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Interview  (Paris)  mars 2004

Froggy's delight aime la musique et est curieux. Aussi le hasard fait parfois bien les choses et lui permet de découvrir de jeunes groupes qui ont du talent comme Delenda dont la maquette nous a vraiment intéressé.

Aussi avons-nous voulu en savoir plus sur Anne de F et Thierry G, duo et couple d'enfer pour une musique résolument rock français.

Delenda, dites nous tout sur Delenda

Anne de F : J’aime bien destroy en latin

Thierry G : Nous avons toujours été les spécialistes des noms super foireux, des noms pas bons, pas bons, pas bons. Comme il y a une chanteuse, donc un nom à consonance féminine, comme nom c’était pas mal. Et puis c’est suffisamment flou pour être assez intéressant et prononçable dans toutes les langues et puis ça ouvre pas mal d’horizon, c’est une boîte, chacun l’ouvre dans le sens où il veut et dans le sens qu’il veut.

Anne de F : Originellement, c’était bien l’aspect destroy.

Thierry G : Oui, il y avait de cela, le côté violent sous-jacent. Ça vient du latin, de Caton l’Ancien, sénateur monomaniaque, qui dans ses discours quel qu’en soit le sujet concluait toujours par "C’est pour cela qu’il faut détruire Carthage". Et d’ailleurs,, ils ont détruit Carthage. Comme quoi…il avait raison d’insister.

Spécialistes des noms foireux, ce qui veut dire que Delenda n’est pas votre premier groupe ?

Anne de F : Il y a eu effectivement "autreuss choseuss" (ndlr : Anne insiste sur le pluriel). Le premier a être resté dans nos mémoires était Sun. A priori c’est un peu tarte sauf que c’était "SUN" some unexpected nightmare…donc un cauchemar inattendu…il faut y aller… Ensuite, vient "Destroy after tea" D.A.T, il y a quinze ans, car cela fait quinze ans que l’on fait de la musique ensemble et que l’on trouve des noms délirants. La première fois que l’on a joué c’était sous le nom de Danniswell à la MJC de Joué les Tours…et celle de Nogent le Rotrou aussi.

15 ans déjà ?

Thierry G : Ça fait 15 ans que l’on vit ensemble.

Anne de F : Tu raconteras ce que tu as fait avant. Un jour, on s’est rencontrés. Au bout d’un moment, on a failli se taper sur la gueule. Après c’est allé un peu mieux. Thierry avait rencontré 2 ou 3 musiciens à l’école qui étaient plus ou moins mes copains. J’ai par erreur invité toute la troupe à la maison et Thierry m’a dit "Toi tu vas être chanteuse !" Et je lui ai dit : "Oui, Maître !" Et voilà ! Il a emménagé à la maison avec son étagère, son scotch et son micro qu’il a scotché à l’étagère et il a dit :"Voilà, maintenant on chante !"

Thierry G : Anne n’avait jamais chanté, jamais fait de musique. Elle n’écoutait que des trucs que la morale réprouve genre Peter Gabriel, Marillion. Je suis arrivé avec Joy Division…Elle a fini par s’y faire.

Anne de F : Ce qu’il m’a vraiment fait découvrir c’est Siouxsie and the Banshees. Et pendant longtemps je me suis pris pour Siouxsie. Nous avons aussi été un peu corbeaux…

Thierry G : un peu rasé aussi …mais l’apparence n’était pas majeure. Nous avons joué, un peu tourné, pas de reprises, que des compos un peu foireuses mais on s’est bien marré.

Anne de F : C’est le début d’un groupe avec des étudiants. Tu répètes quand tu as fini les cours, quand tu as fini de travailler, quand tu t’es remis de la cuite de la veille…enfin, tu répètes de temps en temps. Nous avons eu la chance de connaître un mec de l’administration qui tous les week ends nous filait la clé du grand amphi, refait à neuf avec une sono géante. Nous l’avions pour nous seuls, on y dormait presque. Nous pouvions répéter. Le premier concert a eu lieu à Joué les Tours, puis ce fût la Fête de la Musique à Tours et après nous avons continué jusqu’en 1995.

Que s’est-il passé en 1995 ?

Anne de F : Un jour j’ai pris une guitare branchée en studio de répèt, j’ai plaqué un accord un peu violent et ma petite fille Clara qui était dans mon ventre a fait un triple salto arrière. J’ai dit : "Ah ok, je crois que là on va s’arrêter tout de suite". On s’est arrêté un peu.

Thierry G : On bossait pas mal aussi à l’époque et cela devenait un peu compliqué. On jouait avec des gens qui étaient pas forcément motivés. Donc on était content de se retrouver, de bricoler, de se défouler, c’était sympa mais complètement amateur. Nous étions 5 et personne ne projetait les mêmes choses. C’est devenu compIiqué.

Anne de F : Et puis les choses se sont interrompues d’elles-mêmes : un est parti à Singapour, un autre en Idaho, un autre à Nantes…moins loin mais parti quand même et donc nous nous sommes retrouvés à 2.

Thierry G : Nous étions très pris par nos boulots respectifs et musicalement on a décroché au moment où il ne se passait plus grand chose d’excitant. Nous n’avons rien fait pendant 4-5 ans. Ce qui nous a re-motivés c’est la vague des Strokes. Nous nous sommes donc rebranchés gentiment et nous avons constatés que la musique nous manquait. Nous jouons avec un ami, qui fait plutôt du jazz, donc c’est pas évident, mais cela nous a remis le pied à l’étrier. Et comme je n’avais pas envie de faire des reprises, je me suis mis à écrire. Et certaines choses n’étaient pas mauvaises. Et puis, coup de bol, one se fait virer de nos boulots respectifs à quelques mois d’intervalle. Ce qui nous a donné l’opportunité de consacrer plus de temps à la musique. C’est ainsi, en quelques mois, que nous avons fait cette maquette qui n’est pas encore totalement aboutie…

Anne de F : Thierry, qui est le super optimiste de la famille, trouve que ce n’est pas super mais en fait c’est le meilleur truc qu’on ait fait depuis quinze ans. C’est la première fois que nous avons des textes en français dont nous sommes satisfaits…

Thierry G : …à peu près…

Anne de F : …qui sont perfectibles (sourires)…je le refais : dont je suis satisfaite

Thierry G : cela correspond à un registre que nous cherchions. Et écrire en français c’est important.

Pour vous ? Pour les autres ?

Anne de F : Le français impose une rigueur qui n’est pas une exigence en anglais. On peut tout faire en anglais même des phrases couillonski qui passent très bien parce les mots sont cours, c’est syncopé, le phrasé et la scansion s’y prêtent. La fréquence n’est pas identique et les mots même traduits ne sonnent pas de la même façon.

Thierry G : Les accents toniques sont importants. On ne mixe pas de la même manière une voix en français et en anglais.

Anne de F : Faire des textes rock en français représente aussi une difficulté et il n’y a pas beaucoup de groupes qui le font. Beaucoup de groupes font de l’anglais. Nos textes qui, même si ce n’est pas de la grande littérature, sont satisfaisants car il y a un verbe, un sujet, un complément, j’espère une idée, enfin moi je la vois, c’est peut-être abscons, mais ils comportent une idée et développent une histoire. C’est un format très différent de la chanson à texte ; c’est un format beaucoup plus ramassé avec plus de gimiks et c’est plus compliqué à écrire. Et je suis très contente. Et voilà !

Vous insistez sur l’importance de la langue française. Cela veut-il dire qu’auparavant vous ne chantiez qu’en anglais ?

Anne de F : Non. Mais ce que nous faisions était moins bon.

Thierry G : Il y avait peut être plus de textes en anglais, certains n’étaient pas si mauvais, et la musique était plus connotée coldwave. Idéalement, ce que nous cherchons à faire c’est les Sex Pistols.

Anne de F : Ça part bien…Je veux faire Catherine Ringer quand je serais grande…

Thierry G : …mettre un peu le bordel.

Certains de vos textes anciens pas si mauvais peuvent-ils être récupérés en quelque sorte ?

Thierry G : Oui, je pense.

Qui est l’auteur des textes ?

Anne de F : Plutôt moi mais Thierry s’y met…quand je l’aide (éclats de rire)

Thierry G : C’est à dire que quand j’en ai marre et qu’elle ne trouve pas son truc, je lui prends son texte, je change deux virgules et elle est contente.

Les textes précèdent la musique ? Comment se passe le writing process ?

Anne de F : Dans la douleur. Il y a deux approches : la musique en premier ou non, j’ai bien conscience qu’il n’y a pas d’autre choix. A 80%, Thierry fait une musique et on y associe un texte. De ce fait, il y pas mal de textes qui restent en souffrance car nous ne faisons pas la démarche inverse qui s’avère très difficile car Thierry a une vision du monde qui est très arrêtée et entrer dans l’univers des autres est toujours plus délicat.

Thierry G : Ce que dit Anne est assez juste car quand je travaille sur mes accords cela déclenche un univers et je vois l’impression que je veux donner au morceau et je n’ai pas la facilité d’écriture d’Anne. D’où la difficulté pour moi d’adopter un cheminement inverse. Comme Anne ne veut pas trop faire de musique, elle écrit n’importe quoi en termes rythmiques ce qui est difficile pour moi d’autant que je ne suis pas un excellent musicien. Si je comprends bien ce qu’elle veut faire, je peux essayer de le mettre en musique. En fait, je fais de la musique pour mettre en scène mes univers. Je pourrais utiliser d’autres médias comme le cinéma, même si je suis plus sensible à la musique. Travailler en couple n’est pas facile surtout dans ce domaine qui est très passionnel.

Anne de F : Les engueulades peuvent effectivement être homériques.

Thierry G : Nous avons cependant progressé dans ce domaine. Nous avons mûri, je pense.

Anne de F : Nous avons appris à dire : "Oui et...?" au lieu de "Non mais tu délires ou quoi ?". Mais la proximité nous permet aussi de ne pas splitter. Je ne désespère pas de pouvoir mettre en musique le texte sur les négociations du commerce extérieur.

Vous pourriez écrire des nouvelles ?

Anne de F : C’est un autre débat. J’en ai longtemps caressé l’idée et comme le cercle, je l’ai caressée trop longtemps et elle a tourné vicieuse et je ne pense pas en être capable. Je lis trop et ce n’est pas simple de bien écrire. J’ai choisi d’écrire les textes des chansons et mon côté logorrhée verbale s’épandrait facilement et de manière non saine dans un écrit littéraire. Le format chanson m’impose un cadre et de la rigueur.

Thierry G : Cela peut s’apprendre.

Anne de F : J’entends bien. On n’a que 55 ans…non je déconne….

Thierry G : … c’est vrai et puis ce n’est que notre première vie.

Anne de F : Voilà ! Il y en aura d’autres !

Donc vous avez créé Delenda à l’occasion d’un événement inattendu?

Thierry G : Non, c’était en gestation….

Anne de F : : …il fallait répondre oui !

Thierry G : Oui ! Non.

Anne de F : Vas-y ! Essaie encore !

Thierry G : Pourquoi inattendu ?

Le chômage.

Anne de F : Ah le chômage !

Je voulais poser une question perfide du genre : avez-vous créé ce groupe pour occuper vos moments d’oisiveté dû au chômage ou s’agit-il d’un réel projet ?

Thierry G : Très bonne question. Il est clair que nous avons un réel projet qui a pu se concrétiser davantage avec des disponibilités accrues en terme d’emploi du temps. Cela étant je ne sais pas ce qu’il y aura après.

Anne de F : I know !

Thierry G : Hein ?

Anne de F : Oui.

Thierry G : Oui. D’accord. Le chef a dit oui.

Anne de F : Nous y arriverons parce que pendant 15 ans nous avons travaillé dans des milieux que nous aimions.

Thierry G : Non. J’exerçais un métier que j’aimais dans un milieu que je déteste.

Anne de F : Moi, je ne veux pas retourner dans ce milieu. Retrouver un boulot devient très politique. Beaucoup de chefs d’entreprise prennent leurs employés pour des cons, genre aujourd’hui c’est plus dur, donc tu vas travaillé plus et tu gagneras moins ! Là, c’est bon pour moi ! Il y a un moment où il faut arrêter de courir. Il faut vivre. Donc, j’y retourne pas. Je vais m’occuper de Delenda, d’autres choses. Je vais me donner les moyens de changer. Donc je sui sûre qu’il y aura quelque chose après.

Y a –t-il un objectif et un enjeu pour Delenda ?

Thierry G : L’objectif c’est d’être les Sex Pistols.

Anne de F : Il y a un enjeu politique, de conscience.

Thierry G : Le but se matérialise au fur et à mesure. Le minimum est de faire des disques sans que ça nous coûte. S’il y a moyen de s’amuser un peu plus, oui. Mais je n’imagine pas du tout faire un groupe mainstream, rock FM. La musique n’est pas une carrière. C’est une forme de besoin, c’est un amusement. Nous n’avons pas d’obligation de résultat ce qui nous laisse toute liberté. Cela étant, nous voulons le faire de manière sérieuse. Donc nous travaillons. Pour le moment sur des formats courts, des morceaux de 2 mn 30 qui sont bien adaptés pour des tempo rapides. Et ils correspondent bien à notre état d’esprit.

A quel stade est cette maquette en termes d’élaboration et de démarches auprès des maisons de disques ?

Thierry G : J’ai un gros défaut : je suis perfectionniste et il y a encore des morceaux que je voudrais épurer. Et nous avons également besoin d’avis de personnes qui ne sont pas dans notre cercle de connaissances pour nous conforter dans notre idée que nos morceaux tiennent la route. Donc nous envisageons de faire une nouvelle maquette épurée avec quelques morceaux retravaillés et peut être y inclure des morceaux plus anciens. Qu’en penses-tu ?

Anne de F : J’écoute et…puis après je vais tout casser…comme d’habitude !

Thierry G : Je t’adore ! Ensuite, nous démarcherons des maisons de disques. Et puis jouer en live. Cela étant jouer à deux dans de petits endroits ça fonctionne bien mais dans une salle c’est plus difficile.

Anne de F : Nous avons plus de relations aujourd’hui que quand nous avions 20 ans donc nous allons essayer d’utiliser ces connexions. Nous avons donné notre maquette à des programmateurs radio et à quelques labels. Mais il est vrai qu’il est indispensable de concevoir une formation pour jouer en live. Jouer sur bande ça peut fonctionner bien mais il faut du live.

Thierry G : Cela étant cela pose la question de savoir si on élargit le groupe ou pas. Répéter à plus de deux implique d’aller en studio par exemple.

Beaucoup de groupes commencent par jouer live avant même d’avoir une maquette disponible. Avez-vous joué en live avec Delenda ?

Anne de F : Dans de petites soirées. Il faut essayer des bars ou des petites salles. Mais plutôt des petites salles parce que ce n’est pas vraiment une musique de bar.

Vous fixez-vous des échéances par rapport à des retours éventuels ?

Anne de F : La vérité est que nous n’avons pas pensé en termes de dead line. Cela étant l’académisme historique en matière musicale n’est plus aussi efficient. Le modèle a l’air moins juteux qu’il n’a été.

Thierry G : Donc il y a peut être d’autres formules à explorer.

Il est clair que l’industrie du disque a évolué. Il y a une différence entre un artiste et une star formatée comme un produit prévu pour une certaine catégorie de consommateur. Actuellement la cible serait les 5-13 ans.

Anne de F : Dans cette logique évidemment, on est largement périmés et il faut arrêter de nous consommer …

Thierry G : …Il n’y a aucune fatalité…

Anne de F : Mais ce n’est pas vrai car dans nos tranches d’âge on écoute ce que nous écoutions quand nous étions petits : les Strokes, les Libertines, les Yeah Yeah Yeah. Ils ont pris du vieux pour faire du neuf mais avec la conscience politique en moins. Les Strokes ça ne te fait penser à rien ?

Thierry G : Euh …Non.

Anne de F : Pinocchio !

Thierry G : Monsieur Pinocchio !

Anne de F : Donc il y a un créneau pour notre musique.

Qu’y a-t-il sur vos platines en ce moment ?

Thierry G : AS Dragon.Mickey 3D. Pour ce qu’ils sont. Jeronimo. Mass un groupe punk dont la chanteuse a une super personnalité et une voix formidable. Dyonisos.

Si vous ne disposiez que de trois mots pour caractériser la musique de Delenda, quel serait votre choix ?

Thierry G : Bordélique, offensif et fier

Anne de F : L'envie, la violence et l'espoir.

 


 

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# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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