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Interview  (Paris)  13 octobre 2005

Après The book of lies et I'm coming, l'excellent groupe français Jack the ripper vient de sortir son 3ème opus Ladies first.

Il était temps de prendre de leurs nouvelles et nous les avons rencontrés avant une répétition à laquelle notre photographe Thomy Keat a pu assister.

Conversation à batons rompus avec Arnaud et Thierry.

Que s'est-il passé depuis votre concert à l'Elysée Montmartre en juin 2004 ?

Arnaud : Nous sommes toujours là ! (rires)

Thierry : Nous avons continué à faire de la musique. L'Elysée Montmartre était notre dernière date en fin de tournée de "I'm coming". Ensuite, nous nous sommes remis à la composition, à retravailler, à renouveler l'esprit de la scène. Et nous avons commencé à préparer le nouvel album sans avoir de contrainte de temps. L'album a été enregistré en avril-mai en Belgique. Nous avions envie de changer de cadre et surtout un cadre loin de chez nous et donc très professionnel.

Car nous avions mis longtemps pour enregistrer le premier album et le second avait été enregistré dans un laps de temps très court en région parisienne. En Belgique, nous étions loin de notre univers quotidien. Abdellah notre régisseur et manager nous a trouvé un studio en Belgique où nous sommes restés 3 semaines pour les prises et nous y sommes retournés pour la prise de son et le mixage.

Vous n'aviez pas d'exigence particulière quant au producteur ?

Thierry : Au Studios Impuls à Louvain en Belgique , nous avons travaillé avec Stéphane Kramer qui a beaucoup d'expérience. il a travaillé notamment sur Tiersen. Et puis cela nous a permis de travailler dans une ambiance anglo saxonne ce qui nous a plu car cela donnait une autre approche de la musique.

Y avait-il des lignes directrices pour cet album ?

Thierry : L'album comprend un titre "Words" qui est un de nos très anciens morceaux que l'on joue depuis un bon moment en concert. "From my veins to the sea", le premier morceau qui ouvre l'album est une chanson composée peu après le second album et que l'on a déjà joué en concert. Les autres sont de nouvelles chansons. Nous n'avons pas chômé même s'il y a eu un moment où il ne s'est rien passé. Nous étions au point mort. Puis ensuite sur un mois ou deux la base des morceaux a émergé. Nous avons composé sans nous poser de questions sur les lignes directrices. Et puis il y a eu un gros travail de production et d'arrangement pendant l'enregistrement et la prise de voix. Les morceaux se présentaient plutôt comme des squelettes.

Vous avez également envisagé de jouer avec un quatuor à cordes ?

Arnaud : Nous l'avons fait sur un concert avec 4 morceaux dont "Liberation" du premier album "Book of lies" dans lequel nous avons étoffé la partie cordes qui existait déjà sur le morceau originel et qui remplaçait un peu le violon solo d'Adrien. Pour "Hamlet" qui est sur "I'm coming" il y avait une version uniquement cordes sur une partition écrite par un arrangeur qui voudrait bien l'enregistrer sur une compilation.

Thierry : C'était un projet assez intéressant. C'est né pour un concert un peu spécial que nous avons fait dans le théâtre du Château de Versailles. Compte tenu de la spécificité du lieu, nous, notre maison de disque Village Vert et notre tourneur Olympic avons décidé de faire une date un peu spécifique. Cela nous a permis de sortir de nos morceaux originels qui ont été joué avec le quatuor, une guitare sèche et le piano.

Vous avez également composé la musique du court métrage "Les yeux ouverts" de Julie Gousty.

Thierry : En réalité, c'est surtout Alex qui s'en est occupé. Il y a une reprise de "Prayer in a tango" également.

Vous n'avez pas eu de contact pour une utilisation de vos morceaux pour une publicité par exemple ?

Thierry : Non, il n'y a rien de concret jusqu'à maintenant.

Vous seriez favorable à ce type de l'utilisation de votre musique ?

Thierry : Oui mais tout dépend du support.

Les textes, qui sont toujours très littéraires, préexistaient-ils à la composition des morceaux ?

Arnaud : Je n'aime pas trop qu'on les qualifie de littéraires car cela voudrait dire que l'inspiration est puisée dans les livres. Les livres vous parlent car ce sont des échos à votre propre vie. Pour le morceau "Vargtimmen" je ne tenais pas spécialement à avoir une référence à Bergman. Et ce n'est pas le film qui m'a inspiré. C'est simplement que la situation me touchait particulièrement et ces états d'insomnie avaient un nom qui s'appelait l'heure du loup.

"Hungerstrike at the supermarket" se réfère à une situation concrète sur le désarroi éprouvé dans le supermarché. Les textes partent souvent de petits faits très réels. "Goin down" parle d'un ancien rêve dans lequel je me réveillais avec la tête à côté de moi et je ne savais pas qu'en faire. Comme je ne fais pas d'analyse, la chanson est peut être un moyen d'exorciser certaines choses.

Et quand vous la chantez êtes-vous dans le même état qu'au sortir du rêve ?

Arnaud : Non parce que lorsque je me suis réveillé je me demandais bien pourquoi j'avais fait un tel rêve et cela me devenait étranger. L'inconscient est un étranger.

Le titre "Aleister" est parti de l'histoire de Aleister Crowley. Crowley était un vague bouffon qui faisait de la sorcellerie, un mage et un escroc qui avait une démarche intéressante par rapport aux gens qui ont une démarche très matérialiste et athée. Il disait que pour savoir si on était vraiment athée il fallait aller au fond des bois tracer un pentacle et invoquer le diable avec ferveur. C'est ce qu'il a fait et qui a chamboulé sa vie. Le vrai pari est bien d‘aller jusqu'au bout. Pour ma part, j'aurais peur et sans doute dois-je croire à ses forces obscures.

C'est intéressant de savoir que ce morceau presque instrumental se réfère à tout cette histoire de sorcier que vous venez de nous raconter.

Arnaud : Il s'agissait d'un vieux morceau qui figurait sur un canevas guitare-voix qui au fur et à mesure a évolué. Thierry a trouvé une ligne de basse intéressante qui a permis de faire, à partir de la répétition de la même ligne de basse comme une autoroute qui permet de nous faire voyager, d'y introduire un passage oriental qui correspond aussi au voyage en Egypte d'Aleister Crowley. Cela a donné des variations sur une trame répétitive.

Ce morceau fait penser à Fields of Nephilim.

Thierry : Arnaud m'avait fait écouté un disque de Can mais Nephilim… pourquoi pas ?

Arnaud : Cela étant à l'époque ils ont tous écouté Can.

Thierry : Il faut aussi préciser que ce morceau qui s'appelait "Breathless" au départ devait être enregistré sur l'album "I'm coming". Cela ne s'est pas réalisé car la maison de disque ne l'aimait pas. Du coup sans doute est-il resté dans l'inconscient de chacun et nous ne voulions pas le lâcher car il faisait partie du groupe depuis longtemps. Nous l'avons donc remis sur la maquette dans sa nouvelle version et la maison de disque ne l'a pas reconnu immédiatement. C'était comme un pied de nez.

Ceux qui vous suivent reconnaîtront aussi "Words" que l'on a toujours entendu en live ou presque.

Thierry : Oui. Nous avons gardé sa structure mais nous avons hésité. Car il est difficile d'enregistrer un morceau que l'on a éprouvé sur scène, de passer à l'enregistrement un morceau qui a une vraie énergie en live par crainte de ne pouvoir la restituer. La plupart des morceaux ont été enregistré en métronome pour pouvoir garder la structure et la continuité rythmique.

Ensuite si on avait envie pour l'arrangement de balancer des samples et des boucles il faut de la rythmique. En revanche pour "Words" on a écarté le métronome et nous avons décidé de la jouer live puisque nous avions la possibilité de jouer à 4-5 en même temps dans le studio pour les prises de son. Ce morceau est donc très fidèle à la version live.

Lors d'une interview vous aviez évoqué la possibilité d'intégrer davantage de morceaux instrumentaux. Or ce n'est pas le cas dans cet album.

Thierry : En réalité rien n'est préétabli. Sur le premier album il y a eu un titre parce que cela est venu comme cela. Pour celui-ci au départ "Hungerstrike at the supermarket" devait être instrumental parce qu'on l'avait travaillé à 3 contrebasse violon guitare sèche et il durait une minute et demie et puis la batterie s'est prise au jeu en répété et puis la voix et c'est devenu une chanson.

Comment va être soutenu cet album ?

Thierry : Nous allons faire des sessions radio pendant le dernier trimestre. Ensuite nous avons une date à Grenoble, en Suisse et à Paris au Trianon le 1er février 2006. Fin janvier, il y aura une tournée nationale avec quelques dates à l'étranger.

Allez-vous avoir une plus grande couverture médiatique organisée par votre label Le village vert qui marche bien ?

Arnaud : C'est difficile à dire pour le moment.

Thierry : Mais il est vrai que le label dispose de plus de temps à nous consacrer actuellement. Il y a également des projets de distribution à l'étranger, Bénélux, Espagne, Allemagne.

En couverture de l'album, il y a encore une toile du peintre Machado.

Thierry : A la base, on se disait que trois albums avec Machado, c'était bien. Et puis il y au des dissensions au sein du groupe et nous avons cherché d'autres couvertures. Il y a eu notamment un projet plus design qui jouait sur l'ambiguité homme/femme et nous étions à 50/50. En fin de compte, c'est la maison de disque qui a tranché en pensant qu'il était trop tôt pour changer l'image du groupe. Et finalement c'est une bonne chose.

Le titre de l'album "Ladies first" a un rapport avec "The first Lady" du vrai Jack the ripper ?

Arnaud : Le titre a été trouvé par le pianiste sur un tableau qui n'a pas été retenu pour la pochette. J'ai trouvé qu'il permettait de rebondir scéniquement d'autant que la moitié des morceaux parlent des relations homme/femme. Et puis il y a eu une série de photos jouant sur l'androgynie. Car voir le visage des artistes est parfois décevant. Or là il y avait un concept qui permettait de dégager le côté féminin de chacun de nous. Je pense que cela aurait pu faire évoluer l'image du groupe. J'avais d'ailleurs déjà fait des concerts en jupe ce qui peut être intéressant à un moment où le rock a une iconographie un peu macho.

Sur scène, doit-on s'attendre à des nouveautés ?

Arnaud : Il n'y a pas de scoop sur ce point. La seule chose importante c'est que pour cet album, contrairement aux deux précédents, il s'est fabriqué comme un work in progress car nous ne savions pas comme pour "White men in black" comment le morceau allait se construire. Dans les faits les morceaux se sont construits par montage un peu comme un film et sans se soucier de la jouabilité sur scène. C'est la première fois que nous avons eu le temps de faire des chœurs et de les utiliser non pas seulement comme fond mais vraiment comme un élément du morceau.

Thierry : Il y avait 2 choses paradoxales dans l'enregistrement : nous avons disposé de davantage de temps et nous avons cependant travaillé dans l'urgence. D'autant que notre ingénieur du son est friand de recherches et d'expérimentation. C'est le cas pour "White men in black" pour lequel nous avons eu l'idée de reprendre en traduction un poème hongrois. Cela n'avait pas été éprouvé en scène. Donc pour la scène, les morceaux ont une ossature qui permet de les jouer en live sans problème. La difficulté est de savoir si on reste fidèle aux arrangements ou si on les adapte et c'est le travail que l'on fait actuellement .

La démarche est inverse aux albums précédents qui étaient l'enregistrement des morceaux éprouvés en live alors que "Ladies first" résulte d'une construction et une création en studio.

Thierry : Oui, c'est le négatif de "I'm coming" pour lesquels nous étions venus en studio avec des morceaux très travaillés.

Et vous rejouez ces morceaux de manière naturelle ou pas ?

Arnaud : C'est un peu tôt pour le dire car nous venons de commencer les répèt. Mais je pense qu'il y a des choses comme le double piano qui constituerait une surcharge en live. En revanche, il y a des nappes, des chœurs ou les 2ème et 3ème guitares qui sont vraiment importants. Quitte à trouver une troisième voie c'est-à-dire un arrangement spécifique pour le concert. Par exemple le 2ème morceau qui est très pop sur album, ce qui révèle son potentiel, sera sans doute un peu relevé en tension dramatique car en live il pourrait vite sembler fade. Sur ce point, heureusement que nous ne sommes pas un groupe pop car les chansons pop sont surproduites sur album et jouées en version pauvre sur scène.

Effectivement par exemple "Party downtown" est un morceau à écouter en live.

Arnaud : C'est un peu comme "Words". "Party dowtown" n'est pas le morceau que je préfère écouter sur disque alors que j'adore le jouer sur scène

Words c'est le "Party dowtown" de "I'm coming" ?

Thierry : Non, ce serait plutôt "Goin' down" avec son côté un peu booggy. "Party" est très sec alors que "Words" est gras. L'appréhension des 2 morceaux est différentes car même s'il sont tous les deux une intro très calme suivie d'une montée en puissance cataclysmique, "Party downtown" est un maigre qui tape sur un tambour alors que "Words" est une sorte de boulimique qui grossit à chaque mesure.

Arnaud : Pour ces morceaux, il n'y a pas vraiment de surprise lors de l'enregistrement. La mise en boîte les tue un peu. Alors que pour les autres c'est comme une naissance et il leur reste tout à vivre sur scène.

Thierry : Enfin, cela dépend parce que personnellement je suis assez content du rendu de "Words". Peut être suis je plus satisfait du morceau parce que nous sommes arrivés à le rendre comme ça que du morceau en tant que tel. Si j'avais l'objectivité d'écouter les autres morceaux sans prendre parti je ne saurais peut être pas quoi en penser. Comme il s'agit d'un morceau très vieux je ne sais pas s'il détonne par rapport aux autres. Et c'est un morceau que l'on n'aurait sans doute pas composé aujourd'hui. D'ailleurs nous l'avons enregistré aussi parce que beaucoup de personnes regrettaient de ne pas le trouver sur album.

Il y a des influences que l'on reconnaît. Par exemple parfois ça sonne comme du Calexico. Je suppose que cela sort de manière naturelle, complètement digérée ?

Thierry : Oui. Il y a du P.J. Harvey, Lhassa, Arthur H, Nick Drake etc….Cela étant il y a toujours 8 accords de base et pourtant les chansons et les mélodie peuvent être tellement différentes. L'essentiel est de se rendre compte d'une éventuelle influence et de pouvoir prendre la tangente. Pour s'amuser nous travaillons une reprise de Léonard Cohen "First we take manhatan" dans une version new wave cold wave qui est un plaisir à jouer.

Vous ne jouez plus Mercy seat de Nick Cave?

Arnaud : Non, parce que le morceau ne nous parle plus aujourd'hui.

Pour revenir à la composition, la voix vient après ?

Arnaud : Oui. L'originalité de notre composition est qu'elle est à la fois à la fois très simple et hyper complexe. Nous partons toujours de 2 accords simples, 3 pour le refrain, qui évoluent ensuite. Surtout sur cet album, la voix vient après et il faut créer toute une orchestration de mouvements et de silence pour qu'elle soit mélodieuse et narrative. Un canevas qui serait trop maigre pour faire une chanson pop. Comme cet album a été très prémaquetté, il s'est passé un phénomène étrange c'est que lorsqu'on écoutait un morceau qui nous plaisait on essayait de le refaire comme une imitation de nous-mêmes. Nous n'étions plus dans la spontanéité et nous repartions vers une autre direction. Ce qui est un vrai paradoxe.

Thierry : Sur le premier titre, "From my veins to the sea", on partait à la base d'arpèges guitare et par hasard il y a eu une ligne de piano jouée et ce morceau a changé puisque maintenant il commence au piano et c'est sur lui que les mélodies vont se greffer.

C'est charmant parce que c'est la surprise perpétuelle et déboussolant car cela peut être une remise en question ce qui est difficile à gérer dans un groupe de 8 personnes qui peuvent ne pas partager forcément le même avis. Mais c'est intéressant car cela crée de la tension et de l'émulation qui participent à la découverte. Je pense que cet album est à la fois riche et fragile.

Arnaud : Et il est difficile de donner une idée de notre album par l'écoute d'une extrait ou d'un morceau. Ainsi dans la "White men in black", il y a 5-6 histoires différentes dans le morceau et c'est la raison pour laquelle l'écoute d'un extrait n'est pas révélateur de l'ensemble du morceau. Pas plus qu'un morceau n'est représentatif d'un album. Par exemple comme "i was born a cancer" qui a pour fonction de créer une respiration dans l'album par rapport à d'autres morceaux plus complexes. Le formatage de l'écoute est ridicule.

Thierry : Néanmoins c'est la première fois que nous avons pensé à l'écoutabilité des morceaux et à créer des morceaux qui fassent 3-30 et qui soient accessibles. C'est un peu triste mais il est vrai que nous avons un peu pensé au formatage parce que c'est important pour leur diffusion et pour les auditeurs.

 

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Crédits photos : Thomy Keat (plus de photos sur Taste of indie)


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# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

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"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
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