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puce Géraldine Azouelos, Caroline Clerc, Arnaud Denis, Florence Fontaine, Jean-Pierre Leroux, François Mougenot et Pascal Martinet
Interview  (Paris)  14 février 2006

Arnaud Denis est ses Compagnons de la Chimère ont entrepris de tisser un complément capillaire pour La cantatrice chauve d'Ionesco. Relookage certes mais sans lifting car, même si elle a soufflé ses 50 bougies, la Castafiore de l'absurde n'a pas pris une ride.

Nous avons bien entendu rencontré les coupables qui ont réussi à déchiffrer au plus près la partition d'Eugène Ionesco pour en la substantifique moelle et l'orchestrer de manière novatrice et roborative qui a séduit Pascal Martinet le directeur du Théâtre Clavel..

Donc à notre gauche, les Smith (Géraldine Azouelos et François Mougenot) confits dans leur anglitude bourgeoise. A notre droite, les Martin (Caroline Clerc et Jean-Pierre Leroux) champions au concours des ahuris. Au centre, un sémillant capitaine des pompiers (Arnaud Denis). Et au dessus de la mêlée, Mary l'étrange bonne new fetish des Smith (Florence Fontaine).

Commençons par le commencement avec vous Arnaud Denis et la Compagnie de la Chimère.

Arnaud Denis : Les Compagnons de la Chimère sont nés de la volonté commune d'élèves de Jean-Laurent Cochet de créer une troupe car nous voulions tous être sur scène. Etant donné le nombre de personnes qui travaillent en ce moment, nous avons décidé de le faire. Etre sur scène pour jouer et jouer de grands auteurs. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je suis à la fois comédien et metteur en scène, je me distribue pour jouer.

Nous avons formé un comité de lecture et le soir nous faisions des lectures. Puis nous sommes partis en résidence pendant 15 jours en pleine campagne dans l'Aveyron au cours de laquelle nous avons travaillé du Shakespeare, du Molière et faisions des lectures tous les soirs. Et j'ai décidé que notre premier projet serait "La cantatrice chauve" d'Eugène Ionesco.

Nous avons déjà d'autres projets qui sont "Les fourberies de Scapin" de Molière au Théâtre du Lucernaire fin avril 2006 puis "Les revenants" d'Hnerik Ibsen dans une nouvelle adaptation au Théâtre 13 en mars-avril 2007. Et puis d'autres projets à plus long terme.

Cette compagnie satisfait-elle à la définition classique de la troupe ou se rapproche-t-elle davantage d'une structure ouverte avec un noyau dur et des électrons libres qui participeraient de manière ponctuelle à certains projets?

Arnaud Denis : La compagnie a une structure un peu hybride car elle est formée d'un noyau dur d'environ 10 personnes, qui joueront tous dans "Les fourberies de Scapin", et des comédiens, plus ou moins confirmés et connus qui viennent nous aider à l'occasion d'un projet. J'essaie effectivement de maintenir la cohésion de ce noyau dur car il est important de travailler en famille dans une bonne entente et avec des personnes qui ont le même outil de travail. Cela permet des gains de temps et l'ambiance s'en ressent sur le plateau.

Il faut aussi préciser que c'est grâce à la rencontre de Jean-Pierre Leroux que cette aventure s'est concrétisée car il a une grande expérience de comédien et il connaît bien tous les rouages pour monter un spectacle d'où une aide très précieuse.

Peut-on encore monter "La cantatrice chauve" aujourd'hui?

Arnaud Denis : Non seulement on peut mais on le doit. J'adorerai monter une création contemporaine et je lis beaucoup de choses en ce moment et j'éprouve beaucoup de difficultés à mordre dans quelque chose de véritablement consistant. "La cantatrice chauve" est une pièce éternelle qui me fait hurler de rire et que j'adore. Adorer une pièce est un moteur puissant pour la monter.

Je crois aussi qu'elle peut aussi se manifester de manière différente de celle dont on la connaît depuis 50 ans en évitant, comme je le précise souvent, de la dénaturer complètement et d'en faire trop sortir les gonds ce qui ne nous laisserait que des séquelles de l'auteur et empêcherait le comique de l'absurde de s'installer progressivement.

Comment avez-vous travaillé?

Jean-Pierre Leroux : Je me suis mis au service d'Arnaud car tout d'abord je suis plus âgé, j'ai un passé théâtral et j'étais administrateur d'une personne importante. En fait notre rencontre résulte du hasard. Arnaud m'a demandé de participer à une représentation exceptionnelle de "La cantatrice chauve" simplement pour le plaisir. Cette représentation s'est achevée en triomphe et la directrice du Théâtre des Déchargeurs a voulu ce spectacle pour la rentrée. A partir de ce moment, les Compagnons de la chimère passaient du stade de "représentations exceptionnelles" au stade commercial.

Evidemment, il faut à ce moment là trouver un financement, des subventions, ce qui a été le cas avec l'ADAMI. Et j'ai mis en mouvement les relations que j'avais. Parce que je me suis rendu compte des grandes qualités de metteur en scène d'Arnaud et qu'il appartenait à une famille, qui est la mienne, qui va au plus près des textes avec une formidable novation tout en manifestant un respect du texte au plus haut degré.

La profondeur du travail qui s'accomplissait autour de lui m'a enthousiasmé. J'ai donc décidé de travailler à ses côtés. Je trouve cela passionnant, notamment parce que je suis retraité de ce métier, d'avoir eu la carrière qui fût la mienne, d'avoir appris le métier d'administrateur grâce à une personne, un bien beau mais aussi difficile métier et de pouvoir mettre ces expériences au service de jeunes comédiens avant de faire le grand voyage.

Et la distribution des rôles ?

Florence Fontaine : Arnaud a fait le casting.

De manière arbitraire et dictatoriale?

Arnaud Denis : Non, pas arbitraire et dictatoriale. La distribution s'est faite en fonction de leur talent et de leur physique.

Florence Fontaine, vous jouez le rôle de la bonne.

Florence Fontaine : Mary est un personnage étrange et énigmatique. Dans ses notes de mise en scène, Ionesco indique qu'elle lit des romans policiers comme "Fantômas" ou "Le mystère de la chambre jaune". Elle est à la fois ambigue, agressive et très inattendue. C'est cette ligne qu'Arnaud m'a demandé de suivre et j'ai donc travaillé dans ce sens. Et puis quand j'ai créé le maquillage du personnage, Mary a vraiment pris corps.

Et vous François Mougenot?

François Mougenot : Je joue M. Smith qui au début de la pièce est un anglais bien typé avec ses préjugés et sa petite vie bien réglée avec de temps en temps une pointe de folie qui surgit et, comme les autres personnages, au cours de la pièce il se déglingue jusqu'à l'explosion finale.

Et Mme Smith?

Géraldine Azuelos : Je ne figurais pas dans la distribution initiale dans laquelle le personnage était interprété par une comédienne plus âgée que moi. Donc, j'ai ajouté le chignon, les petites lunettes. Comme pour son mari, toutes les soirées de Mme Smith se ressemblent, pleines d'ennui. M Smith répond à peine ou répond n'importe quoi. Arrive ensuite le couple des Martin qu'ils n'attendaient plus et ils n'ont en fait rien à se dire car ils son totalement formatés. Seuls la bonne et le pompier sont un peu hors norme et un peu fous. Le grain de folie s'immisce dans ce tableau.

Et Mme Martin?

Arnaud Denis : C'est elle le grain de folie !

Caroline Clerc : Je suis la pièce rapportée de la famille.

Il est vrai que vous êtes la seule à ne pas être passée par les mains de Jean-Laurent Cochet.

Caroline Clerc : Je ne suis passée ni par les mains ni par les pieds ni par rien du tout ! J'ai un parcours assez original dans cette affaire. J'ai d'abord joué en alternance car Géraldine finissait une tournée justement avec Jean-Laurent Cochet et j'ai repris le rôle de Mme Smith. Puis la comédienne qui jouait Mme Martin a dû partir et Arnaud, fortement conseillé, je pense par Jean-Pierre qui me connaissait, m'a proposé de jouer cette Mme Martin. J'ai accepté tout en lui disant que la façon dont je voyais le personnage était différente. Il a accepté et j'ai créé cette pauvre petite créature qui tombe là comme une mouche dans le potage !

Jean-Pierre Leroux : Ce qui est très intéressant dans la scène où le coupe Martin est en tête-à-tête, scène que j'ai un plaisir immense à jouer tous les soirs, comme la pièce bien sûr, car Ionesco c'est grandiose, tient à ce que ce couple qui ne se reconnaît plus est tout à fait réaliste. Après 41 ans de mariage, ils ne se voient plus, ils couchent dans le même lit mais sans savoir avec qui ils dorment car c'est dos-à-dos depuis bien des années. D'où une vision très réaliste et très cruelle du couple après 40 ans de mariage.

Le beau travail d'Arnaud, que l'on fait régulièrement, et il a tout à fait raison de nous tirer là-dessus, alors qu'il s'agit d'un texte complètement fou avec lequel on pourrait faire n'importe quoi, est de rester près du texte. Ce texte n'a même pas besoin de nous, il se fait lui-même. Il n'y a qu'à le dire.

Géraldine Azuelos : Il faut préciser que de cette scène de non-reconnaissance a pour origine un fait réel et vécu par Ionesco lui-même avec son épouse quand ils se sont retrouvés face-à-face dans le métro , Ionesco l'a vécu dans le métro avec sa femme.

Jean-Pierre Leroux : Et à la fin, c'est le monde anglais qui se détériore complètement.

Caroline Clerc : Ce qu'il faut remarquer c'est qu'un jeune metteur en scène est arrivé dans le monde d'Ionesco et l'a enrichi sans l'abîmer. Ce qui est remarquable car pour ma part, les relectures me font frémir quand on annonce une "relecture" du texte.

Aviez-vous vu les versions précédentes de "La cantatrice chauve" notamment celle célèbre et pérenne au Théâtre de la Huchette?

Arnaud Denis : Je l'ai vu 5-6 fois. J'ai découvert la pièce à 12 ans et j'ai adoré cet humour. La première fois quand le rideau s'est levé et que j'ai entendu la pendule sonner à l'infini et le personnage dire "Tiens il est 9 heures!", je me suis mis "à pisser de rire" et je ne me suis jamais arrêté!

Jean-Pierre Leroux : Et ce qui est amusant c'est qu'est ici présent le directeur du Théâtre Clavel, Pascal Martinet, qui nous a fait confiance et a compris que nous avions quelque chose a apporté au théâtre. Et c'est courageux car il y avait déjà une cantatrice dans les parages. D'autant que ce lieu est idéal pour la pièce.

Il est vrai que la structure même du lieu se prête bien à cet exercice car elle donne à la fois une grande proximité avec la scène, ce qui donne au spectateur l'impression d'entrer dans l'intimité des personnages, tout en gardant un œil extérieur.

Arnaud Denis : Et il y a suffisamment de place sur la scène.

Et le public?

Arnaud Denis : Ce qui est étonnant ce sont les jeunes qui rient le plus. C'est-à-dire ceux qui ne la connaissent pas en général. Quand des personnes d'un certain âge me disent : "Ce n'est pas vraiment révolutionnaire, nous connaissons "La cantatrice chauve" !" je réponds : "Vous, vous la connaissez. Il y a plein de jeunes qui ne la connaissent pas. Et c'est pour eux que je l'ai montée, pas pour ceux qui la connaissent déjà trop!"

Le fait que ce sont des jeunes qui rient le plus prouve que non seulement la pièce n'est pas compassée mais aussi que ce style de théâtre très littéraire, d'une très belle écriture, peut plaire au jeune public parce qu' c'est complètement fou. Il s'en amuse autant que devant les Monty Python ou autres choses aussi délurées mais qui n'ont pas cette qualité littéraire.

Vous jouez également dans la pièce, le rôle du capitaine des pompiers.

Arnaud Denis : Je tenais à jouer ce rôle parce qu'il est d'ordinaire présenté comme un homme qui a la quarantaine, un peu poivrot. Je voulais le représenter jeune, un peu séducteur, comme un personnage somme toute un peu mystérieux, une sorte de poupée de cire. Il est sous-entendu dans la pièce qu'il courtise Mme Smith donc je le voyais un peu princier, dragueur. Et pour le coup, cette interprétation du personnage était originale et de plus je ne pouvais pas le faire autrement compte tenu de mon âge.

Comment avez-vous travaillé?

Arnaud Denis : Nous avons fait beaucoup de répétitions, d'italiennes de manière à ce que le texte entre bien dans le corps. Nous avons également beaucoup travaillé les situations. Et au bout d'un moment, il n'y a plus qu'à dire. Parce que l'auteur fait son effet de lui-même et nous restons très vigilants pour éviter d'insister comiquement ou lourdement et faire que l'humour nous dépasse. Si le public nous suit tant mieux. Si un soir le public ne nous suit pas nous n'allons pas le chercher. Cette pièce se regarde comme un tableau et les spectateurs y prennent ce dont ils ont envie.

Quelle est la programmation pour cette pièce?

Jean-Pierre Leroux : Nous jouons au théâtre Clavel jusqu'en avril puis nous aurons au mois d'octobre une série de représentations en province, comme nous venons d'ailleurs de le faire. Cette pièce s'intègre dans tous les cadres possibles. Ainsi par exemple nous avons joué au Casino de Biarritz devant plus de 700 personnes, ce qui était presque trop. Nous irons donc dans une dizaine de villes (Briançon, Bellegarde, Aix-les-Bains, Fontainebleau….). Ce qui est intéressant puisque comme la Huchette ne bouge pratiquement pas nous pouvons proposer notre "cantatrice" au public. Ainsi à Morlaix nous avons fait une représentation dans un théâtre à l'ancienne et le public nous a fait un accueil formidable, debout.

Géraldine Azuelos : D'autant qu'il n'y a pas de tête d'affiche !

Jean-Pierre Leroux : Puis nous jouerons au Vingtième Théâtre dans le cadre de ses matinées classiques pour les jeunes. Ce qui est une suite normale et logique pour ce projet.

La distribution sera-t-elle identique?

Jean-Pierre Leroux : Oui, tout à fait.

Arnaud Denis : Non, mais ils ne le savent pas encore ! (rires)

Profitons de la présence de Pascal Martinet pour lui demander les raisons de son choix tant pour la programmation au Théâtre Clavel qu'au Vingtième Théâtre.

Pascal Martinet : Je vais faire une réponse à la Colette Nucci : "Une relecture par une jeune compagnie avec un jeune metteur en scène d'un classique, c'est intéressant !". (rires). Trêve de plaisanterie. Je pense qu'il est intéressant de reprendre un classique qui pourrait être "chiant" et d'en faire un spectacle d'1h15 qui soit aussi enthousiasmant pour tous les publics qu'ils connaissent ou non Ionesco. Il me semblait donc naturel de programmer cette pièce dans le cadre des matinées classiques pour les scolaires. Ce qui se fera donc en avril-mai 2006.

Parmi vous qui fera partie de la distribution des Fourberies de Scapin?

Arnaud Denis : Seulement Géraldine et Jean-Pierre.

Pour les autres quels sont vos projets ?

Caroline Clerc : Déjà ils font la gueule !

Pourquoi?

Caroline Clerc : Parce qu'ils ne sont pas dans le projet ! (rires)

Parmi vous qui fera partie de la distribution des "Fourberies de Scapin" ?

Arnaud Denis : Seulement Géraldine et Jean-Pierre.

Pour les autres quels sont vos projets ?

Caroline Clerc : Déjà ils font la gueule !

Pourquoi?

Caroline Clerc : Parce qu'ils ne sont pas dans le projet ! (rires)

Jean-Pierre Leroux : Je sais qu'on va te proposer une comédie musicale.

Caroline Clerc : Parfait ! J'en suis fort aise…et bien dansez maintenant ! J'ai un one-man-show un peu "décalé"qui s'appelle "Jamais nerveuse toujours femme du monde" pour lequel je cherche une programmation.

Pour quand ?

Carline Clerc : Chère madame, quelle question ! Je ne peux pas y répondre.

François Mougenot : J'ai un projet de spectacle avec mon frère, Jacques Mougenot qui joue actuellement "L'affaire Dussaert" au Petit Hébertot. Mais il est encore un peu tôt pour en parler.

Géraldine Azuelos : Je joue actuellement les dimanche et lundi au Théâtre des Cinq Diamants "La faute" un drame contemporain écrit par Anne Fabien qui traite des retrouvailles douloureuses de deux sœurs.

Jean-Pierre Leroux : Je continue une activité dont je suis extrêmement fier. Tous les lundis matin, je suis la voix des "Lundis de l'histoire de France Culture ce qui me permets de dire tous les plus grands textes de l'histoire littéraire de notre époque et avec notamment Jacques Legoff qui est un des plus grands médiévistes.

Florence Fontaine : Ce qui est incroyable c'est que je joue "la cantatrice chauve" ici au Théâtre Clavel où j'ai vu il y a 3 ans la pièce dans une mise en scène futuriste. Ce qui était prémonitoire.

Géraldine Azuelos : Nous attendons le jour où nous pourrons changer nos rôles complètement.

Comme Caroline Clerc a joué deux rôles, est-il envisageable que vous changiez de rôle? Par exemple, Caroline Clerc jouerait le capitaine des pompiers.

Jean-Pierre Leroux : Non. Quand Arnaud n'est pas là nous avons un autre pompier qui est Alexandre Guansé.

Géraldine Azuelos : C'est un fantasme, une idée folle dont on rêve ! Mais cela n'est pas réalisable !

Caroline clerc : Nous sommes cernés par les fous, chère madame, c'est surtout ça !

 

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La chronique du spectacle La cantatrice chauve


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