Musique sep Théâtre sep Expos sep Cinéma sep Lecture sep Bien Vivre
  Galerie Photos sep Nos Podcasts sep Twitch
 
recherche
recherche
Activer la recherche avancée
Accueil
 
puce puce
puce Festival International Benicàssim 2008
The Ting Tings - Heavy Trash - José Gonzáles - The Brian Jonestown Massacre - Eef Barzelay - American Music Club - My Morning Jacket - Tricky - The Kills - Booka Shade - Da Punto Beat - The Raconteurs - Gnarls Barkley - Metope - Tiefschwaerz - Ivan Smagg  (Benicàssim, province de Castellón)  samedi 19 juillet 2008

De par la situation maritime et ensoleillée de Bénicassim, il est très facile d’arriver assez tard aux premiers concerts de la troisième journée du FIB 2008 qui ont lieu vers 18h, surtout après la fatigue et l’alcool de la veille.

18h40 : C’est ainsi que je rata sans gros regrets le duo mixte anglais The Ting Tings, groupe giga-fashion du moment, à la CSS sans le côté électro (ils jouent partout au Royaume-Uni et même un peu aux USA : fulgurant succès).

J’espère que les Anglais du festival étaient réveillés à cette heure peu avancée de la matinée pour faire du air guitar sur leur tube entêtant "Shut up and let me go".

20h00 : Oups, pardon : 20h30. Le groupe rockab’ Heavy Trash (avec véritable contrebassiste et gomina) de Jon Spencer et Matt Verta-Ray a une demi-heure de retard. D’ailleurs, ils semblent débarquer de leur avion tant rien n’est en place et surtout tant le son en façade est pourri ! L’ingé-son semble complètement dépassé et désabusé. Jon Spencer essaie sans cesse d’haranguer la foule de par ses trop nombreux "Ladies and Gentlemen !" ; les musiciens mettent de la bonne volonté, la voix est plongée dans une réverb hyper 50’s mais rien n’y fait, le son est tellement une bouillabaisse que l’ambiance dans le public, quand il ne déserte pas, est proche de celle d’un concert de musique classique. Grosse déception donc car à l’écoute de l’album, on se dit qu’il y a clairement moyen de foutre le feu. Peut-être à revoir dans un petit club.

20h30 : Résultat, la foule s’agglutine encore plus autour de José Gonzáles et sa guitare acoustique sur la petite scène Fibclub. Joli moment d’une douceur extrème passé en compagnie du plus argentin des suédois. La foule réagit énormément dans les premiers rangs ; le reste discute et semble plutôt attendre la suite des concerts, tout comme moi car voilà que se présente…

21h00 : …The Brian Jonestown Massacre sur la grande scène.

On s’attend toujours à ce que tout aille à volo avec l’ultra charismatique Anton Newcombe et son groupe plus ou moins reformé depuis que le fameux documentaire Dig ! est sorti.

Mais cette époque de bastons sur cette scène est révolue depuis qu’ils repartent en tournée. Même le public sombre de moins en moins dans la provoc qui tentait d’attiser le courroux d’Anton. Ainsi, on peut bien mieux apprécier ses énormes talents de songwriter.

Justement, aujourd’hui, l’ambiance est bon enfant ; Anton joue toujours à gauche de la scène comme pour surveiller le groupe et il sourit régulièrement en plaisantant souvent avec ses acolytes.

Parmi eux est enfin revenu mon idole, Joël Gion, le tambourine man aux rouflaquettes surdéveloppées qui trône au milieu de la scène. Il a trop la classe le Joël, avec sa veste sans manches et son fameux air de débile mental. Anton se félicite d’ailleurs du retour de son compère et le dit au micro ; Joël répond : "You’ll make me cry, Anton...".

Par hasard, un feu d’artifice démarre dans la ville, juste derrière la grande scène.

Ce concert étrangement festif des BJM se déroule sans encombre et Anton demande même régulièrement au groupe quels morceaux ils peuvent enchaîner, comme s’il n’y avait pas de setlist définie.

A la fin, il reste de la place pour deux morceaux, annonce Anton ; il n’y en aura finalement qu’un seul puisqu’un réaccordage de sa guitare prendra trois minutes dans un étrange silence. Sinon, bonne ambiance et bon son = public ravi.

21h30 : Avec tout ça, pas le temps d’aller voir Eef Barzelay, le leader de Clem Snide, qui a apparemment conquis la petite scène de par son country-rock mélancolique. Idem pour American Music Club qui est à l’autre bout du festival sur la scène Fiberfib. Dommage, la pop de ces Californiens est vraiment sympa et planante. Ils feraient un bon plateau en compagnie du prochain groupe à passer sur la Escenaria Verde.

22h30 : My Morning Jacket (from Kentucky) tente d’enflammer la grande scène avec son rock assaisonné de folk et de solos de guitare bluesy derrière un chant atmosphérique en voix de tête.

L’introduction avec le morceau "Evil Urges" donne le ton de leur set : planant, mais régulièrement servi par une batterie binaire avec un kick lourd.

Les grattes sonnent bien grassement ; l’ambiance est sympa, peut-être un peu trop "papa" ». Mais le public restant semble avoir la banane.

23h00 : Tricky est attendu par près de 12000 personnes sous la tente Fiberfib, mais pas par moi.

Je regarde d’un œil distrait dix minutes de concert depuis un des côtés de la scène : l’atmosphère, visuelle ou sonore, est très sombre.

Tricky se démène sur des morceaux pas très enflammants, devant un public semblant mitigé. La presse du lendemain ne sera pas convaincue non plus.

00h00 : The Kills : Jamie "Hotel" Hince est fidèle à son slim ; Alison "VV" Mosshart semble désormais habillée par un couturier. Pour elle, fini la frange de douze mètres ; désormais, avec la raie au milieu et les cheveux toujours longs, on peut enfin contempler son joli minois.

Hotel n’arrête pas ses moonwalks latéraux et semble se déplacer sans bouger les jambes (sans doute une vieille ruse indienne pour capter l’attention quand on est que deux sur scène). Sa guitare Hofner sonne toujours aussi dégueulasse et sourde : parfait. VV est sublime, comme d’hab, mais peut-être un peu moin rock’n roll qu’avant et un peu plus mannequin pour Vogue. En parlant de ça, Kate Moss ne serait actuellement plus avec Hotel, VV serait jalouse, mais tout ça on s’en fout.

Leur album Midnight Boom est bien représenté durant le set avec par exemple en opening "URA Fever" : grosse ambiance dans le public.

Un peu plus tard, "Alphabet pony", "Getting down", avec ses soupirs saccadés, enchaîné avec "Cheap and cheerful" feront même danser une bonne partie de l’audience.

La grande scène n’est peut-être pas l’endroit idéal pour les Kills : deux musiciens avec un beat électronique + guitares + voix, peuvent rapidement lasser, d’autant que Mika ne leur a pas prêté son décor de cirque et ses danseuses. Mais désormais, le set est étoffé ; après 3 albums, les morceaux charismatiques, voire les tubes, sont légion. D’ailleurs, les Kills se permettent de ne pas rejouer "The Good Ones" : dommage quand-même.

00h30 : Les Allemands de Booka Shade font s’agiter sous la tente Fiberfib ceux qui n’aiment pas The Kills par leur set électro-80’s.

Et peu après, les Mexicains de Da Punto Beat font se trémousser la petite scène de par leur électro-funky-house avec guitare et basse.

01h30 : The Raconteurs : Le groupe des deux chanteurs/guitaristes Jack White, Brendan Benson accompagnés par la section rythmique des Greenhornes, enchaîne sur la grande scène.

C’est incontestablement le concert le plus attendu de ce soir (du festival ?), vu la densité de la foule. Quand ces musiciens charismatiques, en vogue et n’ayant plus rien à prouver créent un groupe pour se faire plaisir, ça donne à chaque fois un concert assez énorme ; et c’est le cas ce soir.

Leur décor est planté avec leur fidèle "R" écrit sur une toile énorme typée armoiries qui descendra sur le fond de la scène. Celle-ci évoque une ambiance mi-saloon, mi théâtre. Les deux leaders sont lookés cow-boy avec jean et stetson pour Brendan, gilet imprimé d’ossements et futal cavalerie pour Jack. Celui-ci a encore une touche incroyable, surtout sa coupe de cheveux épaisse et bouclée tout droit sortie des meilleurs toiletteurs.

Et ça commence avec du lourd, "Consoler of the lonely", titre éponyme du dernier album, qui fout le feu d’entrée, enchaîné avec "Hold-up", autre titre jouissif. Brendan chante peut-être un peu moins souvent, mais lui officie sur les quelques morceaux un peu plus tranquilles, comme "Many shades of black". Jack électrise toujours par ses solos au son bluesy/crado, par exemple sur "Level", et hurle souvent dans un micro 50’s raccordé à un ampli donnant un son de vielle radio nasillarde.

Au milieu du set arrive le gros tube du premier album "Steady, as she goes", apparemment devenu mythique tant le public hurle les bras en l’air lors des premières notes. D’ailleurs, les musiciens laissent traîner l’intro environ une minute, le temps que l’audience prenne ses marques pour le pogo du refrain.

C’est à ce moment précis que le record de jets simultanés de gobelets de bières dans la foule a été battu. Les flashs des lights entourant la scène crépitent par centaines (de kilowatts) jusqu’à la fin du show.

L’ovation finale durera un sacré moment et le groupe saluera en faisant la révérence, comme au théâtre. Bravo, bravissimo.

Les Raconteurs avaient déjà fait un cover du "Crazy" de Gnarls Barkley au festival Lollapalooza 2006 ; cela aurait été de bon aloi à Benicàssim pour une transition en douceur, mais il n’en fut rien.

03h00 : Les Gnarls Barkley de Danger Mouse et Cee-Lo prennent donc la suite mais comme nous venons de vivre un pur moment de rock, nous les évitons. De toute façon, leur set est toujours le même, avec le tube "Crazy" à la fin. En attendant, l’imposant Cee-Lo fait admirer sa texture vocale en se transformant en preacher sur les morceaux rapides où il pousse sa voix, ou en prenant l’air tout tristounet quand la chanson est mélancolique.

Tout ça, sur un fond musical chiadé soul-groove (mais avec de vrais musiciens et pas que des samplers, ouf…).

S’en suit enfin pléthore de dj’s sur 3 scènes.

Avec un live électro minimal des berlinois Metope, un mix électro des autres allemands Tiefschwaerz, un mix house du dj français habitué du FIB Ivan Smagghe, un mix plus acid par le canadien John Acquaviva

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :
Jeudi 17 juillet au Festival International de Benicàssim
Vendredi 18 juillet au Festival International de Benicàssim
Dimanche 20 juillet au Festival International de Benicàssim

Jeudi 17 juillet du FIB vu par Mathilde
Vendredi 18 juillet du FIB vu par Mathilde
Samedi 19 juillet du FIB vu par Mathilde
Dimanche 20 juillet du FIB vu par Mathilde

La chronique de l'album Super Critical de The Ting Tings
Articles : Festival Rock en Seine 2010 - Programmation du dimanche - Wallis Bird - The Temper Trap - Success - The Black Angels
The Ting Tings en concert au Festival La Route du Rock 2008
The Ting Tings en concert au Festival des Inrocks iDTGV 2008
The Ting Tings en concert à Paléo Festival #34 (2009)
The Ting Tings en concert au Festival Garden Nef Party #4 (2009)
La chronique de l'album Midnight Soul Serenade de Heavy Trash
Heavy Trash en concert au Festival de Dour 2006 (dimanche)
The Brian Jonestown Massacre en concert à La Coopérative de Mai (7 juin 2006)
The Brian Jonestown Massacre en concert au Festival Primavera Sound 2006 (samedi)
The Brian Jonestown Massacre en concert à l'Elysée Montmartre (28 octobre 2006)
The Brian Jonestown Massacre en concert au Festival International Benicàssim 2008
The Brian Jonestown Massacre en concert au Festival Le Printemps de Bourges 2010 (samedi 17)
The Brian Jonestown Massacre en concert à Aéronef (mercredi 28 avril 2010)
The Brian Jonestown Massacre en concert au Festival Les Eurockéennes de Belfort #24 (2012) - dimanche
The Brian Jonestown Massacre en concert au Festival Rock en Seine 2016 - Vendredi 26 août
The Brian Jonestown Massacre en concert au Festival Le Cabaret Vert #12 (édition 2016) - jeudi 25 août
The Brian Jonestown Massacre en concert au Festival La Route du Rock #31 (édition 2023)
La chronique de l'album The Golden Age de American Music Club
La chronique de l'album Evil urges de My Morning Jacket
La chronique de l'album Kadavar - Pond - My Morning Jacket - Last Train - Hot Chip - Here we go magic - Tame Impala de Festival Rock en Seine 2015 - Dimanche 30 août
La chronique de l'album Knowle West Boy de Tricky
La chronique de l'album Mixed Race de Tricky
La chronique de l'album Ununiform de Tricky
Tricky en concert au Festival Art Rock 2009 (Samedi)
Tricky en concert au Festival FNAC Indétendances 2010 (vendredi 13 août 2010)
Tricky en concert au Festival Jardin du Michel #9 (édition 2013) - vendredi et samedi
Tricky en concert au Splendid (samedi 14 décembre 2013)
Tricky en concert à Oeno Music Festival #2 (édition 2015)
La chronique de l'album Keep on your mean side de The Kills
La chronique de l'album No wow de The Kills
La chronique de l'album Midnight Boom ! de The Kills
La chronique de l'album Blood Pressures de The Kills
La chronique de l'album Ash & Ice de The Kills
The Kills en concert à La Cigale (7 juin 2003)
The Kills en concert au Festival Les Inrockuptibles 2003
The Kills en concert au Festival La Route du Rock 2004 (vendredi)
The Kills en concert à La Cigale (3 juin 2005)
The Kills en concert au Festival Le rock dans tous ses états 2005
The Kills en concert au Festival Le rock dans tous ses états 2005 (vendredi)
The Kills en concert au Festival des Vieilles Charrues 2005 (samedi)
The Kills en concert à la Salle des Fêtes de Ramonville (30 mai 2005)
The Kills en concert au Festival International de Benicassim 2005 (vendredi)
The Kills en concert au Festival La Route du Rock 2009 (samedi)
The Kills en concert au Festival La Route du Rock 2009 (samedi) - 2ème
The Kills en concert au Festival Rock en Seine 2011 - Programmation du vendredi
The Kills en concert au Festival La Route du Rock #21 (samedi 13 août 2011)
The Kills en concert au Festival Rock en Seine 2011 (vendredi 26 août 2011)
The Kills en concert au Festival Solidays #14 (édition 2012) - vendredi
The Kills en concert au Festival Beauregard #4 (édition 2012) - Vendredi
The Kills en concert au Festival Beauregard #8 (édition 2016) - samedi 2 juillet
The Kills en concert au Festival Cabaret Vert #13 (édition 2017) - Vendredi 25 août
The Kills en concert au Festival La Route du Rock #32 (édition 2024)
La conférence de presse de The Kills (août 2004)
La chronique de l'album Broken Boy Soldiers de The Raconteurs
Ivan Smagghe en concert au Festival de Dour 2004 (jeudi)

En savoir plus :
Le site officiel du festival

Crédits photos : ManuD (retrouvez toute la série sur Taste of Indie)


Spud         
deco
Nouveau Actualités Voir aussi Contact
deco
decodeco
• A lire aussi sur Froggy's Delight :

• A écouter aussi sur Froggy's Delight :

Le morceau caché, Angels with dirty faces de Tricky (21 décembre 2008)


# 10 novembre 2024 :Basculer du côté obscur

Chez Froggy's on préfère les chanteurs peints en bleu que les présidents peints en orange. Mais comme on n'y peut rien, il ne reste qu'à attendre et lutter avec les moyens du bord: la culture. C'est parti pour le programme de la semaine.

Du côté de la musique :

Nouvelle saison du Morceau Caché ! nouvel épisode "Rebonds, Partie 3"
Les Transmusicales de Rennes c'est bientôt !
"Blind faith" de Gemma Hayes (et la chronique disponible en anglais également)
"Drinking Songs Live 20 years on" de Matt Elliott
"Le prince de cendres" de Hum Hum
"Rita Strohl, Volume 3, musique orchestrale" de Orchestre Nationale d'Ile de France
"Michel Lysight, Equinox" de Rachel Talitman, Jean Marc Fessard, Mavroudes Troullos & Ensemble Mendelssohn
"Le voyage imaginaire de Mozart au Japon" de Trio George Sand, Violaine Despeyroux & Mieko Miyazaki
"Burning tales" de Underground Therapy
"Debussy, Ravel, Satie : Piano twins" de Vanessa Wagner & Wilhem Latchoumia
"Poppy field" de Wendy Pot
et toujours :
"Disco sucks" de Catchy Peril
"Potion" de Djé Balèti
"Apocalypto" de Silmarils
"Made in china" de Soviet Suprem
"A place where life is better" de Back In The City
"No Title As Of 13 February 2024, 28,340 Dead" de Godspeed You ! Black Emperor
"Infinite Vol. II" de Jean-Pierre Como
"Dans l'attente d'un signe" de Kaori
"God doesn't exist" de Sex Shop Mushrooms
"Von B." de Von B.

Au théâtre :

"n degrés de liberté" au Théâtre de Belleville
"La Chute de la Maison Usher" au Théâtre Darius Milhaud
"Lumière !" au Théâtre Le Lucernaire
"Pauvre bitos ou le diner de tête" au Théâtre Hébertot
et toujours :
"A la lumière des flammes" à La Manufacture des Abbesses
"L'homme à la guitare bleue et les gipsy kids" à La Comédie Saint-Michel
"Tu voulais un coup de foudre ?" au Théâtre du Marais
"Livraison comprise" au Studio Hébertot
"Un monde possible" au Théâtre Lepic
"Arletty, un coeur très occupé" ah Théâtre des Mathurins
"Have a good day !" au Théâtre du Rond-Point
"L'amante anglaise" au Théâtre de l'Atelier

des reprises :
(des pièces déjà chroniquées qui reviennent à l'affiche, atttention, parfois c'est dans un théâtre différent)
"Black legends, le musical" à Bobino
"Come Bach" au Théâtre Le Lucernaire
"Le horla" à la Folie Théâtre
"Le journal d'un fou" au Théâtre Ranelagh
"Le revizor" au Théâtre Le Ranelagh
"Marchine de cirque" au Théâtre La Scala
"Pôvre vieille démo-crasseuse" au Théâtre l'Essaïon
"Inavouable" au Théâtre La Scala
"Vole Eddie volle !" au Théâtre Montparnasse
"Le secret de Sherlock Holmes" au Café de la Gare
"Kessel, la liberté à tout prix" au Théâtre Rive Gauche
"Cloture de l'amour" au Théâtre de l'Atelier
"La rivière à l'envers" au Théâtre Essaion

Du côté de la lecture :

"Dernier meutre au bout du monde" de Stuart Turton
"Sparte contre Athènes" de Manuel Rodrigues de Oliveira
et toujours :
"L'heure bleue" de Paula Hawkins
"Anthologie présentée et commentée par Gabriel Martinez-Gros" de Ibn Khaldun
"Confessions d'une loser et autres romans" de Mark Safranko
"1945' de Jean-Christophe Buisson
"Histoires de frantômes" de Jeannette Winterson
"Ocean state" de Stewart O'Nan
"Un éclair bleu azur" de Kwon Yeo-Sun

'aller au cinéma ou regarder un bon film :

"Au Boulot !" de Gilles Perret et François Ruffin

"Le repli" de Joseph Paris
"Rivière" de Hugues Hariche
"Les oubliés de l'amérique" et autres films de Sean Baker
"Terrifier 3" de Damien Leone
"Papa est en voyage d'affaires" de Emir Kusturica

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
twitch.com/froggysdelight | www.tasteofindie.com   bleu rouge vert métal
 
© froggy's delight 2008
Recherche Avancée Fermer la fenêtre
Rechercher
par mots clés :
Titres  Chroniques
  0 résultat(s) trouvé(s)

Album=Concert=Interview=Oldies but Goodies= Livre=Dossier=Spectacle=Film=