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Interview  6 février 2009

Nous avons rencontré les quatre membres d’Utopium en pleine promotion de leur deuxième album Doubleplusgood. Ceci nous à permis d’en savoir un peu plus sur ce groupe parisien, sur leur parcours et leur attentes, en attendant de les découvrir sur scène, au Point Ephémère, dans quelques jours.

Depuis le premier album, No Memory Man, les membres du groupe ont un peu changés.

Maxime : Oui, y compris de fonction.

Expliques-nous cela.

Maxime : La bassiste est parti après la tournée asiatique, on à commencé à en chercher un activement et on en à pas trouvé. Du coup, on à contactés notre ancien batteur.
Andres : Qui nous à contactés en même temps. C'était une approche mutuelle.
Maxime : Oui, mais Tito est peut-être mieux placé pour en parler lui même.
Tito : Le truc c'est qu'un soir ils étaient en train de boire tous les deux, et ils ont trop bu. Du coup Ils se sont dit "Si on demandait à Tito"
Maxime : Le problème des autres bassistes, ce n’est pas qu'ils n'étaient techniquement pas aptes,  ce n'est pas un souci, ce qu'on fait n'est pas techniquement très compliqué. En revanche, il faut comprendre le son du groupe et son concept, et ça c'est plus compliqué, ça viens avec du temps, il faut l'absorber, l'intérioriser. Il n'y avait qu'une personne qui pouvait faire ça, et c'était Tito.
Andres : Je tiens à dire aussi que ce n’est pas un concept exclusif d’Utopium, tous les groupes développent un concept, un son. C’est très difficile quand on à joué pendant des années ensemble, de faire comprendre à la personne qui arrive en dernier, comment on voudrait que la basse sonne ou d’avoir des réflexes qu’on à en tant que groupe, donc c’était naturel pour Tito. Les réflexes qu’il avait comme batteur étaient naturels en tant que bassiste.
Maxime : Tito est avant tout un musicien, avant d’être un batteur pur, c’est un peu ce qu’on recherchait. Pour te donner un exemple, on à fait une tournée juste après l’album, et on terminait la tournée par une date à Paris, et Tito faisait l’intérim, il dépannait pour l’album, on cherchait toujours un bassiste. On avait contacté un bassiste anglais, qui venait nous voir ce soir là, après le concert, nous discutons avec lui et il nous dit : " ça être compliquer de remplacer votre bassiste, parce qu’il est vachement bon"  Tito jouait de la basse depuis trois mois.
Tito : C’est fini les fleurs ? (rires)

Vous avez signé chez Planet of Sounds, comment s’est fait la rencontre par quel biais ?

Andres : Comme toutes les choses, la rencontre s’est faite par internet, j’ai commencé à discuter avec John, le président de Planet of Sounds. On s’est donné rendez-vous à paris, et on à décidé de travailler ensemble. C’est un gars qui croit beaucoup en nous, et ça a été un coup de boost. Ca fait des années qu’on travaille tout seul, et ça fait plaisir de rencontrer quelqu’un d’extérieur au groupe qui croit autant en Utopium que nous en fait.

En plus c’est quelqu’un qui travaille dans la musique et fait office "d’autorité"

Andres : Johnny c’est quelqu’un qui écoute beaucoup de musique, on va dire qu’il est dans le monde de la musique, mais il fait presque ça pour nous, je dirais, et pour les groupes qu’il aime bien.

Vous avez enregistré au Canada, c’était quand et ça c’est passé comment ?

Andres : On est partis au mois d’Avril l’année dernière.
Guillaume : On avait pas mal bossé, tous les morceaux étaient prêt, plus ou moins, après il y a eu l’effervescence créative du studio. On à fait les prises de son en deux semaines et il y a eu le mix.
Maxime : On à fait trois semaines de prise de son avec des pré-mix. Après, j’ai abandonné lâchement mes collègues, Tito aussi. Andres et Guillaume sont resté seuls, jusqu’à la tournée qui à suivi.
Tito : On est partis avec des morceaux et des idées et on à transformé les idées en morceaux là-bas, grâce à John et Dean.

J’imagine, comme disait Guillaume "l’effervescence du studio" les échange d’idées ont amené des choses.

Tito : Oui des passionnés, ils ont un gros problème psychologique, ils ne vivent que dans la musique, ils sont dans un bulle, c’est génial, c’est exactement ce qu’il nous fallait. Ils ont été une bonne influence en fait.
Andres : J’imagine Dean et John comme deux enfants qui jouent avec des lego qui construisent des choses. Sauf qu’ils ont passé la trentaine, ils ont un studio vintage, merveilleux, des années soixante-dix, qui se disent on va enregistrer tel groupe, on va utiliser tel micro etc … c’était un jeu pour eux en fait.
Guillaume : Des geeks (rires)

D’où viens le titre de l’album Doubleplusgood ?

Andres : On se dit souvent chez Utopium qu’un pessimiste, c’est un optimiste informé. On est un peu optimiste de l’avenir de la société, du monde en général. C’est une référence directe au livre de George Orwell, 1984, c’est du Novlangue. Dans le livre, ils essaient de réduire le langage à certains mots, enlever des verbes, des adjectifs. Donc pour dire que quelque chose est bien, très bien ou vraiment très bien, au lieu de dire it’s good, very good ou tous les adjectifs qu’on à, ils utilisent good, double good et le superlatif c’est doubleplusgood. Maxime : C’est une des rares influences communes qu’on à. On écoute, lit des choses différentes, mais 1984 ça fait partie du socle dur entre guillemets, des choses que nous aimons en commun. Andres à trouvé le titre du morceau alors que les paroles étaient basées sur les principes syntaxiques énoncés par Orwell dans le livre. Je ne sais pas à quel point c’est réussi, mais le cœur y était.

Je n’avais pas fait la relation entre le livre et le titre de l’album, mais je trouvais justement que la pochette du disque avait un coté Big Brother.

Tito : Ah là t’as tout compris.

L’artiste qui à fait la pochette, qui est-ce justement ?

Tito : C’est un artiste qui avait la pochette de notre premier album No Memory Man, c’est quelqu’un avec qui on échange beaucoup quand on décide de faire quelque chose, on lui donne notre univers, on l’imbibe, voire le noie de musique et de mots. Puis on se revoit après, et il nous donne ce qu’il en à ressorti. Là, il nous à proposé trois choix, dont une sur laquelle on à focalisé, parce que justement c’était Big Brother qu’on voulait mettre en avant, puis il y a quelque chose dans les couleurs qui donne un coté « soviet » qui nous correspond bien je pense.
Andres : Mais le concept je crois, pour être un peu rhétorique, c’est que dans cette époque ou jamais l’homme n’a été confronté à autant d’informations libres, autant de possibilités et jamais l’homme n’a été autant encadré, fliqué. C’est un peu une ironie de dire "On est libres, doubleplusgood !"

Pour en revenir à vos influences communes, qu’est qui vous réuni ?

Maxime : Il y en à beaucoup.
Andres : En ce moment ce serait plutôt les influences littéraires, on est vieux maintenant.
Maxime : Brian Eno ne soulèverais pas d’objections, My Bloody Valentine ... ah non t’aimes pas trop toi.
Guillaume : Y’a plein de groupes sur lesquels on se retrouve.

Comment se passe l’écriture des morceaux ?

Maxime : C’est un processus qui à énormément évolué, avant l’arrivée d’Andres, il n’y avait pas de leader, c’est moi qui écrivait tout (rires) Andres en arrivant à proposé de revoir la chose. Progressivement on à abandonné la manière très construites, qui était le mienne, d’arriver avec des morceaux, des idées harmoniques et vocales quasi faites, ou les autres musiciens essayaient de s’insérer. Mais de partir sur des improvisations, et si cela plait d’essayer de structurer un peu plus pour aboutir à un morceau plus complet. Aujourd’hui on ne fait plus que comme cela.

Ca oblige à avoir un deuxième temps pour les textes, ou de les travailler différemment.

Tito : Ca se fait en trois temps. Avant y’avais le coté structuré, formel. Maxime à cette capacité de pouvoir créer quelque chose de musical à partir d’une idée. Andres lui, est beaucoup plus instinctif. Ceux sont les deux tours, la couverture se tirait plus du coté formel et elle à commencé à aller du coté instinctif. Ce qui est bien, c’est qu’on à réussi à garder les deux. On part toujours d’une idée instinctive et la structure viens se mettre dessus, on arrive toujours à retenir les chevaux et les lâcher quand on veut, c’est plus maitrisé maintenant, les paroles viennent après.
Andres : Les chansons d’Utopium sur cet album, ce ne sont pas des improvisations sur lesquelles on à mis des paroles. Ce sont des chansons nées comme ça, qui se sont structurées, ou des idées d’improvisations, mais qui sont travaillées.
Tito : Ca c’est dû au fait qu’on est un groupe qui n’a pas commencé hier, et on se connaît vraiment. On sait maitriser la chose. Sans être prétentieux, hein. On connaît nos limites, on sait qu’on peut aller loin. On travaille beaucoup sur la dynamique, beaucoup sur les couleurs, on essaye de varier les dramatiques, les envolées, les légères et les fortes. Je pense qu’on est assez expérimentés aujourd’hui pour arriver à jouer avec ça. 
Maxime : Après cette manière de fonctionner se complique par le fait qu’il y a un fonctionnement démocratique dans le groupe, auquel nous sommes très attachés. Très souvent, c’est un peu dur, tu bosses une idée pendant des mois, et y’en a un dans le groupe, qui dit « j’aime pas ! » (Rires)
Tito : « J’aime bien mais … »  dés qu’il y a un mais, c’est la merde.
Maxime : Il y a quand même pas mal de morceaux de l’album, notamment le morceau un peu phare, qui s’appelle Doubleplusgood, qu’on à failli jeter.

J’ai vu le clip de "Song for An Artist" qui est particulièrement bien fait, vous l’avez fait ou, comment ?

Tito : Via notre manager, on à rencontré un réalisateur, Nicolas, qui à fait des clips et des courts métrages, on à décidé de mettre un peu les moyens. On à discuté avec lui, on l’a bourré d’idées et une fois qu’il avait digéré tout ça, il nous à fait des propositions. Techniquement, y’a un staff de tournage, on est dans des conditions de tournage de fiction.

Qu’a-t-il fait d’autre ?

Maxime : Il à fait un court métrage, que je n’ai pas vu, un clip pour un rappeur qui monte, Derka.
Olivier (Manager) : Il à bossé comme assistant sur divers courts métrages, il à une grosse culture cinématographique, qui lui permet d’avoir des images un peu différentes. Avec peu de moyens il sait innover.
Tito : On était avec un grosse équipe, comme au cinéma, sauf que les gens mettent plus de volonté qu’ils ne gagnent d’argent, parce qu’on est tous des « montants » et on se donne les moyens des grands. C’est tourné en HD tout de même, et ça passe sur MTV dans peu de temps. Nicolas est assez perfectionniste pointu. On avait décidé de mettre la barre un peu haute.
Maxime : De toute façon on ne travaille qu’avec des gens perfectionnistes, en fait.

Le clip passera sur MTV, par quelle connexion vous avez réussi cela ?

Maxime : Grace à notre attachée de presse. C’est l’avantage d’être un groupe signé, ça permet de faire appel à des professionnels, ce qui permet d’ouvrir certaines portes.
Tito : La qualité du clip est aussi un atout, avec la même équipe de personnes, si tu présente un clip moyen, il à moins de chances d’être retenu. Là le clip est à la hauteur, largement.

J’ai vu que vous aviez fait un tournée en Asie, étonnant ça. Comment ça s’est fait ?

Guillaume : C’est par Planet of Sound, vu qu’ils ont pas mal de contacts là-bas. On est partis suite à l’album précédent, pour le défendre, en Thaïlande, Malaisie, Singapour et c’était vraiment bien de se confronter à une autre scène musicale et j’espère qu’on y retournera.

L’accueil était formidable ?

Guillaume : L’accueil était variable en fonction des pays, mais l’essentiel est qu’on à pris notre pied, et c’est clair qu’on repart tout de suite. La Thaïlande, c’est super, on voit qu’il ya  quelque chose qui se passe au niveau indépendant, c’est un pays ou tout est possible. Après on à fait un festival à Singapour, un supe festival. Là c’était plus un public Rock FM, on est peut-être un peu moins bien passé, peut-être parce qu’il n’y à pas cette culture indé qu’on retrouve ailleurs.

C’est drôle, parce qu’on n’imagine pas l’Asie comme très Rock n’Roll.

Guillaume : Ah si, il se passe des choses, y’a beaucoup de labels dans l’indépendant. Il se passe plein de choses en Asie du Sud-est. Jaz Coleman, de Killing Joke, à monté un label, il produit des super groupes qui remplissent des stades.
Maxime : Il y a aussi Futon, un groupe Thaïlandais dans lequel joue le premier batteur de Suede. Le groupe qui jouait avant nous est un groupe de Shoegaze de Bangkok, qui est surnommé le New-York de l’Asie d Sud-est, ou il se passe plein de choses, contrairement à ce qu’on peu imaginer.
Andres : Ce sont des pays qui sont ouverts à tous les groupes qui osent aller jouer là-bas. Les gens étaient intéressés et curieux de savoir qui on était etc ... La question qui revenait à chaque fois c’était « Pourquoi vous êtes là ? » Par contre, l’accueil à Singapour n’était pas très …
Maxime : L’accueil à Singapour était mitigé, on à joués devant des badauds. C’est une grosse scène devant l’océan, et le public FM. Les groupes qu’on à vu là, bon c’est peut-être un  choix de programmation aussi,  étaient des clones de ce qu’on entend à la radio, un groupe qui imitait Muse, un autre Radiohead et un autre Sum 41. Tu voyais les références tout de suite, c’était curieux, il y avait peu de groupe du cru intéressants. Les plus intéressants venaient de l’extérieur comme par exemple un groupe malais ou un groupe indonésien.
Andres : En Asie, il y à des groupes dont on à jamais entendu parler en Europe, mais ils font des tournées à travers toute l’Asie. C’est tout une autre scène. Pour un groupe comme nous, c’est un terrain de jeu énorme.

Votre Myspace comporte beaucoup d’amis, vous le faites vivre, vous y avez de vrais contacts ?

Andres : Ce Myspace existe depuis fin 2004, on à eu le temps de faire des rencontres, on à une page depuis le début. Je faisais ça pour m’amuser au départ, mais petit à petit la chose à grossi.
Tito : Ce qui est bien c’est que tu reçois un message tu regardes qui c’est, tu va sur sa page, dans ses amis tu trouves une image rigolote, tu remonte le fil des gens et tu découvres des gens, des groupes. Puis un jour tu reçois un mail d’un des autres membres d’Utopium avec un lien te disant « J’ai découvert ça, c’est super ! » et c’est le groupe que tu avais vu par hasard avant. A force de fouiner, tu trouves des choses, comme quand on allait dans un magasin de disques avant, là tu fouines avec des petits groupes auquel tu as accès. Dans les derniers jours, on à reçu des messages nous proposant un label, d’enregistrer notre album, par exemple.
Maxime : Planet of Sound, c’est comme ça qu’ils nous on contactés, en nous disant qu’ils aimaient bien ce qu’on fait et ils nous ont proposé la tournée en Asie comme ça.

Vous avez apparemment une démarche très volontaire depuis la sortie de ce disque, vous attendez quoi de tels contacts de Myspace ?

Andres : Maintenant qu’on à cet album, on à envie que ça devienne plus sérieux, donc je fais des démarches sur Myspace en allant voir et contacter des stations locales de la BBC en Angleterre, un peu comme le réseau Ferarock ici. Certaines ont des émissions de Rock, donc j’essaye de faire passer Utopium à la radio en Angleterre par exemple.

J’ai vu que vous aviez une date parisienne bientôt, vous avez un tournée en préparation ?

Maxime : Oui c’est le projet, on à pas beaucoup de dates pour l’instant. On va essayer de faire des shows case dans les FNAC, ça commence à se préciser. Puis il faut jouer en province, les médias commencent à relayer l’info et chroniquer Utopium, y compris hors Paris, ce qui est plutôt une bonne nouvelle. Normalement on à un assez bon accueil en dehors de Paris, les journalistes qui ont chroniqué le mieux notre précédent album, étaient pour la plupart des journalistes de province. A Paris, les gens nous ont ignorés, ce n’est pas qu’ils n’aiment pas, c’est pire, ils s’en foutent. Donc ce serait bien d’aller jouer en province, l’accueil est toujours plus chaleureux, les gens ne sont pas aussi gâtés qu’à Paris.   

Pour finir sur une note triste, que vous inspire l’annonce de la mort de Lux Interior cette semaine ?

Guillaume : Dégouté pour Poison Ivy. C’était une grosse bête de scène, un groupe qui réunissait tous les publics, respect.
Andres : Pour moi, c’est une partie de mon adolescence qui s’en va.

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crédits photos : Thomy Keat (Toute la série sur Taste of Indie)


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