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Interview  (Paris)  1er novembre 2005

Pierre Lebourgeois qui joue en duo avec Nosfell au violoncelle et à la basse, a répondu avec beaucoup de gentillesse à notre demande d'interview.

Le rendez-vous était fixé au Lou Pascalou, un café bien connu des habitants du 20 ème arrondissement qui organise multitude d'événements : débats, lectures de théâtres, expos, concerts…

Bonjour, Pierre. Pour commencer, pourrais-tu nous parler de ton actualité. Et tout d'abord de votre projet de second album avec Nosfell ?

Pierre Lebourgeois : Le 1 er album est sorti en mai 2004. Depuis un an (de tournée) on discute beaucoup de donner une suite à cet album. On a accumulé une cinquantaine d'idées sur ce projet… La tournée de concerts s'arrêtant en décembre, on va pouvoir se poser et attaquer ce disque. Pour le moment nous ne savons pas encore le temps que ça prendra ni s'il y aura de nouvelles collaborations musicales… Mais on commence à avoir des idées assez précises…

Comment s'est passé pour vous le concert à La Cigale le 25 octobre dernier ?

Pierre Lebourgeois : Ce concert était particulier, car nous voulions à cette occasion remercier tous les gens qui sont avec nous depuis le début. C'était très émouvant, nous en sommes sortis contents avant tout sur le plan humain. Musicalement, nous aurions aimé avoir plus de temps, mais c'est actuellement le problème de toutes les salles parisiennes qui ne peuvent plus faire jouer après 22h30. On avait donc un peu une horloge sous les yeux et on se disait "Ne nous étalons pas", alors que c'est une chose qu'on aime faire dans nos concerts maintenant. En contrepartie, nous avons eu un public super. Et le contexte était si particulier que ce soir-là, ça dépassait le cadre de la musique.

Quelques précisions sur la première partie de ce concert où deux musiciens jouaient en accompagnement sur une projection de film muet en noir et blanc ?

Pierre Lebourgeois : Oui, il y avait Michel Schick à la clarinette qui est un musicien avec qui j'ai déjà joué dans la formation "Les enfants des autres" et Sébastien Libolt au clavier qui avec "La Traban" ont fait une musique pour Découflé et son Decodex. Ce sont des grands copains, et je voulais qu'ils puissent aussi participer à cette aventure à La Cigale. Et Puis , on voulait vraiment avoir autre chose qu'un groupe en première partie. On voulait proposer notre soirée et pas un argumentaire de classique première partie : une projection de film (remettre La Cigale en cinéma comme elle était avant) nous semblait intéressant.

J'ai lu que vous aviez récemment joué en acoustique dans une église près de Bordeaux, est-ce que cette expérience vous a donné des envies nouvelles dans l'approche de votre musique sur scène ?

Pierre Lebourgeois : Oui, d'ailleurs lors du concert à La Cigale, ces envies se sont révélées directement. Cette expérience dans une église à Bordeaux en septembre était une sorte de pari : on sortait d'une période de festivals où le son était très amplifié, on voulait revenir à quelque chose de plus sobre. On s'est rendu compte suite à ça que nos morceaux n'avaient pas besoin d'être sonorisés dans tous les sens. Ça nous a d'ailleurs permis de dépasser une peur que nous avions un peu avec Nosfell, car étant deux sur scène, nous nous entourions de beaucoup d'arrangements électroniques afin de donner plus de volume…

Or on a constaté qu'à deux dans des conditions acoustiques ça fonctionnait aussi. À La Cigale, on a voulu faire part au public de ce que nous avions testé sur ce plan. Ce n'est pas quelque chose que nous aurions pu faire il y a un an, et c'est parce que nous nous connaissons beaucoup mieux avec Nosfell, qu'on s'écoute beaucoup plus, et qu'on arrive vraiment à réagir l'un envers l'autre, qu'on a pris ce risque en septembre et qu'on l'a retenté depuis.

Est-ce que cette approche acoustique est une nouvelle direction que vous voulez donner à votre travail ?

Pierre Lebourgeois : Pas tout à fait, on voit plus ça comme une direction musicale complémentaire à notre travail. Ca n'empêche pas les autres d'exister, ça élargi juste nos possibilités.

Pendant un temps tu jouais en parallèle de Nosfell avec Bertrand Belin, continues-tu cette collaboration ?

Pierre Lebourgeois : Avec Bertrand, c'est un grand regret, mais le choix qui s'est posé à moi était : de continuer les deux projets sans pouvoir aller à fond dans aucuns des deux, ou de se lancer totalement dans un des deux. Or avec Nosfell, on avait vraiment une direction de concert total, on voulait le plus de concerts possible et notre tourneur a répondu présent. Il n'était donc tout simplement pas possible ne serait-ce que d'un point de vue "temps" de concilier les deux projets. Mais au-delà de ça, Bertrand est quelqu'un avec qui je travaillerai toujours ; c'est aussi l'un de mes meilleurs amis, on a toujours fait de la musique ensemble depuis maintenant 7 ou 8 ans, donc ça ne nous empêchera pas de rejouer ensemble.

La présence de plus de musiciens sur scène ne te manque-t-elle pas ?

Pierre Lebourgeois : Non, c'était d'ailleurs l'intérêt du projet avec Nosfell : on voulait tout découdre en se retrouvant à deux sur scène, prendre le pari de jouer le plus possible, sur des plateaux assez conséquents. J'avais déjà eu de nombreuses expériences de groupes avec beaucoup de musiciens. Avec Bertrand Belin, on a essayé le jeu en duo, mais on l'a arrêté. Bertrand voulait passer tout de suite à une formation plus conséquente par rapport à sa recherche d'arrangements et de musique qui est complètement différente de la recherche de Nosfell.

À propos de Bertrand Belin, je me souviens qu'à l'occasion d'un de vos concerts avec Nosfell à l'Européen en mars dernier, vous l'aviez invité à venir jouer sur des morceaux. Avez-vous réitéré cette expérience d'invitations d'autres artistes dans vos concerts ?

Pierre Lebourgeois : Non, à part la création avec Ezekiel qui était quelque chose de complètement à part, Bertrand est dans mes souvenirs le seul musicien qui a été invité à venir jouer directement dans l'univers musical de Nosfell.

Dans ta rencontre avec Nosfell, le fait que tu joue du violoncelle, un instrument dont on dit qu'il a la sonorité la plus proche de la voix humaine, et que Nosfell donne une grande importance au travail autour de sa voix, a-t-il été déterminant dans l'envie de travailler ensemble ?

Pierre Lebourgeois : Non ce n'est pas la raison de cette collaboration. La rencontre avec Nosfell a été avant tout musicale plutôt qu'une rencontre de sonorités. Le fait est que les mois passants on a travaillé nos arrangements de plus en plus autour de la voix. Le violoncelle nous a permis de beaucoup jouer sur des rapports de seconde voix. Nosfell peut ainsi osciller sur des jeux de beatbox et de voix aigu, et moi je peux alors choisir un jeu de violoncelle mélodique ou de violoncelle plus rythmique qui va se coller sur sa voix.

On a essayé ainsi d'harmoniser nos fonctionnements. Mais encore une fois, notre rencontre est avant tout une rencontre de musiciens. Je suppose que l'instrument lui a plu (rires), mais c'est avant tout une démarche de duo et une envie de jouer sur des panels les plus larges possible musicalement, sans tenir compte forcément de l'instrument qui doit être joué à l'archer avec la voix. On est allé justement des fois à contre-pieds des instruments.

Vous avez enchaîné depuis quelques mois un nombre impressionnant de concerts, n'est-ce pas trop difficile ? Comment arrivez-vous à trouver l'énergie de faire de chaque concert un événement singulier ?

Pierre Lebourgeois : En fait, nous n'avons pas trop le choix. C'est aussi notre façon de voir l'exercice de notre métier de musicien. Quand on monte sur scène, c'est avant tout pour nous la volonté de prendre énormément de plaisir, même si évidemment il y a la volonté d'en donner. Et je crois que si n'on n'essayait pas de se renouveler à chaque concert, on ne monterait pas autant de fois sur scène.

Et vous n'avez jamais l'impression de répétition en montant sur scène aussi souvent ?

Pierre Lebourgeois : Il y a toujours des concerts qui se passent moins bien, des jours où on se dit qu'on s'est un peu gouré et qu'on n'avait rien à dire (rires). Mais avec Nosfell, c'est toujours pour nous un jeu de risquer une nouvelle liste à chaque concert. On aime se mettre en danger tout le temps, ne jamais refaire les mêmes choses. Même lors d'improvisation, quand on a trouvé un truc bien, on essaie toujours de changer, de voir un peu où on peut aller ailleurs : la façon de construire les boucles sonores ou le jeu au niveau des pédales d'effet, on a toujours un nouveau truc à essayer.

Musicalement, vous jouez beaucoup sur l'autosampling et l'enregistrement de boucles en live. Pour un novice comme moi, pouvez-vous expliquer plus précisément comment cela fonctionne ?

Pierre Lebourgeois : Alors, en fait, on est deux sur scène. Il y a Nosfell qui joue de la guitare et qui chante, et moi au violoncelle et à la basse. On a une espèce de grosse machine au centre qui peut récupérer tous nos signaux musicaux. Nosfell commande cette machine et il va enregistrer une première séquence, qui peut être soit de la voix, soit de la guitare, soit du violoncelle ou de la basse. Il choisit ensuite parmi huit pistes, celle sur laquelle la séquence enregistrée va sortir. Il peut alors recommencer le même mécanisme. Après, tout le jeu est de coller les événements sur les huit pistes différentes.

Les enregistrements et les arrangements se font donc complètement en live : on peut choisir par exemple de mettre les violoncelles ensemble ou de les séparer, auquel cas on pourra les coupler à un autre moment sans pour autant que ça affecte la totalité de la boucle. Pour pouvoir faire cela en direct, il faut juste se prévenir mutuellement sur scène, et nous utilisons pour cela des signes.

On joue aussi beaucoup avec Edouard Bonan, qui reçoit les 8 pistes, et qui par des signes va les couper ou les ouvrir. Il agit sur la boucle complète, peut la découper, et répartir les différentes pistes dans l'espace (à gauche, au centre et à droite).

Est-ce que le public comprend toujours que l'enregistrement de ces boucles a lieu durant le concert et quelles sont toujours différentes ?

Pierre Lebourgeois : Dans des salles, le public comprend assez facilement le principe d'enregistrement en live.

Par contre lors de festivals les spectateurs qui sont loin de la scène ne comprennent pas forcément ce qui se passe et peuvent penser que c'est préenregistré où qu'on joue en play-back. Mais dans ce cas là, le stress aidant, il nous arrive de faire des petites erreurs qui permettent de comprendre que ce n'est pas préenregistré. D'autre part, on fait maintenant des choses qu'on ne faisait pas avant en concert : des passages d'improvisation totale, et le public lors de ces passages voit bien que l'on se fait des signes et que les choses s'enregistrent dans l'instant. Ces passages improvisés sont aussi pour nous la volonté de montrer l'envers du truc, le squelette de ces passages.

Est-ce que l'improvisation musicale sur scène est quelque chose qui pourrait vous attirer ?

Pierre Lebourgeois : Nous avons en commun avec Nosfell d'écouter beaucoup de musiques telles que le free jazz ou la musique contemporaine où l'improvisation est beaucoup utilisée. Dans notre musique, l'improvisation est utilisée autour des chansons, on s'en sert pour évoquer un morceau. Ou bien comme je l'ai dit on a maintenant des passages d'improvisation totale. Par contre, nous décidons lors de la composition de la play-list d'un concert, l'endroit où on réalisera ces improvisions. Lors du concert à La Cigale par exemple, cette improvisation a eu lieu à la fin du morceau Gouz Mandamaz.

Comment te situes-tu par rapport à l'univers très personnel de Nosfell et au lieu Klokochazia?

Pierre Lebourgeois : Je me situe forcément à côté. C'était l'idée de départ, dès le début de ma rencontre avec Nosfell. Je m'occupe de musique et de ce que j'ai envie de donner musicalement. J'essaie de servir au mieux la présentation de cet univers, mais je ne vais pas essayer de m'introduire à l'intérieur : tout d'abord parce que c'est un univers qui lui est personnel, et que je ne pourrais pas avoir une démarche sincère si je me raccroche aux histoires des autres. Je propose mon histoire et ma façon d'interpréter ce qu'il me raconte et il est important que Klokochazia reste avant tout l'univers de Nosfell.

Dernière question. Vous mêlez sur scène les arts visuels et la danse à la musique. Aimeriez-vous pousser l'expression de certains de ces arts comme la chorégraphie par exemple ?

Pierre Lebourgeois : Je ne crois pas. On a toujours voulu faire de la scène un moment vraiment entier où il peut y avoir tout sans focaliser complètement l'attention que sur de la danse. On fait avant tout un concert, moi par exemple, je fais de la musique, je ne vais pas danser, c'est d'ailleurs un peu dur avec un violoncelle (rires). Par contre quand on choisi des jeux de lumière on veut quelque chose de très marqué, de très fort. On ne va pas survoler les choses ou faire un pot-pourri de tout ce qui peut se faire sur un plateau. On préfère qu'il y ait peu de danse, mais que ça soit un moment privilégié.

 

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