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Interview  (Paris)  23 avril 2008

Presque 15 ans sans nouvelle. Après son magnifique deuxième album The Melbourne Method, Kim Fahy déserte la vie publique, du moins le croit on.

A l'occasion de la sortie inespérée du très beau Mabused ! en ce joli mois de mai, Kim revient enfin sur le devant de la scène et nous accorde une interview pour faire un point sur cet artiste des plus doués de sa génération.

Les Mabuses, ca semblait s'être terminé en 1994, après The Melbourne Method. Qu'est-ce qu'il s'est passé pendant 14 ans ? On ne sait pas grand-chose, on a dit que tu as fait comme Syd Barrett. Tu t'es enfermé quelque part, tu as voulu disparaître ?

Kim Fahy : J'ai certainement voulu disparaître en 1994. Depuis, j'ai beaucoup voyagé et collaboré avec des personnes diverses.

C'était une volonté d'arrêter après The Melbourne Method ?

Kim Fahy : Oui, je n'ai pas fait la promotion de cet album, pour diverses raisons. Déjà, il y avait d'énormes problèmes de droits, avec tous les samples, le cinéma, etc. C'était un mal de tête qu'il fallait aborder. Ensuite, j'ai eu des velléités de changement total : je suis parti aux Etats-Unis.

Tu as laissé l'album vivre sa vie dans les bacs.

Kim Fahy : Je n'ai rien fait.

Il n'y avait plus de contrat avec les maisons de disque.

Kim Fahy : Si, il y avait toujours un contrat que j'ai honoré de façon ambigüe. La maison de production voulait absolument promouvoir cet album et en faire quelque chose mais je n'étais pas vraiment disposé à l'époque.

Cet album, c'est quelque chose que tu renies maintenant ?

Kim Fahy : Absolument pas. Il y a de très bons moments dans cet album, des moments de guitare qui me plaisent toujours. Par exemple, le solo du premier titre, j'en suis tout à fait content.

Tu as arrêté les Mabuses de façon publique, tu es parti aux Etats-Unis faire de la musique ?

Kim Fahy : Oui, j'ai rejoint mon ami Chris Wilson qui était là-bas en train de travailler avec Matt Johnson. Il y avait toute une espèce de petite colonie britannique à New York dont faisait partie aussi John Caruthers, le guitariste qui est toujours dans les Mabuses et qui est présent sur cet album.

Quand tu dis que tu faisais de la musique, c'était à quel titre ?

Kim Fahy : A titre d'invité ou de collaborations diverses. J'ai travaillé avec Depeche Mode très brièvement. A un moment, il était question que je joue de la basse avec The Jesus and Mary Chain, ils nous avaient d'ailleurs prêté leur studio pour finir le mixage de The Melbourne Method. J'ai aussi travaillé en tant que bassiste dans un groupe qui s'appelle Miranda Sex Garden qui était sur Mute. Beaucoup de rencontres dans cet univers de Mute aussi, de très bonnes rencontres dont Alex Hacke, Blixa Bargeld, Nick Cave... Mais c'est une question presque psychanalytique parce que je défie qui que ce soit de résumer sa vie de 15 ans en quelques lignes.

Tu parles de Depeche Mode, Blixa Bargeld, Jesus, etc. Quand on écoute tes trois albums maintenant, c'est un univers qui est loin de ce que tu fais en tant que compositeur. Tu intervenais en tant que musicien ?

Kim Fahy : En tant qu'instrumentiste, ou quelques fois même au niveau de la production, ce genre de choses.

En fait, tu as presque changé de métier dans la musique. Il n'y avait pas une frustration ? Tu composais toujours à ce moment là ?

Kim Fahy : Les Mabuses n'ont jamais cessé.

Ca veut dire qu'en 14 ans, tu as à peu près de quoi sortir 25 albums à la suite ?

Kim Fahy : Je n'irai pas jusque là (rires). Ce n'est pas une œuvre très très riche on va dire, mais je ne suis pas resté inactif.

L'album qui sort ces jours ci représente 14 ans d'écriture ?

Kim Fahy : En tout cas, narrativement, ça représente un peu ce qui s'est passé les 10 dernières années.

C'est pour cela que l'on retrouve un gros melting-pot musical sur ce disque, même si cela était déjà présent sur les autres albums, avec des espèces de chœurs chamaniques, un peu indien sur "June" ou des choses plus cow-boys, un peu Calexico sur "Havana". Cela vient de cette histoire de 15 ans ?

Kim Fahy : Oui, quelque part. En fait, je voulais présenter la séquence de cet album comme une espèce de film, comme un voyage. Ca part avec "Dark Star" et puis ça arrive avec "Destination", on ne sait toujours pas où l'on est (rires). C'est un album plus optimiste que les deux premiers, je pense.

Plus optimiste, mais toujours avec ce même ton, qui est un peu ta "signature" : une espèce d'humour un peu distant, cynique, depuis "Kicking a pigeon" jusqu'à tout ça maintenant. Tu as toujours gardé cette espèce de lecture à deux degrés finalement.

Kim Fahy : Tout à fait. Deux, trois, quatre…

Après, il faut rentrer au fur et à mesure que l'on écoute. C'est ça aussi le côté film ?

Kim Fahy : Au niveau du contenu des paroles, j'aime entretenir une illusion de l'absurde. Il y a de la littérature en jeu aussi, des gens comme Edgar Allan Poe, un de mes héros. Un plan cinématographique aussi. J'essaie de retranscrire un peu musicalement la notion perceptive que j'ai de tous les genres. Dans un sens, je ne pense pas que l'on puisse faire vraiment autrement à partir du moment où l'on joue de la musique.

Les textes pour toi sont très importants, des références littéraires assez pointues. La musique est un média indispensable ou tu aurais pu écrire des bouquins ? Peut-être l'as-tu déjà fait…

Kim Fahy : Non, la musique, c'est indispensable. C'est quelque chose de mystérieux dans la notion même de musique, je trouve, que ce soit historiquement, sociologiquement, on va dire qui m'intrigue.

Tes textes ne peuvent passer, en tout cas pour l'instant, que par ce mélange à la musique.

Kim Fahy : Ca dépend des textes. Je pense qu'un texte comme "Byayaba" par exemple, c'est quelque chose que j'ai assez travaillé. Juste en tant que texte cela peut intriguer. C'est important les paroles pour moi.

Inversement, juste en face, on a "Garden Devils" qui est sans texte. C'est un petit exercice de style, une forme d'interlude ? On parle d'éclectisme et là, pour le coup, c'est effectivement encore au-delà de la pop.

Kim Fahy : L'intention première n'est pas de faire un album pop en soit, quoi que l'idée me plait évidemment. "Garden Devils" est sorti d'une influence de Bernard Herrmann, directement tirée de Psychose, de la scène où elle est dans la voiture (ndlr : Kim Fahy se met à chanter la musique du film). Et à partir de là, tout est possible.

On revient aux références cinématographiques.

Kim Fahy : C'est toujours très important dans les Mabuses, le visuel cinématographique.

Tu as des images en tête quand tu écris tes chansons ou quand tu les joues ? Tu parles de cinéma, tu as envie de raconter une histoire. Est-ce que cet album pourrait faire un film de 50 minutes ?

Kim Fahy : C'est ce que ça essaie, oui. Je pense qu'il y a une notion de voyage, de départ et d'arrivée, ensuite de petites scènes.

Cela te plairait de franchir un pas et de prendre la caméra ou écrire des scénarios ?

Kim Fahy : Je n'en ai pas la compétence, pour l'instant, en tout cas, de prendre la caméra et réaliser quoi que ce soit. Mais faire un soundtrack, j'y travaille d'ailleurs en ce moment pour une série télévisée en Angleterre, un truc de détective. On m'a demandé d'élaborer quelques thèmes, ce que j'ai fait avec grand plaisir. J'ai fait quelques musiques de documentaires aussi, donc c'est quelque chose qui m'intéresse.

C'est vrai que sur certaines émissions, certains films, on arrive à trouver une ou deux pistes de tes albums précédents. Ce ne sont pas des compositions qui ont été faites spécialement. Du coup, les images ne sont plus dans ta tête mais sont imposées quelque part.

Kim Fahy : Tout à fait, tu te mets au service de quelque chose de précis. C'est un bon exercice, je trouve. Mais j'en avais déjà fait au travers de la musique de publicité par exemple. Ce genre d'exercice m'a été imposé plus d'une fois. Cela me plait, j'aime les limites, les restrictions et ça affute aussi les techniques que l'on peut développer pour ce genre de choses. Par exemple, il y a peu de titres qui font plus de 2 minutes 30, 3 minutes et ça me convient parfaitement. Il y a un certain format qui me suffit.

C'est ce qui est paradoxal dans ta musique, c'est-à-dire qu'il y a une certaine immédiateté dans la durée, c'est du punk finalement ces morceaux très courts et en même temps, il y a une densité, une complexité du début à la fin, même entre chaque morceau. Chaque morceau est lui-aussi une histoire sonore et au niveau du texte.

Kim Fahy : Ca m'est cher aussi. Le changement de climat, de pièce, d'environnement, je pense que c'est important que ce soit riche.

Du coup, ça t'oblige à composer de façon particulière j'imagine.

Kim Fahy : Je n'ai pas vraiment de méthode pour composer, je prends tout : le texte, les notes, je mélange, je prends une guitare et quelque chose me vient à l'esprit, je règle ça tout de suite, je le mets de côté, je le travaille plus tard parce que je sais qu'il y a un potentiel ou alors je pars à travers un texte, une musique seule. Il n'y a pas vraiment de formule.

C'est à la guitare essentiellement que tu composes ?

Kim Fahy : Guitare, piano.

A mon sens, ce qui explique le mieux ta musique, ce sont tes pochettes ...

Kim Fahy : Tiens, tiens, intéressant ! (rires)

Prenez la pochette, dépliez-la et vous allez comprendre assez rapidement. Tu es conscient de ça ?

Kim Fahy : (Rires) Oui, il y a une correspondance entre la pochette et le contenu. J'aide à la concevoir et à la réaliser aussi. Je trouvais que c'était important de donner vraiment "value for money", tout simplement. C'est la moindre des choses.

Tu penses aussi que ça explique en grande partie le contenu ?

Kim Fahy : Tu veux dire la présentation, le visuel. Oui, tout à fait. Je pense que c'est un objet physique qui me plait.

Le fait de mettre les paroles, c'est ton choix aussi ?

Kim Fahy : C'est un bonus. On peut toujours choisir de regarder les paroles, se plonger dans le disque ou alors de le laisser. J'aime être généreux de cette façon.

Tu n'as pas peur que ça guide trop ou pas assez les gens, que cela les embrouille dans les images que tu as en tête ?

Kim Fahy : Non. Après on fait ce que l'on veut. Je pense qu'il y a assez d'éléments pour justifier la démarche.

On parlait tout à l'heure de problème de droits que tu as eu sur The Melbourne Method. Sur le dernier album, il n'y a pas ce genre de problèmes, j'imagine. Pourtant, il y a quand même une grosse artillerie sonore. C'est un pêché mignon ?

Kim Fahy : J'aime associer des choses qui sont improbables. Il n'est pas si illogique que ça d'avoir Blind Willie Johnson ou Charlie Patton sur une chanson qui n'a, a priori, rien à voir avec ce système de musique. C'est une façon d'exprimer qu'il n'y a pas de catégories, tout est utilisable et tout est associable "harmonicalement".

Donc, tu ne te prives pas de le faire.

Kim Fahy : Absolument pas.

Il y a des tas d'instruments plus ou moins exotiques que tu utilises. Il y a un côté collectionneur aussi ou c'est juste pour l'activité sonore de la chose ?

Kim Fahy : On ne peut pas dire que je collectionne vraiment les guitares, mais j'aime les sonorités qui m'interpellent comme le thérémine ou le sample, par exemple. J'aimerai faire un album avec l'un ou l'autre, les deux je ne sais pas. J'aime aussi les instruments simples comme le ukulélé, le banjo, le piano, cithare, tout ce qui est très accessible, très ludique et purement acoustique aussi. Il y a quelque chose qui me plait.

Effectivement, il n'y a pas beaucoup d'instruments qui ne sont pas des instruments physiquement existants. Quand tu mets des samples, ce sont des samples de films. Tout ce qui est jouable, tu en joues. Il n'y a pas, sur scène, des samplers de 15 mètres de haut par exemple.

Kim Fahy : Absolument pas. D'ailleurs, "soniquement", les samples ne sont pas de la partie. Je n'ai absolument aucune velléité de reproduire exactement ce qu'il y a sur cet album.

Tu disais qu'il y avait un côté ludique ?

Kim Fahy : Toujours ludique. Il faut s'amuser, il n'y a pas autre chose.

Pourquoi finalement il y a un album qui sort maintenant ?

Kim Fahy : En grande partie parce que peut-être l'album était déjà prêt (rires). Deuxièmement, le catalyseur était une conversation téléphonique que j'ai eu avec mon ami décédé. Il s'appelle Nick Griffiths qui était le producteur de The Melbourne Method et qui a fait beaucoup d'autres choses. Je lui avais demandé s'il y avait quelque chose que je pouvais faire pour lui parce qu'il avait un cancer du foie. Il m'a répondu de sortir un bon album et de bien m'amuser. Chose promise, chose due. C'est pour cela que l'album lui est dédié.

Nous, on est content malgré tout. (rires)

Kim Fahy : Au contraire, c'est une espèce de célébration.

J'ai lu ça et là une formulation qui était un peu ambigüe sur cet album : "voici enfin le dernier album des Mabuses". Le dernier album, avant le prochain ?

Kim Fahy : Oui, tout à fait. On ne sait jamais mais j'espère.

On a attendu 15 ans, alors on peut se dire voilà, c'est peut-être une espèce de disque d'adieu.

Kim Fahy : Oui, comme le réalisateur de Badlands et de The Thin Red Line qui sort des films tous les dix ans : Terrence Malick ! Non, rien de tel. Le plan original était de sortir un autre album cette année, ça va être très très juste je pense, mais c'est possible. Si ce n'est pas pour cette année, en tout cas pour l'année prochaine.

Il y a du matériau pour le faire. Après, il y a toujours les contingences économiques qui se greffent dessus.

Kim Fahy : Ce sont des obstacles que l'on verra une fois que l'album sera lancé.

Deux mots sur "I Want You" des Wantones : ça aussi, c'est une parenthèse ludique avec JP Nataf ?

Kim Fahy : J'ai déjà exprimé beaucoup de réserve à propos de ce projet, ce n'est pas quelque chose que j'aurai sorti tel quel. J'aime beaucoup les contributions des autres, mais je ne suis absolument pas satisfait de mes propres contributions sonores sur cet album.

Il y a un titre des Mabuses dessus.

Kim Fahy : Il y en a un, c'est vrai. On le réenregistrera peut-être, je ne sais pas. Ca m'étonnerait d'ailleurs… J'ai notamment des réserves à propos de la pochette aussi. Cela a été un grand débat, cela n'a pas été antipathique pour que ça passe en conflit mais ce n'est pas quelque chose que je peux revendiquer avec un enthousiasme débordant.

Et cette collaboration avec le Professeur Inlassable ?

Kim Fahy : Tout à fait ! Il a sorti un album qui s'appelle La Leçon Numéro 1 sur lequel j'ai beaucoup contribué. C'est sorti il y a à peu près 5 ans, c'était un des projets des quinze dernières années. Il est question de faire ou une suite ou alors un album qui dirait le Professeur et Kim ou Kim et le Professeur. C'est déjà la moitié écrit.

Tu vis où maintenant : à New York, à Londres ?

Kim Fahy : J'ai passé la majeure partie de mon temps l'année dernière à New York, Brooklyn où l'album est déjà sorti d'ailleurs. Sinon, ça se passe à Londres.

Partout tu as des projets différents, ici avec JP ou avec le Professeur, à Londres et à New York d'autres collaborations. Tu n'as pas le temps de t'ennuyer finalement.

Kim Fahy : Très peu.

C'est nous qui nous nous ennuyons depuis 15 ans.

Kim Fahy : En écoutant l'album ! (rires)

Très honnêtement, certainement pas, non ! The Melbourne Method, je l'écoute encore très régulièrement.

Kim Fahy : Tu es un des rares parmi les gens qui aiment les Mabuses à me parler de The Melbourne Method en des termes si élogieux. Les gens, en général, ont été beaucoup plus marqués par le premier. C'est assez claustrophobe, The Melbourne Method, quelque part. Mais je pense qu'il y a une autre attitude sur cet album, plus ouverte.

Une dernière question que l'on pose en général en fin d'interview : si ton (ou ta) meilleur ami partait très loin et a priori tu n'aurais plus beaucoup de chance de le (ou la) revoir. Pour qu'il pense à toi, tu lui offrirais un disque de ta discothèque. Quel disque prendrais-tu pour le lui donner ?

Kim Fahy : Dans les grands classiques, il y en a beaucoup. "Revolver" peut-être (ndlr : des Beatles), surtout si c'était un ou une amie très jeune qui commençait à écouter de la musique, ou peu importe. Je pense que "Revolver" est assez éclectique justement pour donner une bonne vision de ce qui peut être fait musicalement, de liberté musicale.

C'est important pour toi cette liberté musicale, de pouvoir faire ce que tu veux avec qui tu veux, quand tu veux ?

Kim Fahy : Très très important.

Retrouvez The Mabuses
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La chronique de l'album Mabused ! de The Mabuses
The Mabuses en concert au Café de la Danse (21 mai 2008)

En savoir plus :
Le site officiel de The Mabuses
Le Myspace de The Mabuses


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The Mabuses (23 avril 2008)


# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

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"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
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"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
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"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
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Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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