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Interview  (Paris)  11 mars 2010

Pas le bordel de Maupassant, mais cinq gars de Rouen, des Français bien de chez nous mais aux influences qui dépassent nos frontières. Loin de la nouvelle chanson française, ceux-là sont un genre à eux seuls. Rencontre avec Raoul et AH!lexandre Tellier, à l'occasion de la sortie de leur troisième album, L'art de la fugue.

Les Tellier existent-ils vraiment ou c'est un concept ?

Là il y en a deux. Raoul et AH!lexandre.

Mais il y en a d'autres ?

Oui. Helmut, Alphonse et Léopold.

Etes-vous frères ?

(Rires)

C'est un mystère ?

Il y a cinq mecs qui s'appellent Tellier. On ne peut pas dire qu'ils ne sont pas frères ! (Rires)

Et ils s'appellent vraiment Tellier ?

Ben oui. Sinon on ne se serait pas présentés Tellier.

OK ! Passons à l'album alors... Quelles ont été les conditions de conception de ce troisième album ?

Raoul : C'est une longue histoire. Les morceaux ont été conçus plus ou moins pendant la tournée du deuxième album. On a passé un an à faire des concerts donc pas mal de nouvelles chansons sont arrivées à ce moment-là. Beaucoup ont été développées et testées sur scène, dans l'esprit morceaux de scène du coup. D'autres sont arrivées, qu'on n'a pas pu tester sur scène car elles étaient un peu plus, pas ambitieuses, mais fournies au niveau des arrangements donc pour celles-là on a pris le temps de faire des démos et de bien réfléchir au résultat final.

Là-dessus, on a changé de maison de disque et ça a pris beaucoup de temps, un an, le temps que le passage se fasse. Ce qui nous a permis de bien réfléchir à chacune des chansons, de faire pas mal de maquettes, de réécouter. Il s'est écoulé un an entre la finalisation de la maquette et l'enregistrement effectif du disque donc on a vraiment pris le temps. On en avait composé une vingtaine donc on a essayé de donner leur chance à chacune puis il a fallu choisir. Du coup cela a permis de bien assumer tous les textes aussi, en français notamment. On s'est bien pris la tête sur certains textes, il y a eu plusieurs versions avant d'aboutir au résultat final.

AH!lexandre : Et ça a permis aussi d'arriver au studio pour enregistrer l'album et pas pour travailler les arrangements, comme cela nous était arrivé pour l'enregistrement du deuxième où plein de choses n'étaient pas calées.

Vous avez passé 15 jours à la campagne, c'est ça ?

Raoul : Oui c'est ça. Chez quelqu'un qui possède un grand corps de ferme, un couple de passionnés de musique qui ont emménagé différentes granges en vue d'enregistrer de la musique et de faire des spectacles, donc il y a un théâtre où on a fait une partie des prises. Ils avaient commencé l'aménagement d'autres pièces pour faire de vraies prises de son donc on a testé, plutôt pour les voix. L'endroit s'appelle le Grenier de la Mothe, il existe depuis un paquet de temps et est vraiment dédié à la musique ou aux stages autour de la musique, de la danse, du théâtre. Il est en pleine campagne, pas loin de Dieppe, au milieu des champs. Ce n'est même pas dans un village, c'est complètement isolé.

De bonnes conditions d'enregistrement donc.

Raoul : Notre trompettiste y était déjà allé et il nous avait dit "vous verrez, il n'y a rien d'autre à faire que de la musique". Et effectivement ! En plus c'était en novembre, le temps était pourri donc on n'est presque pas sortis. Il n'y avait rien d'autre à faire que de la musique et regarder les flammes dans la cheminée donc c'était plutôt une ambiance propice à l'élaboration d'un disque. On était complètement coupés du monde. Et en vase clos car seulement tous les 5, les gens qui s'occupaient de l'enregistrement et la famille du lieu. Donc ambiance studieuse.

Qu'est-ce qui distingue ce troisième album des précédents ?

Raoul : Il y a plus d'ouverture, on s'est interdit moins de choses, on a laissé parler nos influences, qu'on n'avait pas forcément mises en avant jusqu'ici.

AH!lexandre : Qu'on n'osait pas mettre en avant.

Raoul : Donc plus d'ouverture et donc de diversité je pense.

Quelles influences par exemple ?

Raoul : Il y a plus de pop anglaise, de folk anglais notamment. Peut-être un peu plus d'un côté psychédélique aussi, même si ce n'est pas non plus un album acid. Il y a des passages plus improvisés où la batterie est prépondérante, des passages plus rock ou en tous cas moins folk.

AH!lexandre : Et à l'inverse, d'autres le sont plus. Il y a plus d'extrêmes en fait.

Est-ce que c'est lié aux musiciens ? L'équipe a-t-elle été remaniée ?

Raoul : C'est vrai que les locataires de la Maison ne sont pas ceux qui étaient présents sur le deuxième. On n'avait pas encore changé de bassiste à l'époque. Sinon, non. C'est plus une question d'envie de chacun. On a appris à se connaître aussi. Quand on a enregistré le deuxième album, on n'avait quasiment jamais tourné, on jouait quand on enregistrait, en gros. Léopold, le trompettiste, était déjà là mais venait pour dépanner. Du coup on a commencé à vraiment développer le côté groupe, on a appris à faire de la musique ensemble, pas tous les jours mais très souvent.

AH!lexandre : Il y a aussi nos différents featurings comme avec Lippie ou Maxime.

Raoul : Oui, Lippie chante un duo, "Il n'est point de sot métier #2". Mais depuis deux ans, on est 5. C'était moins figé, maintenant ça l'est. Du coup, ça restreint dans un sens les capacités de la formule. On n'avait pas envie de refaire la même chose que sur le deuxième album, que des chansons western. Il y en a encore mais en même temps, pourquoi ne pas laisser parler le côté pop qui est en nous et se tourner un peu plus vers l'Angleterre que vers les Etats-Unis ? On a naturellement eu envie de le faire.

Quel est votre morceau préféré et pourquoi ?

Raoul : T'en as un toi ?

AH!lexandre : J'en ai deux, je ne sais pas.

Raoul : Oui moi aussi. Commence, comme ça si c'est le même que moi, je dirai l'autre.

AH!lexandre : Euh... Non, je ne peux pas (rires).

Pourquoi ?

AH!lexandre : C'est difficile, c'est un album qui me plaît beaucoup. Il y a des choses qui n'ont pas été réussies comme je pouvais les entendre dans ma tête mais c'est pas facile, on a 5 têtes. Je ne sais pas. Elles donnent toutes des sentiments et un certain plaisir. Celle que je préfère écouter et jouer, je pense que c'est "Please do".

Raoul : Tu me débarrasses d'une (rires).

AH!lexandre : Mais alors pourquoi ? Je ne sais pas ! (rires) Pourquoi une caresse donne du plaisir, je ne sais pas non plus. J'aime l'entendre, la jouer, puis c'est quelque chose de très beau. Je trouve l'histoire, le thème magique.

Raoul : J'aime beaucoup "Please do" aussi mais j'ai dit que j'en choisirais une autre. "Please do" parce que c'est notre chanson qui ressemble le plus à David Bowie et que j'aime beaucoup David Bowie. Et puis j'avais envie que dans une chanson on ait un final avec plein de cuivres donc c'était l'occasion.

Sinon, j'ai un petit faible pour "Il n'est point de sot métier #2" parce qu'elle est un peu différente des autres. Déjà dans la conception car c'est une de celles qu'on a le moins préparées à l'avance. Pendant très longtemps on n'a pas su si on allait la mettre. Moi j'en avais une vision très précise dès le départ et au final, le résultat est encore mieux. C'est une de celles que je trouve la plus aboutie au niveau de l'écriture et en plus c'est la seule de la Maison Tellier sur laquelle il y a un clavier, un clavecin en l'occurrence, et j'en avais vraiment envie. Et la première fois que je l'ai entendue, la partie vocale de Lippie m'a vraiment collé une claque. Je ne m'attendais pas du tout à ce résultat. J'imaginais quelque chose dans l'esprit Françoise Hardy et elle l'a amenée carrément ailleurs, sans pourtant tomber très loin.

AH!lexandre : C'est difficile de répondre parce qu'il y a justement plein d'ailleurs, plein de palettes.

Raoul : Oui parce que j'aime aussi l'aspect plus folk d'autres chansons.

Vous faites référence à Maupassant, à la Bible, à Camus et sa peste, au far west. Votre univers est complètement fictif, loin du quotidien. Comment expliquez-vous cela ?

Raoul : On n'a jamais cherché à écrire des chansons réalistes, on n'est pas fan de ce type de chanson-là. On respecte le travail de chacun mais on n'écoute pas beaucoup de chanson française et encore moins celle qu'on appelle la nouvelle chanson française. Ce n'est pas du tout ce qui nous intéresse.

AH!lexandre : On préfère faire des chansons avec des histoires, des références à des choses qui nous plaisent et même avec des mots qui nous plaisent.

Raoul : Et puis ça tombe vite dans le cliché de raconter ses histoires d'amour de manière trop directe ou l'état de sa salle de bains le matin. Cela a déjà été fait et transcender la banalité, ce n'est pas donné à tout le monde.

Qui écrit, qui compose ? Est-ce le fruit d'un travail à 5 ?

Raoul : Non. Les textes, c'est Helmut et moi. Les textes en français, c'est exclusivement Helmut et en anglais, c'est lui et moi. Au niveau des musiques, ça dépend. Pour les miennes, j'ai souvent une idée précise, elles sont déjà pas mal figées. Celles d'Helmut, on les malmène un peu, on les transforme. C'est pour ça que j'aime bien "Il n'est point de sot métier #2", c'est la première que l'on a écrite à deux. Elle a un côté sentimental particulier. Les arrangements, on les fait tous ensemble. Chacun ramène sa touche perso.

Qu'est-ce qui préside au choix de la langue ?

Raoul : La mélodie, la musique, la métrique, le débit.

AH!lexandre : Surtout dans le cas où la chanson est là avant le texte, qu'on tourne et qu'on connaît déjà la forme, Helmut chante un peu yaourt, un peu anglais plus ou moins préparé, là on se demande s'il va passer le pas d'écrire en français ou pas, il essaie et parfois il a beau utiliser n'importe quel mot, ça ne passe pas. Et d'autres sont pensées directement en français.

Et comment décririez-vous votre univers ?

AH!lexandre : Univers, c'est pas le mot interdit ?

Raoul : Je ne sais pas. Qu'est-ce qu'on entend par univers ?

Ce qui vous inspire, ce qui vous émeut, ce à quoi vous voudriez faire penser ?

Raoul : Je dirais The Band. C'est tout (rires). Une espèce de groupe avec plein de mecs dedans qui font plein de trucs différents qui n'ont rien à voir et qui arrivent à produire quelque chose de représentatif.

Et vos influences, ce qui vous nourrit ?

AH!lexandre : Elles sont toutes différentes et forment une unité.

Raoul : C'est un peu de l'impressionnisme notre musique (sourire), on voit par touches pointillées. Si on va dans le détail, il y a des trucs très éloignés mais ça fonctionne ensemble.

Avez-vous déjà pensé à composer pour le cinéma ? Cela vous plairait ?

Raoul et AH!lexandre : Oh oui beaucoup !

AH!lexandre : Cela nous inspirerait fortement.

Raoul : Et ça m'ôterait d'un poids, celui d'écrire un texte. Ecrire de la musique purement instrumentale et essayer de composer des mélodies suffisamment pertinentes pour qu'elles tiennent toutes seules sans paroles, c'est aussi un exercice qui nous intéresse, tout musicien aimerait je pense.

Et pour quel genre de film ?

Raoul : Alors là ! Peu importe. Cela pourrait être un western.

AH!lexandre : Ou justement pas !

Raoul : Ou justement pas du tout ! (rires)

AH!lexandre : Un film de zombies, d'amour...

Raoul : Je n'aimerais pas trop que ce soit un Max Pécas (NDLR : le roi du nanard à la française), encore que pour la blague ça pourrait être marrant. Sinon je ne sais pas. A priori, de manière réaliste, ce serait un film indépendant, donc qui dit film indépendant dit un certain ton, une certaine photographie, une certaine manière de filmer...

Comment avez-vous accueilli le succès des précédents albums ? Est-ce que cela a changé quelque chose dans votre façon de travailler, de considérer votre musique ?

AH!lexandre : Considérer le succès, c'est aussi considérer le non succès ! (rires)

Oui, un succès relatif, en tout cas pas forcément populaire.

AH!lexandre : Je pense que cela nous a ouvert les yeux dans le sens où on s'est dit qu'on pouvait vivre de la musique.

Raoul : Oui c'est ça. Cela a changé certaines choses. On a sorti le premier album, le groupe existait officiellement depuis très peu de temps. Pour beaucoup d'entre nous, c'est notre première expérience de vrai groupe sérieux donc on n'a pas de point de comparaison sur comment faire de la musique sans vendre de disques... On n'en vend pas beaucoup mais suffisamment pour se permettre de considérer l'éventualité de vivre de la musique. On a pu partir en tournée pendant un an avec des revenus qui tombent tous les mois, pour être mercantile (sourire). Disons que pour la première fois, on ne paie pas pour faire de la musique.

Et comment voyez-vous la suite ? Quel serait votre rêve ?

Raoul : De continuer. Sans que ce soit ric et rac chaque mois.

AH!lexandre : On fait une bonne tournée, on va un peu à l'étranger, on retourne, après on fait une musique de film, on retourne avec la musique du film.

Raoul : Non, on fait un quatrième album, parce qu'on aura composé plein de musiques (rires). Après on fait une pause de deux ans (rires).

Qu'est-ce qui vous motive ? Renouveler le genre ? Inventer quelque chose de nouveau ? Vous faire plaisir ? Transmettre un message ?

Raoul : Pas faire passer un message, ça c'est sûr. Se faire plaisir, ça c'est sûr aussi. C'est la base. C'est de là qu'est né le groupe.

AH!lexandre : Alors peut-être que c'est prétentieux de dire que oui, il y a une place à prendre en France au niveau de la chanson française. Il n'y a pas un truc qui me plaise à l'heure actuelle. Mais cela ne passe pas devant le plaisir de faire de la musique, qui est là depuis toujours.

Pour finir, j'aime beaucoup vos reprises. Quelle est la prochaine ? Dans le genre inattendu ?

Raoul : Pour le coup, on est un peu partis dans une autre direction au niveau des reprises. On en a fait trois ou quatre un peu détournées et on a peut-être eu peur de tomber dans le cliché du groupe qui fait des reprises décalées et qu'on attend toujours sur ce terrain-là.

AH!lexandre : C'est devenu obsédant.

Raoul : Donc là on a de nouvelles reprises mais ce sont des choses plus attendues, où on se fait plaisir. On aime une chanson, on a envie de la chanter. Non pas qu'on n'aimait pas les autres. Toutes les chansons qu'on reprend nous plaisent. Mais la première fois, c'est un hasard qui nous a fait enregistrer les Rage Against The Machine.

AH!lexandre : Cela a été un bon prétexte pour bosser ensemble.

Raoul : Après on est partis sur "Toxic" mais c'est arrivé malheureusement au moment où plein de gens le reprenaient donc on s'est vite lassés. Ce qui est intéressant quand on fait une reprise originale, c'est aussi d'avoir l'exclusivité. Pour quelque chose de plus classique, c'est une question de plaisir. Donc le challenge de "qu'est-ce qu'ils nous ont pondu cette fois la Maison Tellier ?", non. Bon, de manière officielle parce que demain on enregistre une reprise des Sex Pistols, "Seventeen", mais là c'est pour s'amuser. C'est pour le Kalif, l'endroit où on répète à Rouen. Ils font une compile de reprises des Sex Pistols pour accompagner une BD, avec les groupes qui répètent chez eux.

Vos prochaines dates en France ?

Le 6 avril au Café de la Danse à Paris. Un bon paquet de festivals cet été, mais surtout pas mal de dates à l'automne. Et normalement, si tout va bien, l'an prochain on fera quelques incursions hors de France.

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Crédits photos : Thomy Keat (Toute la série sur Taste of Indie)


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# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
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"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
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"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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