J’aime beaucoup Edgär. D'ailleurs, j’en avais dit beaucoup de bien lors de la sortie du précédent album, sorti en 2022. Et puis patatras, la nouvelle tombe sur les réseaux sociaux : Edgär is Dead. Images en noir et rouge. Je ne vous raconte pas comme j'étais triste. Et puis j’ai (très vite) compris que c’était le trailer de leur nouvel album, appelé, tiens-toi bien : Edgär is Dead.

J’étais fébrile lors de la première écoute, parce que je leur trouve un style inimitable, bien à eux, un univers, une sonorité, des mélodies que je trouve reconnaissable entre toutes. Et bien, bonne nouvelle, on retrouve Edgär dans ce nouvel opus. 11 titres, en anglais uniquement cette fois, dans leur univers pop et cette fois un peu plus rock. Je ne vais pas m’en plaindre.

Le duo en a fait du chemin, il a notamment ouvert pour Sting, Alice Cooper et joué au Main Square Festival. Parce que oui, ils se font un nom dans la cour des grands et c’est véritablement mérité.

Ils sont capables de nous emmener dans les années 50 avec un magnifique "Summery Land", nous proposer du rock qui oscille entre The Strokes et Arctic Monkeys ou The Hives. Un titre nommé "Superman" qui devrait vous coller les poils au garde à vous.

Je suis toujours aussi fan de ce duo d’Amiens, constitué d’Antoine Bruno et Ronan Mézière. Les batteries sont assurées par Jocelyn Soler et le piano sur "Summery Land" est joué par Gérald Villain.

Tu l’as compris, c’est un magnifique nouvel album que nous propose Edgär et je lui souhaite le même chemin (en encore mieux) que le précédent.