Attention, cette chronique est purement subjective !
Je vais te raconter une belle histoire, écrite par Mathias Malzieu, Daria Nelson, mais aussi Boris Vian, Cécile Coulon et Alexandre Bord.
Mathias Malzieu, tout juste sorti d’une peine de cœur, et alors qu’il était le parain du centenaire de la naissance de Boris Vian, se rend au café des deux Magots et y rencontre une fée, en la personne de Daria Nelson. L’histoire aurait pu s’arrêter là, mais cela aurait été sans connaître le surprisier qu’est Mathias. Surprisier, musicien, chanteur, poète, cinéaste, écrivain…
Alors avec Daria, ils nous racontent leur rencontre, mais aussi celles avec Boris Vian, Serge Gainsbourg ou encore Alain Bashung, parce qu’un vrai surprisier peut rencontrer des fantômes. C’est même celui de Boris qui va le prévenir de la rencontre qu’il va faire.
Cette histoire qu’ils nous racontent est illustrée par Daria qui, en plus d’être une très belle fée, est aussi une artiste plasticienne et photographe (elle a été finaliste du prix Picto de la jeunesse photographie de mode en 2016 et son travail a été exposé à Arles en 2019.
Nous n’aurions peut-être pas été au courant de cette belle histoire sans l’aide précieuse de l’auteure et poétesse Cécile Coulon qui a co-dirige une nouvelle collection L’iconopop avec Alexandre Bord. Et ne faisant rien à moitié ils ont sorti deux autres ouvrages en même temps que celui-ci : Brûler, Brûler, Brûler de Lisette Lombé et Des Frelons dans le Cœur de Suzanne Rault-Balet.
Je te disais au début que cette chronique est subjective parce que j’adore Mathias Malzieu pour l’ensemble de son œuvre, je dévore ses livres, j’adore sa musique et le voir sur scène avec Dionysos est un pur moment de joie et enfin le surprisier qu’il est arrive toujours à me cueillir.
Cécile Coulon, auteure et poétesse, qui a écrit entre autre Une bête au Paradis ou Le cœur du pélican ou encore des recueils de poésies. Elle est aussi marathonienne. Je l’adore pour son écriture et si tu la suis sur Facebook, tu l’aimeras aussi pour son humour.
Alors forcément quand Boris, Mathias, Daria et Cécile sont dans une chronique, elle ne peut-être que subjective tant j’aime ces artistes. |