Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce In the nursery
Interview  Juin 2003

Klive et Nigel Humberstone ont accepté de répondre par mail à une (longue) interview, dont nous tenons à les remercier très chaleureusement, suscitée bien évidemment tant par notre intérêt pour leur groupe "In The Nursery" - qui est en pleine actualité avec la sortie de leur dernier album "Praxis" et un concert donné à la Locomotive à Paris le 20 mai dernier - que par la longévité de leur carrière, l'ampleur de leurs réalisations et leur conception tout à fait singulière de la musique et de leur oeuvre.

Comment vous êtes-vous impliqués dans la musique ?

KH :Nous avons toujours été intéressés par la musique. Notre frère aîné était DJ et il jouait une musique très variée. Nous avons commencé à aller voir des concerts vers 14 ans, et l’émergence de la musique punk démontrait que n'importe qui pouvait faire de la musique.

Je me souviens que nous avons commencé à faire de la musique avec une idée assez vague de ce qui allait en ressortir. Le déclic qui nous a incité a former un groupe et créer notre propre musique provient de l'écoute de groupes comme Joy Division et nous nous sentions presque contraints d'essayer de faire quelque chose par nous-mêmes.

Dès que nous avons eu quelques morceaux à notre répertoire, l'idée de jouer en live et partager nos émotions s’est imposée. Ensuite il nous a encore fallu 2 ans pour enregistrer le mini-LP "When Cherished dreams come true" en 1983.

Quelle formation musicale avez vous ?

KH :Aucun de nous n'a reçu de formation musicale et d'ailleurs nous ne pouvons pas lire la musique. Nous avons joué des tas d'instruments à l'école (enregistreur, trombone, accordéon) mais quand nous avons reçu une guitare électrique pour notre 16ème anniversaire, nous avons commencer l’apprentissage avec enthousiasme. Puis Nigel a acheté une basse et alors nous avons progressé

Vous avez indiqué que le nom de votre groupe avait été choisi, en 1981, à partir de vos réflexions sur votre enfance. Pourquoi ce choix ?

KH :En effet, nous avons choisi "In The Nursery" en 1981 lors de notre premier concert. Ce choix concrétisait notre intérêt pour les divers thèmes de l'enfance, comme l'innocence ou le phénomène de l’autisme.

En outre les aspects psychologiques ont été explorés dans les images et les paroles que nous faisions à cette époque. Le temps a passé et nos influences ont changé, ce nom n'a plus autant de pertinence que par le passé, aussi l’avons nous abrégé en ITN et nous préférons le voir juste comme un logo abstrait.

Pourquoi n’avez-vous jamais quitté Sheffield ? Pourriez vous imaginer faire de la musique ailleurs ?

KH :Nous sommes venus tous les deux à Sheffield pour faire nos études. C'était l'époque où naissait la musique industrielle et chaque soir vous pouviez sortir dans un pub ou un club pour voir des groupes comme Cabaret Voltaire, Human League, Clock DVA, I'm so Hollow, Throbbing Gristle, etc... C'est pendant cette période que In The Nursery a vu le jour.

Plus qu'une ville, Sheffield s’apparente à un village, tout est proche. Après le lycée, il ne nous a jamais semblé nécessaire d'aller vivre à Londres ou ailleurs. Tout ce dont nous avons besoin pour faire notre musique se trouve à Sheffield, et en plus la campagne (pour la relaxation et l'inspiration) se trouve à 10 minutes en voiture.

La gémellité constitue-t-elle un avantage en raison de la symbiose naturelle des jumeaux ? Ne s’agit-il pas d’un autisme à deux ?

KH :Nous ne sommes pas conscient de notre dépendance mutuelle. Simplement, nous travaillons parfaitement ensemble. Les décisions sont toujours facile à prendre.

Votre discographie s’étend sur 20 ans et exprime un désir constant de progression et d'expérimentation. Où puisez-vous cette énergie et cette créativité ? Comment travaillez vous pour être aussi prolifique ?

KH : Il est très difficile d’avoir un point de vue objectif. Je crois que les autres, comme les journalistes ou les fans, pourraient plus aisément apprécier l'évolution de ITN. Mais cette question me fait penser à nos débuts en 1981, à ce moment où nous n'avions même pas imaginé produire notre musique. Ce n'était pas la raison pour laquelle nous jouions ensemble, nous désirions juste jouer pour nous mêmes et réaliser un disque relevait du vague rêve. D’où le titre de notre premier disque "When Cherished dreams come true'

Depuis ce jour, nous continuons de formuler nos envies musicales avec le désir de faire une musique qui correspond entièrement à nos préoccupations.

NH : Je voudrais résumer cela par une de nos citations favorites et devises "Onwards and Upwards - The movement of spirit" (D’avant en arrière - Le mouvement de l'esprit) car j'aime penser que chaque nouvelle tache que l'on entreprend est bâtie sur la précédente en nourrissant notre progression et notre développement.

Avez vous chacun un rôle précis dans le groupe, notamment en ce qui concerne la composition des morceaux, ou s’agit-il d’une collaboration totale ?

KH : En studio prédomine une collaboration symbiotique. Les idées de bases et les atmosphères en revanche sont souvent enregistrées séparément et nous les travaillons ensuite ensemble. En live, les rôles sont plus répartis. Nigel est chargé de jouer la plupart des parties de claviers et s'occupe de la mise en place technique tandis que moi je me concentre sur les percussions, les cymbales et les tambours.

Qu'elle est votre motivation première pour faire de la musique ?

KH : C'est avant tout pour nous..

Utilisez vous des instruments particuliers pour votre musique ?

KH : Oui, des ordinateurs.

Pourquoi chantez vous si peu ?

KH : Tout simplement parce que nous n'en avons eu ni le besoin ni l'envie depuis nos débuts. Mais tout change puisque sur le nouvel album "Praxis" où nous chantons sur 2 morceaux.

Nous avons souvent enviisagé améliorer notre chant. Nigel chante sur "Love will tear us apart" le morceau de Joy Division que nous avons repris sur "Cause+Effect" et j'ai réenregistré les paroles de "To the Faithful" pour la version remixée. Nous chantons aussi un peu en live tous les deux, notamment sur "Mystery" ou "Compulsion".

Ecrivez-vous de la musique en imaginant que ce serait parfait pour un film ou un autre media artistique ?

KH : Oui, en permanence. L'album "Stormhorse" a été enregistré en 1985 comme une bande son d'un film imaginaire. Beaucoup de chansons ont été créées avec des atmosphères cinématographiques par nature ; nous avons également étudié des idées de collaborations avec d'autres artistes dans des domaines comme les galeries d'art, les expositions, les ballets.

Sur disque, la musique d’ITN est à forte prédominance électronique. En revanche, en concert, pourquoi utilisez-vous des d'instruments classiques ?

NH : Le concert live se présente de manière tout à fait différente de la conception des albums. D'abord, nous jouons les morceaux qui sont les mieux adaptés à la scène, des chansons plus puissantes et plus physiques qui nous permettent d'utiliser les percussions et les tambours dont le visuel constitue notre "marque de fabrique".

Pour nous, l'attrait principal est de proposer un mélange unique de technologie et de musique orchestrale qui n’est pas chose commune.

Pourquoi, à la Loco à Paris, partagez-vous souvent la scène avec un autre groupe ?

KH : Ce n'est pas toujours le cas. Beaucoup de nos tournées comportait uniquement ITN . Mais quand on joue dans des festivals ou dans des salles, les organisateurs choisissent un groupe pour la première partie que l'on espère être en adéquation avec le style de ITN.
Les deux dernières fois à la Loco nous étions seuls mais cette fois il y a une première partie qui donnera, nous l'espérons, un aspect plus varié et intéressant à la soirée.

Comment ressentez vous les réactions du public ? Aimez-vous jouer en live ? Les réactions du public sont-elles essentielles ?

KH : Oui, rien ne vaut la sensation de jouer devant un public qui apprécie et prend du plaisir à nous écouter. Ce retour instantané de l'émotion du public contraste totalement avec les heures passées en studio. Les deux activités nous procurent des satisfactions, bien sûr différentes, mais jouer en live réaffirme notre passion de faire de la musique, comme à nos débuts, il y a 20 ans !

Comment élaborez vous la playlist?

NH : Au fil du temps, nous avons essayé beaucoup de chansons et certaines se sont dégagées naturellement comme étant celles qui marchent le mieux, autant pour le public que pour nous. Il y a des incontournables comme "Compulsion" ou "Bombed" que tout le monde veut entendre mais nous aimons aussi jouer des nouvelles chansons.

Peut on dire que l’album compilation "Composite" est une bonne introduction à la musique de ITN ?

KH : Composite contient une large sélection des morceaux vraiment représentatifs de ITN tout comme "Scatter" ou "Exhibit". Pour les néophytes, je recommanderais une de ces trois compilations.

Pourquoi avoir créé votre propre label et vos studios ? Avez-vous des collaborateurs et si non, comment trouvez vous le temps de tout faire ?

NH : A la suite de la fermeture de Sweatbox Records nous avions commencé à ressortir nos premiers disques, donc quand Roadrunner et Thirdmind on décidé de se séparer de nous, nous étions déjà prêts pour monter notre propre label, ce que nous avons immédiatement fait.

L’intérêt essentiel réside dans la totale liberté de création et nous gardons le contrôle artistique de ce que nous faisons. Bien évidemment, cela constitue une énorme charge de travail qui pourrait avoir des répercussions sur la créativité mais nous avons toujours été très impliqués dans tout ce qui est connexe à notre musique aussi est-ce une partie intégrante du processus de création de notre musique.

Pensez vous étendre champ d’action de ITN Corporation à la production d’autres groupes ?

KH : Pas pour le moment, car nous estimons que les nombreux projets de ITN monopolisent suffisamment le label. Cela peut évoluer dans le futur.

Quel genre de collaboration avez vous avec Dolores la chanteuse et le percussionniste Q ?

KH : Nous avons connu Dolorès à l'époque de l’enregistrement de l’album Trinity. Elle arrivait d'Edimbourgh et nous voulions des paroles en français sur "Elegy", on lui a donc demander de passer au studio et cela a marqué le début de notre collaboration... Quant à Q j'ai fait mes études d'art avec lui et nous l'avons recruté quelques mois avant Dolorès.

Pourquoi appréciez vous tant les films muets expressionnistes allemands ?

NH : Parce que ils ont un impact visuel très singulier. Des films comme "Le cabinet du docteur Caligari" vous restent jusqu'à la fin de vos jours. Cela devient une partie intégrante de votre mémoire qui influence indéniablement la façon dont on appréhende l'art.

Avez vous d'autres projets de bande son de films ? Sur quel films voudriez-vous travailler ? Est ce que des metteurs en scène vous ont sollicités ?

NH : Le prochain disque de la série des bandes sons de films, sur laquelle nous commençons d'ailleurs à travailler, sera celle d'un film japonais d'avant garde de 1927 "A page of Madness". C'est un film vraiment impressionnant sur lequel nous travaillons avec beaucoup d'enthousiasme. Cette partition sera basée sur des instruments traditionnels japonais, comme la flûte Shakuhachi ainsi que sur des percussions.

KH : Nous travaillons donc sur notre 5ème projet et nous en avons d'autres en attente. Nous sommes notamment en contact un auteur-réalisateur qui nous a envoyé plusieurs scénarios et qui souhaiterait beaucoup nous utiliser dans une prochaine production.

La musique d’ITN est de plus en plus associée à des jeux videos, des series TV etc.. Qu'en pensez vous ?

KH : Par nature, la musique peut toucher toute sorte de gens. C'est d'ailleurs une des raisons pour laquelle j'ai choisi ce media pour exprimer mes idées. C'est un fabuleux moyen de communication.

Pourquoi avoir sorti "Cause+Effect" qui est une compilation de remixes commandés à d'autres artistes ? Pourquoi aimez vous les remixes ?

KH : En fait je ne suis pas un grand fan des albums de remixes, mais je dois dire que ce fut un vrai plaisir d'écouter toutes les versions que nous avons reçu pour cette album (y compris celles arrivées par internet).

Cela paraît même étonnat que nous n'ayons pas pensé à monter un tel projet plus tôt mais l'idée a germé à partir d'un remix réalisé pour "Assemblage 23" et cette idée a fait boule de neige ensuite.

Si vous ne deviez garder qu'un seul album de ITN, quel serait il ?

NH : "Anatomy of a Poet", surtout en raison des contributions poétiques de Colin Wilson.

Vous êtes jumeaux et vous avez crée 2 groupes. Comment votre projet "Les Jumeaux" a vu le jour ?

KH : Ce n'est pas parce que nous sommes jumeaux, mais plutôt en raison de notre envie d'explorer d'autres horizons musicaux. Le nom est un assez bon choix et curieusement nous a été suggéré par Marcus Featherby, qui avait produit notre tout premier mini LP sur Paragon Records.

Pourquoi avoir choisi ce nom ?

NH : Nous passons énormément de temps dans notre propre studio, à écrire et enregistrer et parfois nous nous surprenons à créer des choses qui ne sont pas vraiment dans le "style ITN" (si toutefois il y en a un). Et comme faire de la musique est avant tout une passion nous avons décidé de canaliser ces créations "hybrides" dans un projet parallèle qui s’est appelé Les Jumeaux. Ce projet nous a donné l’opportunité d’explorer de nouvelles techniques, d'expérimenter librement les possibilités offertes par notre matériel d'enregistrement et puis d'introduire dans notre processus de création des nouveaux sons, de nouveaux horizons sonores.

Qu'est ce qui est différents dans le son et le rythme chez Les Jumeaux ? Les Jumeaux jouent ils en live ?

NH : Nous jouons des morceaux des Jumeaux pendant les live de ITN qui s’int-gre parfaitement aux autres morceaux. Les Jumeaux sont comme un double de ITN mais en variante dance et plus expérimental.

Vous avez dit que n'importe qui pouvait devenir un artiste. Pensez vraiment cela et pourquoi ?

KH : Je crois que chacun a en soi le désir latent de s'exprimer, de créer et par là même d'être un artiste .Le mot artiste ne doit pas être réservé à une élite.

Joseph Beuys, un grand créateur, qui ne se fixait pas de limite, disait que "l’art est un moyen pour l'homme d'effectuer des changements révolutionnaires dans le but de transformer un monde malade en un monde bien portant".

Que pensez vous des MP3 comme nouveau moyen de distribuer la musique ?

KH : A mon avis, cela ne remplace pas le plaisir d'écouter la musique à partir d'un objet concret qui vous appartient, que ce soit un vinyl, une cassette, un mini disc ou un cd.

Quel genre de musique écoutez vous pendant votre temps libre ?

NH : Nous en écoutons très peu et pas assez ! Après avoir passé toute la journée en studio à écouter de la musique, s’asseoir et écouter un disque est la dernière chose dont vous avez envie.

Mais à d’autres moments, cela peut être très relaxant et aider à la réflexion, même si j'ai trop tendance à analyser la musique plutôt que de la laisser m'envahir. Récemment j'ai été très impressionné par des artistes comme Richard Hawley (qui est aussi de Sheffield).

Vous avez vraiment une approche unique de la musique et vous avez beaucoup évolué. Pensez vous que votre musique va encore progresser à l'avenir ?

NH : Je suis ouvert au changement mais je ne voudrais pas prédire le futur et ce que cela va impliquer. Nous verrons bien ce qu'il se passera !

Quel est votre futur immédiat ?

KH : Terminer le cinquième disque de la série "Optical Music" avec la bande son de "A page of Madness" et puis continuer la tournée qui devrait nous amener à la fin de l’année 2003.

J'aime penser qu’ensuite nous pourrons commencer brasser les premières idées pour un troisième album des Jumeaux. C'est quelque chose d'assez "libérateur" de pouvoir travailler sur un projet parallèle à ITN. Vous pouvez focaliser sur d'autres sujets, essayer de nouvelles idées et espérer en ressortir avec quelques chose de nouveau et d'excitant et d’enrichissant. Avec le prochain album des Jumeaux, j'aimerais collaborer avec plus de musiciens, de chanteurs...

Etes vous des artistes comblés ?

KH : Si nous étions parfaitement comblés, sans doute aurions nous arrêtés depuis des années. C'est le désir de créer quelque chose de nouveau et d'inspiré qui est notre carburant.

Si vous deviez résumer votre musique en 3 mots, lesquels seraient ils ?

NH : Et bien, 3 mots associés à notre nouvel album Praxis me viennent a l'esprit : ACTION, EXPLORATION et REFLEXION.

Voulez vous parlez d'un sujet que nous n'avons pas abordé ici ?

KH : Je pense que nous venons de faire un joli tour d’horizon…..

 

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Praxis de In The Nursery
In the nursery en concert à La Loco (20 mai 2003)


MM         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :


# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=