Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Igor Futterer- Roland Farrugia - Marcel Philippot
Interview   (Paris )  23 janvier 2008

Dans "La Nord-Sud", au Théâtre Clavel, dans une adaptation et une mise en scène d'Igor Futterer, Roland Farrugia et Marcel Philippot portent sur scène les "Entretiens avec le professeur Y" de Louis-Ferdinand Céline.

Ce spectacle, qui révèle un véritable, et réussi, challenge pour les trois compères, et une prouesse pour les comédiens constitue, de surcroït, une oeuvre didactique en ce qu'il revêt le caractère d'une excellente introduction à l'oeuvre de Céline.

Nous avons rencontré Igor Futterer, Marcel Philippot et Roland Farrugia pour évoquer, dans une ambiance chaleureuse, avant une représentation, la genèse et les difficultés de l'entreprise.

Comment vous est venue cette idée d'adapter Céline pour la scène, idée d'autant plus hardie qu'elle consistait à ramener à l'oral un texte qui a pour but de retranscrire l'émotion du langage parlé dans l'écrit ?

Igor Futterrer : Je suis parti en résidence d’écriture au Centre National d’écritures du spectacle à La Chartreuse en Avignon. J’y disposais d’une magnifique cellule de 200 m² pour 4 semaines ce que je trouvais très court au niveau du temps pour pouvoir m’exprimer sur un texte original. Donc, dans ce contexte temporel, seule une adaptation n’était possible pour une restitution finale.

Et en y réfléchissant, bingo !, j’ai compris immédiatement qu’il n’y avait qu’un texte qui correspondait à mon état du moment et qui se prêtait à cet exercice : c’était "Entretiens avec le professeur Y"de Louis-Ferdinand Céline. Pour le retour en arrière d’une langue retranscrite de l’oral à l’écrit et qui repasse à l’oral je passe la main aux comédiens car la tâche est ardue.

Mais je n’en n’ai pas encore tout à fait fini avec vous. Céline fait-il partie de vos auteurs de chevet ?

Igor Futterrer : J’ai une passion pour Céline par rapport à l’écriture dont j’ai fait une lecture "panachée". J’ai voyagé en fait dans l’œuvre de Céline de "Voyage au bout de la nuit" aux "Entretiens" puis à "Nord" à "Mort à crédit" sans tenir compte de la chronologie. C’est une oeuvre forte au niveau du style, ce qui, pour moi, est capital. Un style que l’on retrouve chez Michel Audiard, chez Frédéric Dard, chez Alphonse Boudard et tant d’autres qui l'ont transcrite d'une façon plus perverse et moins honnête.

Avant de me lancer dans cette entreprise je ne connaissais pas le travail antérieurement fait par Monsieur Rougerie, il y a 30 ans, et je ne connais pas sa mouture. Mais je pense que la façon que j’ai retenue, amener sur le métro, embrasse la pensée célinienne et je pense avoir trouvé le système de convergence par rapport à ce qui est l’idée du regard social de Céline dans sa technique de captation de l’oral et sa volonté de retranscription stylistique sur l’écrit.

Ce travail était-il destiné à être concrétisé sur une scène ?

Igor Futterer : Au départ, pour moi, l’écriture est avant tout un plaisir personnel. Ca me coûte beaucoup, surtout pour mes œuvres personnelles, mais il y a une volonté de plaisir et de satisfaction personnels. A aucun moment je n’avais pensé à une exploitation extérieure. Ensuite, en dehors d’être immédiatement rebutées du fait de l’association du nom de Céline avec l’antisémitisme, certaines personnes m’avaient prévenues en disant que n'ayant pas les droits d'auteur cela ne mènerait à rien.

Mais je n’en ai rien à faire, d’avoir ou pas les droits d’auteur, dans la mesure où je me suis d’abord fait plaisir. Le projet de restitution scénique est venu bien après. Et à ce moment là j’ai, bien évidemment, procédé à une demande d’autorisation auprès des Editions Gallimard qui détiennent les droits.

Et comment avez-vous ensuite trouver les comédiens ad hoc ?

Igor Futterrer : Quand l’idée a germé, n’étant pas mécène me permettant de monter des spectacles gratuits, je suis passé par des petits laboratoires comme des lectures. Et Monsieur Philippot est apparu.

Une apparition ?

Marcel Philippot : En fait, j’ai été le professeur d’Igor quand j’ai donné, pour mes péchés, des cours dans un fameux cours parisien pour initier les élèves aux classiques parce qu’on considérait que ce n’était pas important, ni intéressant, de jouer les classiques et qu’il valait mieux dire "Passe-moi le sel" avec un micro à 2 centimètres que de savoir jouer "Tartuffe" ou "Lucrèce Borgia". Et parmi les téméraires qui assistaient à cette "boucherie" il y avait Monsieur Futterer et ensuite nous sommes devenus des amis.

Igor Futterrer : Une première lecture est intervenue dans le cadre de l’événement national "Lire en fête" au Théâtre Ouvert avec Monsieur Jean-Paul Farré auquel je donnais la réplique en tant que professeur Y. Ensuite, est venu Monsieur Jean Marie Galey mais le projet n’a pas abouti pour des raisons de distribution. Or, pour moi, ce qui primait était le projet et c’est ainsi que le projet s’est dessiné avec Monsieur Philippot, pour le rôle du professeur Y, qui m’a présenté Monsieur Farrugia.

Votre acceptation pour ce projet, c’était un coup d'amitié, un coup de coeur pour le spectacle, une addiction pour Céline ?

Marcel Philippot : C’est un mélange entre l’amitié, la fidélité, l’envie de me confronter à cet exercice, qui ne me semblait pas facile, et donc, par conséquent, devenait tentant. Et puis, cela me sortait un peu, même si j’ai l’occasion de faire quelques "philippoteries" à l’intérieur du spectacle, de l’univers dans lequel on m’a confiné depuis maintenant plus de 35 ans, à savoir le rigolo de boulevard. Ce que je ne méprise pas du tout.

Ce que je méprise ce sont les gens qui pratiquent l’ostracisme pour un genre de spectacle et cela m’en… nuie terriblement. Car l’étiquetage est une affaire typiquement française. En Angleterre, par exemple, vous pouvez jouer dans un sticom délirant l'après midi et jouer du Shakespeare le soir, cela n’étonne personne. En France, une fois que vous avez joué un valet de Guitry, et que vous l’avez bien joué, on en vous propose 14 ensuite. Pour en revenir à votre question, le premier argument était l’amitié.

Céline est un auteur que je ne connais pas bien et que j'ai eu la maladresse d’aborder par "Bagatelles pour un massacre", ce qui n’était pas la meilleure idée, dont la lecture, évidemment, m’a fait vomir, et qui est assez dissuasive pour poursuivre l’exploration de son œuvre. Quand j’ai lu l'adaptation d’Igor cela m’a infiniment passionné. D’un point de vie strictement dramatique, pour parler du travail d’acteur, c’est redoutablement difficile et Roland ne me démentira pas.

Roland Farrugia : C’est un texte inmémorisable !

Marcel Philippot : L’autre difficulté tient au fait qu’il ne s’agit pas à l’origine d'un texte dramatique mais d'un écrit littéraire. Donc l’alternative était soit de faire une version oratorio en costume noir avec pupitre, et on lisait de manière élégante, soit de mettre en vie le texte. Mais pour le mettre en vie il a fallu beaucoup travailler. Au départ le format prévu par Igor était d’1h 30 et il a fallu faire des coupes sombres.

Et le mot coupure prononcé sous le nez d’un auteur provoque instantanément un oedème de Quincke, une cystite galopante et une gastroentérite (rires de l’auteur). C’était une tragédie. Un beau jour, j'ai dit : "Maintenant je fais le méchant, je prends la hache et on coupe !". Car quand on lui suggérait une coupure, il fallait une demie heure de négociation pour raccourcir d’1/24ème de seconde.

Roland Farrugia : Effectivement, moi il me connaissait peu et, quand je proposais une coupure, cela durait dix minutes et il répondait par la négative. Mais comme Marcel a été son professeur il obtenait un oui.

Pourquoi avez-vous pensé à Roland Farrugia ?

Marcel Philippot : Son visage m’est apparu.(sourires). Le côté émacié de son visage m’a évoqué une similitude avec celui de Céline et, connaissant son travail et ayant entretenu avec lui des relations tout à fait courtoises, et pratiquement amicales, même si elles étaient épisodiques, et l’estime réciproque, me semble-t-il, cela m’est apparu comme une évidence et j’ai suggéré son nom à Igor. Ils se sont rencontrés et le projet a séduit Roland.

Entre nous, les rivalités d’acteur qui empoisonnent l’existence n’existent pas une seconde. On se regarde, on s’écoute, on respecte le travail de l‘autre et, pour reprendre une expression que j’aime bien de Muriel Robin, qui ne dit pas que des sottises : "Il ne faut pas tire la couverture, il faut qu’elle soit bien tendue". Je trouve cette expression très juste et très jolie. Et nous évoluons dans ce registre. Et, en ce qui me concerne, j'ai conçu ce travail comme une collaboration.

Le travail a été important car le rôle de Roland comporte de véritables pavés, avec lesquels on aurait pu refaire le boulevard Saint Michel en mai 68, qui sont, de surcroît, d'une redoutable difficulté de mémorisation.

Comment avez-vous abordé ce texte et ce rôle ?

Roland Farrugia : Quand Marcel m’a appelé un matin, et un beau matin, pour me proposer ce projet, ne connaissant pas Igor, j’ai demandé à voir le texte. La première difficulté réside dans le fait que je ne ressemble pas à Céline et je ne savais ce qu'il voulait en faire. Mon premier souci a été de dire à Igor qu'il n’était pas question pour moi d’incarner Céline. De plus, il s’agit d'un auteur que je connaissais peu, que j’avais vu quand j’étais gamin à "Lectures pour tous".

Car mon métier n’est pas d’imiter. Igor a été d’accord. Je suis donc parti du principe qu’il s’agissait d’un personnage qui s’appelait Céline. Et je ne mets pas dans la peau du personnage. J’allais l’interpréter avec ce que je suis moi. Il n’est pas question de se mettre dans la peau de quiconque car j’ai été comme Marcel Philippot à la même école, celle de Jean-Laurent cochet

Igor Futterer : Ce sont les mots de l’auteur qui ont été découpés, agencés, pour avoir une ligne artistique et théâtrale. Il n’était pas question de garder l’image du clochard de Meudon

Roland Farrugia : Ce sont les mots qui vont entrer dans ma mémoire…

Marcel Philippot : …pardon Roland de t’interrompre, mais sur ce point, Jean-Laurent Cochet disait même "On n’entre pas dans la peau du personnage parce que, réfléchissez deux secondes, c’est le personnage qui entre dans notre corps" et tout devient fulgurant d’évidence tout d'un coup !

Roland Farrugia : …donc les mots, les signes entrent dans mon cerveau pour être mémorisés et ensuite je vais essayer de faire naître et vivre avec de la chair et du sang ce qui ne sont que des mots. Nous étions d’accord sur ce travail. En travaillant j’ai décelé la colonne vertébrale de ce texte et aussi du personnage qu’est Céline. Et au-delà de l’homme que fût Céline qu’on voit souvent comme un antisémite. Ca on l’oublie et il reste le style. Thomas Bernhard disait "Dès que je vois une histoire se pointer derrière un tas de prose, je tire à vue" et c’est ce que dit Céline aussi dans ses entretiens.

Des histoires, il y en a plein les journaux et tout le monde en connait plein. Mais trouver un style, c’est très rare. Il y en a deux par siècles, et encore. Donc il y a eu ce travail sur le style. Il y a aussi la solitude de Céline qui était non pas solitaire mais qui rentrait dans une solitude. Cela me fait penser aussi à Cézanne. Et ce travail sur des personnages comme Céline est époustouflant. Je me sers de petits détails comme le problème d’absence de sensibilité qu'il avait à la main droite, à laquelle il attachait des choses pour ne pas les perdre, qui me permettent d’éclairer un peu le personnage.

Sinon, l'ossature est d'aller au bout de la recherche du style et de refuser tout jusqu'à l’excès. Je voudrai ajouter que dans ce travail, en dehors du style, il y a aussi l’émotion. Car le style, qui vient de la capture de l’émotion du langage parlé pour le retranscrire dans l’écrit, est un style littéraire. Ce n’est donc plus du langage parlé et toute la difficulté vient de là.

Difficulté également notamment avec ce long monologue du début seul en scène.

Roland Farrugia : Oui ; C’est le moment où je suis seul et alors je m’adresse au public qui, de plus ici, au Théâtre Clavel, est très proche de la scène. Cela m’aide mais ce n’est pas cela le plus difficile. Le plus difficile tient au fait que Céline répète souvent les mêmes choses mais avec dans des combinaisons différentes. Je vous donne un exemple ainsi il écrit "L’émotion ne peut être captée et transcrite qu’à travers un langage parlé au prix de patiences infinies" et 3 pages après, il écrit "L’émotion ne se laisse capter que dans le parlé et reproduire à travers l’écrit qu’au prix de mille patiences". Ce qui trouble les repères. Et toute la construction de la pièce est ainsi.

C’est donc un texte très difficile. Il y a ainsi des textes qui sont très difficile dans les classiques comme Marivaux

Marcel Philippot : …alors là quand on parle du style …C’est redoutable ! Il y a une autre difficulté, qui a donné lieu à de nombreuses conversations parfois un peu houleuses avec Igor, à savoir que le fonctionnement de quelqu’un qui lit dans son canapé est différent de celui du spectateur. Si un passage lui échappe, il reprend deux pages plus haut, fait une pause ou reprend le lendemain. Parailleurs, Igor connaît très bien l’œuvre de Céline, mais moi pas, et je l’avoue, non pas à ma grand honte, mais je le dis simplement et donc, je m’interrogeais sur le sens de certains passages.

Igor les re-situait par rapport à l’oeuvre de Céline mais il faut aussi prendre en compte le fait que les spectateurs ne sont pas dans la position du lecteur et n’ont pas ses références. Là résidait la mise en théâtre pour devenir pompeux, la mise sur le théâtre, en tout cas, d’un roman. Le style est naturellement important, puisque c’est le sujet, mais il faut, comme disait Roland, et c’est notre travail d’acteur, mettre de la chair autour du style qui ici constituait l’arête du spectacle.

C’est aussi le rôle de l’acteur d’appeler l’attention du metteur en scène sur ces difficultés ?

Marcel Philippot : Il faut connaître le champ de ses compétences. Je ne revendique rien mais, comme je fais ce métier avec plus ou moins de bonheur depuis plus de 35 ans, j’ai quand même 2-3 vagues idées sur la question. Je ne prétends pas être un donneur de leçon. En plus, je suis un comédien très instinctif tout en connaissant les styles et les auteurs que j'interprète. Et je disais à Igor que, si moi, qui travaille dessus, je ne comprends pas, il n’y aucune raison pour que les gens assis devant nous, qui attendent malgré tout qu’on leur raconte une histoire, comprennent.

Et le piège de ce texte est qu'il n’y a pas d’histoire. C’est une glose, au sens propre, sur le style, la littérature, l’impact de la publicité et sur l'abêtissement des masses par la télévision. Ce qui est d’une cruelle actualité alors que l’écrit date des années 50 où n’existait qu'une seule chaîne qui proposait beaucoup d’émissions intelligentes comme "Lectures pour tous", "Cinq colonnes à la une", "Le petit théâtre de Claude Santelli" et "Au théâtre ce soir" qui est en train de revenir grâce à Monsieur de Carolis.

Même si l’information était sans doute un peu muselée par Monsieur Peyreffitte, on avait quand même une télévision qui n’allait pas gratter les gens là où ça les démangeait et qui essayait de leur proposer des choses qui pouvaient éveiller des curiosités. Ce qui devient de moins en moins vrai. Moi j’accepte qu'on me dise que je suis réactionnaire sur ce coup là.

Vous parliez de curiosité et cela me permet d'enchaîner avec la question suivante. : pensez-vous que ce spectacle peut constituer une bonne introduction à l’œuvre de Céline ?

Roland Farrugia : Bien sûr ! Et c’est d’ailleurs la réaction manifestée par les spectateurs.

Marcel Philippot : Les échos que nous avons déjà sont chaleureux, favorables et positifs. Donc mission accomplie !

Mission impossible et accomplie ?

Marcel Philippot : Non, pas impossible. Je vais reprendre une phrase de Sir Edmund Hillary qui a conquis le premier l’Everest, et qui vient de mourir, à qui on attribue ce mot : "On l’a fait parce que c’était impossible !". Et cela me ramène à la devise de Sarah Bernhardt qui était : "Quand même ! ". Quand on a ces réactions du public ! On ne demande pas qu’on vienne nous trouver à la fin du spectacle pour nous dire que nous sommes l’acteur le plus génial du théâtre.

Le plus grand compliment, et cela vient aussi de Jean-Laurent Cochet, c’est de nous dire : "Ah, quel beau texte que vous avez joué !". Personnellement cela m’a donné envie de lire et relire Céline. Là je me dis personnellement qu'on n’a pas forcément raté le cœur de cible.

 

A lire aussi sur Froggys Delight :

La chronique de "La Nord-Sud"


MM         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :


# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=