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Interview  (Paris)  août 2005

Vegomatic, auto surnommé "a french electrosurf band", c'est depuis février 2004, Thierry Los (guitare/chant), Macha Kouznetsova (chant/synthé), Gérard Gacoin (batterie) et Eric Los (basse).

Un groupe qui dépote sur scène. Nous les avons rencontrés juste avant leur concert à la Flèche d'Or pour parler un peu du présent et beaucoup du futur.

Parlez-nous du Vegomatic d'aujourd'hui.

Thierry Los : Vegomatic existe depuis 2000 avec le batteur Gérard Gacoin une bassiste et un clavier qui sont partis en 2003. Vegomatic actuellement sur scène ne reflète pas celui qui a réalisé l'album en 2002. On peut même parler d'un nouveau groupe avec l'arrivée de mon frère Eric et de Macha que l'on a rencontrée et a qui remplacé Muriel qui chantait sur le single "French up" qui passait sur les radios et nous a fait connaître. Quand elle a quitté le groupe, il fallait la remplacer et ce par une fille. Le hasard a placé Macha sur notre chemin et qui a une personnalité un peu plus extravagante.

Gérard Gacoin : En fait, Thierry jouait seul sur scène et il demandait au public des volontaires pour faire les chœurs. Et Macha s'est présentée.

Thierry Los : Donc elle chante en front side puisque n'ayant pas d'instrument et nous souhaitions l'impliquer davantage. Et puis comme ses petits doigts la démangeaient on lui a donné un clavier dont d'ailleurs elle ne savait pas jouer. Au départ, Macha n'est ni musicienne ni chanteuse mais comédienne. Cela étant nous avons perçu son potentiel. Et qu'à l'heure des chanteuses à voix c'était bien d'avoir….

…des chanteuses à corps (Ndlr : sourire….compte tenu de la plastique de Macha)

Thierry Los : …à personnalité.

Gérard Gacoin : Elle est en décalage avec les chanteuses à voix. Elle ne sait pas chanter mais elle a autant de présence.

Thierry Los : La difficulté pour elle tenait à ce que sur scène on ne joue pas. Il faut être soi-même pour que cela passe vraiment. Il a fallu qu'elle s'habitue à faire du rock ce qui n'est pas comparable au théâtre. Et être soi-même est la chose la plus difficile surtout quand on est sur scène et en public. Depuis 6 mois, nous avons trouvé le bon rythme.

Gérard Gacoin : Et puis entre les 2 line-up, il y a eu une pause pour Vegomatic et nous avons joué chacun de notre côté.

Toujours chez Futur now?

Thierry Los : Non. Car nous nous sommes rendus compte que quand, comme c'était notre cas, on est chez un petit label et un petit distributeur il valait mieux faire le travail tout seul car ils ne disposent pas de gros moyens. Si on enlève le label il reste le groupe et le distributeur ce qui réduit le nombre d'intervenants et donc un gâteau à partager en moins de personnes. De plus nous restons propriétaires de nos bandes puisque nous avons notre propre studio. Future Now nous a donné un bon coup de main mais il est vrai que pour continuer il faut parfois se séparer de ceux qui nous ont mis le pied à l'étrier.

Quelle place occupe le groupe dans l'ensemble de vos activités qui sont dans le domaine musical ? En d'autres termes s'agit-il pour utiliser une expression courante d'une danseuse ou cela représente-t-il un vrai projet?

Thierry Los : le groupe pérenne a toujours constitué un objectif pour Gérard et moi mais le problème est que tant qu'il n'y a pas de retombées financières c'est un peu une danseuse mais cela n'en demeure pas moins un vrai projet. Depuis 2-3 ans, nous conservons bien sûr des petits boulots à côté mais le groupe constitue notre priorité.

Vous avez toujours travaillé dans la musique?

Thiery Los : Non. Je suis maître-nageur au départ. (rires)

Gérard Gacoin : Nous avons fait beaucoup de choses différentes comme l'illustration sonore.

Thierry Los : On vient quand même du rock. J'ai effectivement été maître-nageur mais pas très longtemps.

Vous continuez à composer de la musique événementielle comme pour des défilés de mode ou pour la télévision ?

Thierry Los : Oui.

Dès le départ vous étiez dans la musique ?

Thierry Los : Au départ je suis maître-nageur. Enfin je l'ai été quelques temps. Nous avons fait des choses très différentes comme l'illustration sonore ou des projets très excitants hors de la scène commerciale.

Nous venons quand même du rock. Gérard projette des films et Eric compose la musique de jeux vidéo depuis toujours. Nous avons beaucoup fait de rock mais vers 2000 nous en avions un peu assez de la formule chanson. Et les rencontres nous ont amené à faire de musiques de défilé de mode.

Ce décalage a intéressé les photographes et les créateurs de mode ce qui explique pourquoi nous avons fait les premiers albums avec Maurizio Galante, Morteza Pashaï, un disque de 70 minutes pour une diffusion en boucle lors de l'inauguration d'un magasin à New YorK. C'était un moment génial où nous n'entendions plus parler de rock. Mais cela fonctionne comme des vagues. A un moment nous avions de nouveau envie de reprendre la batterie et de virer la boite à rythmes. Le naturel revient au galop.

Gérard Gacoin : D'autant que les machines sont très difficiles à gérer sur scène.

Thierry Los : Notre idéal ce sont des bambous pour taper dessus et une guitare.

Gérad Gacoin : Et on revient à la chanson.

Thierry Los : Mais avec de l'énergie. Car nous nous sommes rendus compte que sur scène les gens ont envie de se marrer. Le côté je fais des chansons tristes et je regarde mes pompes c'est pour jouer à la maison. Nous sommes des clowns tristes, des déprimés comme tout le monde mais nous n'avons pas envie d'ennuyer les gens.

Avec ce futur album, comment s'oriente l'avenir de Vegomatic ?

Thierry Los : L'album est prêt mais nous nous donnons 3-4 mois pour préparer sa sortie en mettant tous les atouts de notre côté en termes de sortie et de promotion. Ce disque devrait être un produit dérivé de Vegomatic qui serait un concept notamment lié à l'image. Nous avons donc bon nombre de projets excitants.

Cet été vous assuriez les intermèdes musicaux au Festival Indétendances de la Fnac à Paris Plage. Cela veut-il dire que vous avez une grande culture musicale ?

Thierry Los : Oui. J'ai la passion de la musique. J 'ai toujours acheté des disques. Etudiant je préférais acheter un disque que manger.

Comment s'est passé votre intégration au groupe?

Macha Kouznetsova : Au début, c'était vraiment pour le fun car je suis assez impulsive et enthousiaste pour les propositions nouvelles. Quand il a fallu travailler, j'y connaissais vraiment rien au plan technique. Il m'a fallu tout apprendre notamment au début puisque c'était très électro. Car il n'y a pas de secret : pour s'amuser il faut travailler. Thierry a vraiment le don de réunir des personnes créatives qui a priori n'ont pas de point commun. Et lui perçoit comment ils pourront travailler ensemble. Il est visionnaire.

Thierry Los : C'est très intuitif. Le hasard y est pour beaucoup aussi mais cela donne quelque chose de nouveau. Il est difficile aussi de percer. Il faut dire à notre charge ou à notre décharge que l'album précédent était en anglais. Le prochain sera en français pour cultiver notre jardin.

Dans certaines de vos interviews, vous étiez assez réservé quant au rôle des médias et des maisons de disques et notamment quant à leur motivation profonde qui était parfois éloignée de l'artistique ?

Thierry Los : Charles Trenet sans Cocteau n'aurait pas percé. Dans ce métier, il faut un parrain. Notre idée était de ne pas présenter notre album à un journaliste ou à une maison de disque qui ne sont pas suffisamment curieux et qui ne découvrent pas de nouveaux artistes. Nous n'avons pas encore trouvé notre parrain mais nous avons en revanche des gens qui ne sont pas dans la musique comme le couturier Maurizio Galante. Il faudrait une locomotive qui serait un gros groupe.

Arrivez-vous à vivre de Vegomatic ?

Thierry Los : Non. Moi, j'ai les revenus des droits SACEM et les autres ont des boulots à côté.

Pour votre prochain album, la promotion passera quand même par les médias ?

Thierry Los : Oui, il est difficile de faire autrement.

Gérard Gacoin : En fait, il n'y a pas des tas de solutions. Soit un album est propulsé par de gros moyens soit le groupe se fait connaître sur la durée avec un plan de carrière.

Pour nous il faudrait trouver un mécène qui croit en nous. Cela étant, ce disque sortira de toute façon car il est vital pour la survie du groupe.

Thierry Los : Et le problème est que nous voulons bien vendre des millions d'albums mais aussi que nous voulons faire ce que nous voulons.

Gérard Gacoin : Et dès lors les statistiques ne nous sont pas favorables car il y a peu de groupes à qui s'est arrivé.

Thierry Los : Mais tout ça c'est du business pas très intéressant pour le public.

Vous disiez également que le disque n'avait plus d'avenir ?

Thierry Los : Oui, je pense que le CD sera mort dans 5 ans. L'avenir c'est le MP3 payant.

Alors pourquoi faire un album ?

Thierry Los : Parce qu'il reste encore 5 ans !

Plus de support donc plus de belles pochettes, de beaux objets ?

Thierry Los : Je pense que ce support physique ne sera plus la seule manière de consommer la musique. Il y aura le MP3, le concert, le DVD, le téléphone, le site web. Le CD collector existera sans doute encore. Le support numérique entre complètement dans les mœurs.

Le terme "consommer" n'est-il pas un peu anachronique s'agissant de musique ?

Thierry Los : La musique est un produit de consommation qui fait l'objet d'un échange marchand.

Gérard Gacoin : Il n'y a qu'à voir les rayons de disques des supermarchés pour comprendre que le disque est devenu un produit de consommation.

Les jeunes générations accros au MP3 ont une démarche très différente des générations précédentes. Ils n'écoutent en général qu'un morceau d'un album alors que leurs aînés écoutaient un album.

Thierry Los : Oui. Ils aiment 1 ou 2 titres et se font leur best of. Peut être effectivement que le fait d'aimer un groupe et son univers est moins courant aujourd'hui. Auparavant à défaut de films VHS et de jeux vidéo, restait l'univers musical. Aujourd'hui, les jeunes consomment des univers.

Gérard Gacoin : D'autant qu'aujourd'hui on zappe. On n'écoute plus. Tout va et doit aller très vite.

Thierry Los : Nous sommes aujourd'hui dans le règne du multimédia. Pour le jeu vidéo, il y a la fois l'univers, l'image et la musique et tout est interactif. On peut sélectionner la musique et les images et faire ses propres montages. On était consommateur, on est devenu acteur-consommateur et c'est créatif. Et cela correspond bien à ce que nous voulons faire et à nos centres d'intérêt puisque nous sommes tous dans la musique et l'image.

Vous n'avez jamais œuvré dans la musique de film ?

Thierry Los : Hélas non. J'aimerais beaucoup. Par exemple, j'aurais bien aimé le faire la musique du film "Brice de Nice". C'était notre univers et nous nous serions vraiment éclatés. Le côté décalé-déconne avec du surf et jamais de vagues ce serait mortel. Il est dommage que nous n'ayons pas été au courant à temps ; cela étant ils ont pris Bruno Coulais qui est un vieux de la vieille. Et puis en France, il y a quelques personnages qui se partagent le marché et derrière il faut ramer.

Vous pourriez refaire la bande son.

Thierry Los : Oui, c'est une idée.

Quand vous dites "si nous l'avions su à temps" cela veut dire que vous n'avez peur de rien ?

Thierry Los : Oui. Si je me retrouve à Bercy en première partie d'Iggy Pop, ça ne nous ferait rien du tout !

Gérard Gacoin : Nous avons l'amour du risque (rires et premières musiques de la musique du feuilleton télévisé "L'amour du risque")

Thierry Los : Car notre musique est super simple, basée sur la spontanéité et l'énergie et donc la vie. Donc on fait un concert comme si on sortait dans la rue. La seule chose chiante ce sont les balances. D'ailleurs c'est la raison pour laquelle on en fait de moins en moins.

Gérard Gacoin : Donc on arrive et boum on joue. C'est aussi un peu ça Vegomatic.

Thierry Los : Cela fait longtemps aussi qu'on joue ces morceaux donc on peut se permettre de ne pas répéter. Il y a parfois des petits couacs mais en fait plus il y a de la galère sur scène et plus le public apprécie. Il pense même que les galères sont préparées. Donc il faut s'en amuser.

Macha Kouznetsova : Vegomatic fonctionne que sur des accidents qui sont réels. Donc il n'y a rien de faussement joué. Tout est dans la justesse, dans le moment. C'est du pur happening dans l'énergie et tout le monde s'éclate. Et il ne faut jamais s'arrêter et paniquer.

Gérard Gacoin : Et même quand on va paniquer, le public va croire que c'est volontaire. ! Et puis, cela n'engage que moi, il n'y a rien de plus ennuyeux qu'un groupe qui joue bien. (rires)

Thierry Los : Sauf quand il joue ultra bien. Ainsi Fantomas qui est dans le summum de la technicité, la batterie de Zappa, le guitariste des Melvins, le chanteur de Faith no more mais avec émotion zéro. Sinon, c'est de la petite merde. Autant entendre de la musique classique !

A propos toujours de musique, avez-vous entendu récemment un groupe qui vous a interpellé ?

Thierry Los : Nosfell.

Macha Kouznetsova : Kyo. (hurlements de Thierry Los et Gérard Gacoin). Je reviens d'un festival à Londres. J'ai aimé les Zutons. C'est du rock décalé super, novateur. Il y a aussi les Présidents of United States. C'est top sur scène. Et Sonic Youth. Thurston Moore était trop sexy quand il a mis le manche de sa guitare dans sa braguette.

C'était hyper beau. Et Kim Gordon était trop belle avec une robe hyper courte et une culotte shorty à l'ancienne. Elle tournait comme une poupée et sa robe s'ouvrait comme une corolle. Ils étaient top.

Gérard Gacoin : Le folk américain, Tim Buckley, Donovan, Dylan….

Thierry Los : En ce moment j'écoute beaucoup Fred Neil une guitare sèche, une voix et les histoires d'un mec qui en a chié. Et aussi un peu de distance et d'humour.

Pour en revenir à votre future actualité, de quelle sera la couleur sera votre prochain album ?

Thierry Los : C'est la scène. Batterie-guitares avec de petites touches de synthé envoyées par Macha. C'est beaucoup plus live, moins électro-chanté en français avec des textes débiles en apparence mais profonds si on gratte un peu par exemple comme "G.I. Joe"

Macha Kouznetsova : …ou " vibrant de souffrance intérieure…(rires)

Thierry Los : Il faut savoir qua dans le groupe nous sommes tous très tourmentés, déprimés, malheureux ….

Macha Kouznetsova : …très déprimés du chou…

Thierry Los : …mais que nous avons décidé de nous fendre la gueule !

Gérad Gacoin : C'est une question de survie artistique !

Thierry Los : Nous ne croyons pas en Dieu et donc nous nous posons beaucoup de questions métaphysiques qui nous dépriment. Donc de bonnes raisons pour faire un album rigolo.

Le choix formel vient de quelles influences ?

Thierry Los : En 2000, il y a eu le boum de l'électro d'où le son de Vegomatic mais avec notre passé de rock sixties, de fans des Kinks, des Ramones et surtout de la surf music parce que la guitare de Dick Dale c'était de l'électro sachant que c'était un signal électrique qui passait dans un ressort et qui produisait une réverb énorme qui était un effet. Et l'électro ce n'est que de l'effet.

Le mélange des deux, machines et guitare surf, me paraissaient intéressant. D'où "The surfin robots" et la déclinaison avec l'album "Surfin, Robots and the Correct Use of Rock and Roll". Aujourd'hui, nous sommes de vrais musiciens avec une guitare surf de temps en temps. Nous essayons de faire simple. Et cependant nous restons décalés. C'est peut être ce que l'on appelle la personnalité.

Et avec deux non chanteurs car je suis très loin de Calogero et Macha est très loin d'Hélène Segara (rires). Et les gens qui aiment la musique devraient aimer ce que l'on fait !

 

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La chronique de l'album Ca c'est Vegomatic de Vegomatic
Vegomatic en concert au Point Ephémère (mai 2005)
Vegomatic en concert à La Fleche d'or (23 août 2005)

En savoir plus (et en entendre plus) :

Le site officiel de Vegomatic


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# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
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Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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