je connais moins, même Zappa. En français, c'était Miossec, Dominique A.

Elli et Jacno, Christophe aussi ?

Erwann Corré : Oui mais c'est quelque chose que j'ai accepté beaucoup plus tard. Mon père jouait du Elli et Jacno finalement, sans que je ne le sache. Il fait partie des gens qui n'ont pas malheureusement percé, mais il faisait partie de cette scène là. Jacno, Taxi Girl. En faisant d'ailleurs des choses assez précurseur, que personne ne connait mais que je connais moi.

Un morceau comme "Losange", on me cite Ellie et Jacno mais moi je cite mon père. Un texte comme "enfouis sous la neige écrits de ta main, quelques mots d'amour sur papier velin", c'est typiquement la façon d'écrire de mon père, ça n'a rien à voir avec Jacno. Alors bon après, j'ai mis "main dans la main" parce que ça rebondit sur ça mais… ce sont ces chansons à lui, j'ai complètement piqué le truc. Sur le break de "Bender" un peu robot, je l'ai piqué sur un morceau à lui en fait.

Revenons sur l'objet disque en lui-même qui est très beau. Il n'existe qu'en vinyle ?

Erwann Corré : Oui exactement, et en téléchargement bien entendu. Beaucoup de gens me demandent s'il n'existe pas en CD mais bon, il suffit de le prendre en téléchargement et le graver alors.

Pour revenir à la pochette, c'est ton travail également ?

Erwann Corré : C'est une idée que j'ai eu dès le départ. Mais la pochette c'est mon père, mon demi-frère et moi. J'avais cette idée d'éléphant qui part au loin, vers l'horizon, dans la mer.

C'est vrai qu'on imaginerait plutôt un dauphin en train de bondir hors de l'eau plutôt qu'un éléphant.

Erwann Corré : Oui, ou alors quelque chose au bout, une île par exemple à l'horizon. Quand j'ai commencé le dique, j'ai eu la "vision" de cette image. Et j'avais envie de lancer ce logo de l'éléphant comme la banane de Wahrol, et ça répond aussi au collectif safari qu'il y avait avant, quand il y avait beaucoup de monde sur scène avec des animaux, des projections, etc.

A un moment donné, l'idée était que le disque s'ouvrait et il y avait un popup où tu voyais une île sur laquelle l'éléphant rejoignait ses amis animaux. Cela aurait été beaucoup trop dur à faire. Et de toute facon, l'idée de départ était mon idée à moi, après les autres animaux, comme je me suis retrouvé à bosser avec plein de gens l'idée de remettre la folie du truc ensemble.

Mais là, l'éléphant s'en va sur cette pochette, c'est un peu la fin de l'histoire. En tout cas de Mémoire Tropicale. L'éléphant, c'était juste pour ce disque.

Pourquoi l'éléphant orange et pas bleu ?

Erwann Corré : Parce que je n'ai pas de voiture alors je n'y ai pas pensé ! Non, il était gris et je l'ai peint en orange. C'était pour répondre à l'orange de la pochette. Je pense aux produits dérivés, au clip notamment, cela donne aux gens une continuité visuelle, même quand on joue sur scène, on joue en ayant cela dans la tête. Même si c'est imperceptible, les gens le captent.

Comment vois-tu la suite des évènements maintenant ?

Erwann Corré : Il n'y a pas vraiment de notion de temps pour moi. Je ne sais pas très bien ce qu'il va se passer. Des dates de concerts, j'espère. Comme le 1er mars au Divan du Monde avec les Balades Sonores.

Tu as des idées de ce que pourrait devenir De La Jolie Musique ?

Erwann Corré : C'est un mélange de ne plus faire de la musique… c'est-à-dire que je ferais du dessin, je referais de la musique, un film... je ne sais pas. C'est pas l'influx. Concernant l'idée de la pochette, quand je disais que je me suis réveillé un matin avec ça dans la tronche, je l'avais vraiment, ce n'est pas pour me donner un style que je dis cela. C'est un besoin de faire.

Mais comment je le vois musicalement, parce que la musique reste le média que je préfère, parce que j'ai encore des textes à écrire et que j'adore écrire au final maintenant que j'ai vraiment beaucoup travaillé autour de cela, j'aimerai beaucoup faire un nouveau disque avec de nouveaux textes.

En réalité, je sais à peu près ce que je voudrais faire. Il y a véritablement 3 disques que j'aimerai faire. En tout cas un que j'aimerai bien faire, j'ai le flash depuis longtemps, j'ai un truc bloqué dans ma tête exprès pour cela. J'espère que je mettrai pas 5 ans à le faire, celui-là. J'espère que je mettrai 6 mois. Ce sera un peu différent, il y a des gens qui viendront, j'aimerai inventer un truc. Mais si ça sort dans 5 ans, il y a des tas de gens qui l'auront fait avant de toute façon.

Si ton meilleur ami partait loin de toi, quel disque de ta discothèque tu lui offrirais pour qu'en l'écoutant il pense à toi ?

Erwann Corré : On the Beach de Neil Young. Pour n'importe qui, par pour une personne en particulier. C'est rock, c'est pop, c'est beau. Et puis la pochette de Mémoire Tropicale répond un peu à celle de On the Beach. Même si c'était inconscient bien entendu.

Retrouvez De La Jolie Musique
en Froggy's Session
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La chronique de l'album Mémoire Tropicale de De La Jolie Musique
De La Jolie Musique en concert au Bus Palladium (vendredi 3 janvier 2014)

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Crédits photos : Thomy Keat (Toute la série sur Taste of Indie)


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De La Jolie Musique (21 décembre 2013)


# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
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"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

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"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

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"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

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"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
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"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

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"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
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Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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