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Interview  (Paris, CiaoGnari)  vendredi 17 juillet 2015

L’ex-chanteuse du groupe folk suédois MAI et le leader de Mustang sortent leur premier EP le vendredi 13 novembre prochain. Un jour qui devrait porter chance à ces deux fans des sixties vivant au rythme de "Happy Days".

Comment vous êtes-vous rencontrés ?

Johanna Wedin : Cela remonte à trois ans maintenant, mais le groupe n’existe réellement que depuis deux ans. Après MAI, je souhaitais me tourner vers l’écriture en français ; j’adore chanter dans cette langue. C’était une bonne façon de tourner la page. Mais l’exercice s’est finalement révélé très difficile pour moi qui n’avais l’habitude que d’écrire en anglais. J’aimais déjà Mustang et l’on m’a conseillé de les rencontrer pour savoir s’ils pouvaient m’aider. Nous nous sommes tout de suite entendus sur ce que j’avais envie de faire, ce que je voulais exprimer musicalement. Une semaine après notre premier rendez-vous, Jean m’a appelée pour me proposer un morceau. C’était "La Valise"… Nous avons alors commencé à composer ensemble, à partir des scénarios que j’avais en tête. Ils peuvent naître d’une simple phrase. Jean est un moteur ; il m’aide à retranscrire mes idées dans sa langue.

Mai – "Ask Me Twice" au centre culturel Suédois de Paris en 2012

Jean Felzine : Nathalie Chapuis, la manageuse de Johanna, est la compagne de l’ingénieur du son de La Femme avec lesquels Mustang a tourné. C’est elle qui m’a parlé de Johanna et de son projet. Je me suis renseigné et je me souviens m’être dit : "Tiens, elle est pas mal". Nous nous sommes rapidement compris autour de plusieurs verres… et d’un adjectif : mélodramatique. L’idée de départ étant de faire des chansons pour une artiste solo. Mais au fur et à mesure des concerts où je l’ai accompagnée sur les premières chansons que j’avais écrites, nous avons ressenti une alchimie visuelle et sonore. Nous avons alors pensé que ça valait peut-être le coup de devenir un vrai duo, d’écrire et d’interpréter à deux.

"La Valise" (session acoustique pour Le Chantier des Francos)

Partagiez-vous déjà le même univers ?

Johanna Wedin : J’aime bien la country dans sa forme pop, Dolly Parton par exemple. Jean est incollable dans ce registre et il m’a ouverte à des choses plus pointues que j’ai trouvées magnifiques. De mon côté, je l’ai initié au jazz, que j’adore. C’est une influence très importante pour moi vocalement.

Jean Felzine : Avec Johanna, j’ai aussi découvert le reggae, le ska, le rocksteady que je connaissais mal parce qu’en France, on mésestime ces genres. Notre terreau commun, ce sont les voix, celles des grands chanteurs soul et pop des 60’s. Lors de notre première rencontre, nous avions parlé des Ronettes et, dans une version plus actuelle, des Concretes, un groupe suédois. On s’est alors mis d’accord sur notre intention musicale. Quelque chose de puissant et émouvant à la fois, avec un chant très expressif sur des harmonies relativement simples. Cela contraste avec ce que faisait Johanna au sein de MAI, une musique sophistiquée avec beaucoup de modulation.

The Ronettes – "Be My Baby"

The Concretes – "Seems Fine"

Est-ce vraiment compatible avec l’utilisation du français ?

Johanna Wedin : C’est un vrai challenge car ce n’est pas ma culture. Mais c’est ce qui me motive aussi dans le travail avec Jean. Si j’aime Mustang, c’est justement parce qu’ils font sonner les mots comme les américains. C’est assez unique ; tous les groupes de rock français n’y parviennent pas !

Jean Felzine : Ça force à écrire et à composer différemment. Il faut être très rigoureux ; le feeling et la rythmique ne suffisent pas. Le français n’est pas la langue de Johanna ; elle a son accent. Il n’est donc pas question qu’elle chante comme Juliette Gréco ! Nous allons essayer de faire une version anglaise de "Idiot". Là au moins, ça fonctionne déjà avec le titre.

"Idiot" (Froggy’s Session)

Vous cultivez une image et un son US vintage qui rappellent des duos comme Johnny Cash et June Carter, Nancy Sinatra et Lee Hazlewood. Des influences que vous revendiquez ?

Jean Felzine : Oui bien sûr, j’adore Johnny Cash. C’est l’un des plus grands. Il y a des âges d’or dans chaque art, la peinture, la littérature... Pour la soul, la country et le pop / rock américains, je le situe à la fin des 50’s et au début des 60’s. Les chansons romantiques au sens noble du terme, comme celles des Drifters par exemple, me touchent particulièrement.

The Drifters – "Save The Last Dance For Me"

Johanna Wedin : The Everly Brothers aussi. Ils sont notre principale référence en matière de chant à deux voix.

The Everly Brothers – "All I Have To Do Is Dream"

Plus près de nous, She & Him ?

Jean Felzine : Je ne les connaissais pas. C’est Johanna qui me les a fait écouter. J’aime bien la façon singulière qu’a Zooey Deschanel de chanter.

Johanna Wedin : Elle a un timbre assez original. M. Ward, lui, est plus en retrait. Cela fait une différence avec nous. Même si j’ai la lead, Jean chante aussi. Nous sommes un vrai duo. Je nous reconnais des points communs avec eux, mais je trouve que leur musique est plus "charmante" voire "mignonne". Un peu trop sucrée à mon goût. Leur reprise de "You Really Got A Hold On Me" de Smokey Robinson & the Miracles est excellente. Je m’y retrouve totalement.

Smokey Robinson & the Miracles – "You Really Got A Hold On Me"

Les duos mythiques de la pop française sont-ils d’autres sources d’inspiration ?

Jean Felzine : D’emblée, évacuons Gainsbourg et Birkin. Tout a été dit sur eux et je crois qu’il n’y a plus rien à tirer de ce modèle. Serge Gainsbourg est un artiste auquel je ne pense pas. Le génie, le pygmalion qui se cache derrière des chanteuses, est une vision un peu datée pour moi. Je me sens plus proche de la démarche et du travail d’Elli et Jacno. Elli Medeiros écrivait les textes et ils sont très bons. Dans la scène française, là encore j’ai un penchant pour les 60’s. J’ai toujours adoré Michel Polnareff. C’est un grand mélodiste pop, le plus grand peut-être, en plus d’être un vrai chanteur. J’aime aussi Marie Laforêt.

Johanna Wedin : Les chanteuses de Gainsbourg étaient des "accessoires". Nous avons eu l’occasion de voir Véronique Sanson aux Francofolies de La Rochelle ; j’ai été très impressionnée.

Elli et Jacno – "Le Téléphone"

Michel Polnareff – "La Poupée Qui Fait Non"

Les yeux toujours dans le rétroviseur ?

Jean Felzine : Pour être honnête, oui, je n’écoute que très peu de choses d’après les années 70. Mon refuge est la chanson, la vraie, et je considère qu’aujourd’hui, elle n’a pas vraiment pignon sur rue. De ce point de vue, je suis peut-être un peu réactionnaire, mais ce n’est pas une posture. Je crois très fort à la chanson : une suite d’accords, une mélodie et une histoire à raconter. Je ne sais pas faire autrement. J’aime que l’architecture des morceaux soit solide. D’ailleurs, l’émotion que je ressens en écoutant un disque est proche de celle que j’éprouve face à monument. Je suis très sensible à l’équilibre des formes et des couleurs.

Johanna Wedin : Il n’y a pas de nostalgie dans nos paroles ; nos textes sont plutôt actuels. Nous faisons revivre des musiques du passé sans forcer le trait. Nous ne sommes pas des puristes ; nous ne recherchons pas le mimétisme, ni les détails. Nous sommes dans notre époque, dans la vie d’aujourd’hui. Et sur scène, nous utilisons des boîtes à rythmes. Nos derniers masters sonnent modernes tout en étant minimalistes.

Un état d’esprit comparable à celui de Mustang ?

Jean Felzine : Certains textes pourraient être du Mustang, en effet. D’ailleurs, on s’est parfois demandé si nous n‘allions pas en reprendre pour le groupe. Mais la façon de travailler en duo est différente. C’est plus facile, plus direct, plus rapide. Du coup, j’ai même l’impression de passer à un stade supérieur. D’une manière générale, j’aime beaucoup le travail d’équipe ; le résultat est toujours de qualité. Je ne crois pas trop au mythe de l’auteur-compositeur dans son coin, même s’il en existe de très talentueux bien sûr.

Johanna Wedin : Nos textes peuvent être très féminins. Jean aurait du mal à les interpréter avec Mustang en les incarnant comme moi !

Vous avez terminé un EP qui sort le mois prochain et dont le premier extrait est "Idiot".

Jean Felzine : Nous n’avons pas de label mais nous sommes bien entourés. Le chemin a été long et difficile mais il a abouti à l’enregistrement de quatre titres grâce au crowdfunding. La pochette est signée Anna Jean, la chanteuse de Juniore. Un dessin qui contraste avec l’imagerie de Mustang, toujours basée sur des photos. Il me plaît beaucoup. Je suis heureux de ce virage esthétique. On a senti très tôt le potentiel de "Idiot", dès le studio. Ensuite, il a toujours été le morceau le plus applaudi en concert. Enfin, c’est une ballade, et je n’ai jamais eu l’occasion, ni le courage, d’en sortir une avec Mustang. Comme j’adore ça, particulièrement celles de Roy Orbinson, c’est aussi une manière de me faire plaisir. Je pense donc que c’était le meilleur choix et je suis très fier qu’il sorte.

Roy Orbinson – "Crying"

Johanna Wedin : Les gens l’adorent. Nos éditeurs respectifs nous soutiennent tous les deux. Après le financement participatif, l’enregistrement et la fabrication, j’ai vraiment hâte de voir paraître le vinyle. Sur cet EP, nous avons mis les quatre morceaux que l’on préfère.

Le clip de "Idiot"

Vous avez joué cet été aux Francofolies, d’autres dates sont-elles prévues ?

Jean Felzine : Nous avons donné deux concerts : le 13 juillet au Casino Barrière, et Chez Hortense, en off, deux jours plus tôt. Ce bar nous a royalement accueillis et nous avons pu jouer plus longtemps que les 20 minutes réglementaires de la programmation officielle.

Johanna Wedin : J’en garde un très bon souvenir. Tous ceux qui y travaillent ont la musique pour passion. On a vraiment été très bien reçus. Nous rejouerons à La Rochelle l’année prochaine. Le Chantier Des Francos, qui s’adresse à des artistes en développement comme nous, nous suit pendant deux ans. J’espère que l’audience sera encore plus grande.

Nous essayons de monter une tournée pour cet automne / hiver, en lien avec la sortie de l’EP. Des contacts sont en cours pour une release party à Paris et des dates en province, comme à la Coopérative de Mai à Clermont-Ferrand où nous avons déjà joué à deux reprises. Cet été, nous sommes aussi allés chez moi, en Suède. Une cousine a créé une marque de rosé et nous avons été invités à des soirées organisées dans ce cadre. J’ai fait une petite tournée là-bas avec MAI : Stockholm, Malmö, Göteborg. J’espère que nous pourrons y retourner jouer avec Jean, ainsi qu’à Londres. La Suède est plus férue de pop que la France. La musique 60’s y est plus présente qu’ici. C’est resté assez énorme là-bas.

Jean Felzine : Aussi petit soit-il, ce pays se situe plusieurs crans au-dessus de la France en la matière. Il faut dire aussi que nous ne sommes pas vraiment un pays de musique…

Nous cherchons par nos propres moyens à être bookés et je considère qu’on a eu la chance de jouer régulièrement jusqu’à présent. Nous ne sommes que deux, c’est pratique. Pas de batterie, pas de bordel à transporter !

Quel regard portez-vous sur ce qu’on appelle désormais la "French Pop" ?

Jean Felzine : Je me réjouis surtout du retour du français ; c’est important pour moi. Je me dis qu’avec Mustang, nous y avons contribué. Et je m’en félicite parce qu’il y a plein de chansons à écrire dans notre langue. Aujourd’hui, tu peux à nouveau faire du pop-rock très direct dans ta langue sans qu’on se foute de ta gueule. À l’époque où nous avons sorti "Anne-Sophie", France Inter n’a pas souhaité le diffuser, le qualifiant de "niaiserie"… C’est moins le cas maintenant.

Mustang – "Anne-Sophie"

La vague "French Pop" est très disparate ; elle n’a pas de ligne. On ne peut pas parler de mouvement, comme dans le rap par exemple. Le seul dénominateur commun est l’écriture en français, sous une forme moins alambiquée ou poétique que la chanson française traditionnelle. Il y a beaucoup de pop années 80, mais il y a aussi des gens comme Alma Forrer et Baptiste W. Hamon qui mixent folk américain et vieille chanson française classique. Je trouve ça très cool. C’est un petit milieu ; on se connaît bien. Globalement, tout le monde est sympa. Bon, c’est aussi parce que personne ne vend de disques… à part La Femme, et Aline peut-être. Nous, en tout cas, on n’en vend pas.

Baptiste W. Hamon & Alma Forrer – "Peut-Être Que Nous Serions Heureux"

Il faut remarquer que les gens n’écoutent plus beaucoup d’albums en entier, mais une chanson à la fois. Ça me va très bien, parce que la musique que je préfère est justement faite de singles. Les grands disques, ceux de la trempe des Beach Boys et des Beatles, de quelques-uns des Rolling Stones ou de Stevie Wonder, c’est terminé, ou alors très rare. Très vite, c’est trop long. Tout le monde n’a pas le génie pour faire de son disque un grand moment. Alors autant faire de bonnes chansons. Avec Johanna, nous avons le répertoire pour enregistrer un album. Nous verrons comment sortirons nos morceaux, peut-être un deuxième EP. La priorité est de jouer.

Johanna Wedin : J’ai un regard plus extérieur. En tant qu’étrangère, je constate que beaucoup de groupes français choisissent de chanter en anglais. J’aime rarement… Ils ne parviennent pas selon moi à s’inscrire réellement dans la culture anglo-saxonne. Ce n’est pas qu’une question de savoir-faire technique. Souvent, ça sonne mal, c’est mauvais, et j’en conclus qu’ils feraient mieux de rester au français. D’ailleurs, chez ceux qui le font, il y a une évidence, une immédiateté, que j’entends beaucoup mieux.

Cela ne sert à rien de faire des choses qui ne te plaisent pas. Il m’est arrivé par le passé de m’interroger sur ce que je devais faire pour que ça marche. J’ai renoncé à me poser ces questions et j’en suis très heureuse. Nous sommes jeunes, nous avons l’avenir devant nous pour essayer de faire carrière.

Avant de se quitter, impossible de ne pas prendre des nouvelles de Mustang.

Jean Felzine : Nous avons écrit de nouveaux morceaux et donné quelques concerts. On prépare un EP, on répète. "Idiot" est une composition de Johan Gentile, guitariste du groupe, sur laquelle Johanna et moi avons écrit le texte. Il n’y a pas de concurrence ; chaque structure évolue dans un registre différent : le rock d’un côté, les pop songs de l’autre. Je gère ma participation au sein de l’une et l’autre en fonction des priorités. Elles s’imposent d’elles-mêmes, je ne jongle pas avec trois téléphones ! Des deux côtés, j’aimerais que nous ayons plus de travail.

À défaut de gagner de l’argent, j’ai acquis avec Mustang une petite réputation d’auteur de chansons. Un a priori positif qui est bénéfique pour Jo Wedin & Jean Felzine ; on nous prête plus facilement une oreille. L’accueil a donc été plutôt bienveillant jusqu’ici. Cela me rassure parce que j’avais un peu peur qu’on se dise : "Qu’est-ce qu’il vient encore nous emmerder celui-là !".

Le duo me pousse à écrire davantage de chansons ; je continue ainsi à apprendre. Cette dynamique ne peut être que profitable aux deux projets. Johanna, elle aussi, pourrait contribuer au prochain album de Mustang…

Johanna Wedin : Il y a des passerelles évidentes avec Mustang ; nos musiques se mélangent très bien. Mais pour l’instant, il est important de bien différencier les deux, le temps que notre duo soit bien installé. Dans l’absolu, j’adorerais bien sûr collaborer avec Mustang. Alors si je peux faire un petit truc… Ce que j’aimerais avant tout, c’est faire une tournée ensemble. Ça oui, ce serait très beau.

Retrouvez Jo Wedin & Jean Felzine
en Froggy's Session
pour 4 titres en cliquant ici !

 
##Jo Wedin##\r\n##Jean Felzine##\r\n##Mustang##\r\n
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En savoir plus :
\r\n Le Bandcamp de Jo Wedin & Jean Felzine
\r\n Le Soundcloud de Jo Wedin & Jean Felzine
\r\n Le Facebook de Jo Wedin & Jean Felzine

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Crédits photos : Thomy Keat (Toute la série sur Taste of Indie)


Christophe Gatschiné         
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