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Interview  (Paris)  7 juin 2010

Quelques semaines après la sortie de leur premier album Girouette, les General Bye Bye nous ont fait le plaisir de nous offrir une Froggy's Session et nous ont accordés par la même occasion une interview dans laquelle il est question d'Amérique, de visite guidée, de Chopin et de Sonic Youth. Le tout avant d'embarquer pour une tournée estivale aux Amériques à laquelle vous pouvez encore participer et vous offrir par la même occasion quelques moments privilégiés avec un drôle de groupe.

Alors rendez vous sur la page Kisskissbankbank du groupe pour jouer les mécènes au grand coeur pour en groupe qui le vaut bien !
Et ne vous privez surtout pas de découvrir sur leur myspace les vidéos faites maisons, totalement délirantes !

Pouvez-vous nous dire si la vidéo qui raconte l'histoire de la formation du groupe est vraie ou plutôt romancée ?

Philippe : Non heureusement ! En fait, j'ai rencontré Jana il y a 10 ans, c'est comme ça que cela a commencé. Quelques années après, j'ai rencontré Etienne, puis Emmanuel et Frédéric, un ami à lui qui était bassiste. A partir de là, le groupe a commencé à évoluer. General Bye Bye a existé sous ce nom à partir du moment où le bassiste est parti, en février 2008. C'est devenu consistant à ce moment là. Avant on s'appellait Hestesie, un nom qui ne voulait rien dire.

Donc les compositions que l'on connait aujourd'hui datent donc d'après février 2008 ou bien il y a de plus anciennes choses ?

C'est très mélangé. Il y a effectivement des choses d'avant 2008. "Les hautes solitudes" date de 2006 par exemple, "Selft Portrait" également. "Maniac Mansion" ou "Alphabet" sont plus récents. J'invite d'ailleurs les gens à aller sur BandCamp écouter ce que l'on faisait avant, il y a des titres avec le bassistes, un autre batteur, etc.

Comment se passent les compositions ? C'est toi, Philippe, qui apporte tout sur un plateau ?

Philippe :  Cela dépend. En réalité, tout dépend comment on se place. Je pense que la musique n'est qu'une partie des compositions. Moi j'arrive souvent avec des idées, une idée de mélodie et on la travaille avec Manu qui pose les harmonies, Etienne la batterie. Ensuite Jana arrive avec des idées de mélodie de voix ou alors travaille sur des pistes que j'aurais un peu trouvées. C'est très ouvert en fait, ça dépend de l'inspiration de chacun.

Il n'y a pas de leader qui impose ses trucs donc ?

Philippe : Non, d'ailleurs on ne pourrait pas. D'abord parce que ce n'est pas l'envie et ensuite je n'en serais pas capable. Ce qui est bien au jour d'aujourd'hui, c'est que chacun a un peu un rôle et les choses se font assez facilement. Du coup, on peut tenter des trucs. Par exemple, ces jours ci nous allons, sous l'initiative d'Etienne, reprendre une chanson égyptienne. Et là pour le coup je viens avec rien. On va travailler un autre truc qui s'appelle "Blood on my keyboards" que Manu a écrit. C'est bien quand cela circule, je n'ai pas envie que ce ne soit que mon matériel.

Quel a été le déclic qui a amené, après toutes ces années d'existence à faire enfin un album ?

Philippe : En réalité, tout a commencé par un album, avec jamais l'idée de jouer ensuite. Tout avait été fait sur l'idée de faire un disque et d'ailleurs une version de cet album là existe depuis presque les débuts de General Bye Bye, dans une version différente avec des chansons différentes,  etc. Cela fait super bizarre de sortir le disque maintenant. Cela fait tellement longtemps qu'on porte le truc que cela devient abstrait. A l'époque, c'était encore pour moi un rêve d'ado et maintenant qu'on le sort, c'est devenu totalement obsolète. Personne n'achète plus de disques. (rires) Quoi qu'il en soit, au départ c'était plutot le disque qui nous rassemblait.

Il n'y avait pas d'envie de jouer live ?

Emmanuel : Disons que c'est un album qui avait beaucoup de pistes, et ce n'était pas forcément transposable sur scène à moins d'utiliser des bandes, des samples, etc.

Philippe : Il y avait beaucoup de cordes, de xylophones, pas mal d'instruments...

Emmanuel : Cela a beaucoup évolué et on s'est ensuite dirigé vers quelques chose de beaucoup plus humain.

Etienne : Plus groupe en fait. Quand je suis arrivé, j'ai commencé à jouer avec eux car ils voulaient faire des concerts. Mais quand j'ai commencé, je me suis rendu compte qu'il n'y avait pas vraiment de section rythmique. C'était plus des pièces, qui partaient de collages, de choses comme ça et je me suis retrouvé dans un truc à jouer de la batterie un peu tout seul. Quand je réécoute les trucs enregistrés à l'époque, chaque élément est plus individuel. Ensuite, chacun a tenu son rôle au sein du groupe et c'est comme cela que le groupe existe maintenant.

Avant, c'était un laboratoire plutôt qu'un groupe ?

Etienne : Le laboratoire, c'était Philippe en fait, c'est lui qui avait plein de trucs enregistrés avec plein de cordes, beaucoup de couches de plein de choses. C'était intéressant mais c'était impossible à jouer live au format groupe. C'était assez vain comme travail.

L'album tel qu'il est maintenant a été entièrement refait et produit par vous ?

Philippe : Oui on avait un local à Montreuil et Manu a tout le matériel nécessaire.

Emmanuel : Avec l'aide de Thomas Charlet de Elliot & the Ritournelles qui a fait les prises de son et qui a mixé.

Tu disais que le disque parait déjà obsolète... ?

Philippe : Oui le CD est devenu un objet obsolète. Le vinyle reste un bel objet, mais le cd tend à disparaitre. Pour l'anecdote, j'ai vendu moi-même un cd à une personne et elle l'a encodé directement devant moi pour l'écouter en mp3. Je pouvais directement lui filer l'adresse du téléchargement... Moi-même j'achète très peu de disques en fait. La dernière fois, cela devait être en 2002 ou 2003 et c'était un live de The Ex. On a vraiment l'impression que n'importe qui fait des disques maintenant, ton voisin, ta grand-mère..

Emmanuel : Même nous, on fait un disque. (rires)

Philippe : Mais même le statut de musicien devient abstrait. On nous demande souvent "c'est quoi ton vrai métier en dehors de la musique ?". C'est... bizarre.

La grosse actualité, c'est la tournée, notamment aux USA. Vous pouvez nous en parler un peu plus précisément ?

Philippe : Eh bien c'est un projet qui est né l'année dernière quand j'ai fait un voyage à Austin, au Texas. J'ai participé à une conférence qui s'appellait The Future of Music Coalition, une conférence pour faire un peu le point sur la situation de la scène musicale, avec des politiciens, des avocats, des musiciens, des distributeurs des producteurs, etc. Et il y avait notamment un volet sur les nouveaux outils pour mieux se promouvoir en tant que musicien et comme j'ai eu de très bonnes expériences là-bas, dès que je suis revenu je me suis dit : "tentons le truc et essayons de faire cette tournée". Et on a bossé comme des malades là-dessus.

On a donc réalisé un petit film pour présenter le truc. On a déjà une vingtaine de dates. Là-bas il y a aussi un meilleur respect, ou du moins une meilleure appréciation de ce que tu viens faire et les musiciens sont mieux considérés. Il y a plus de gens qui vont aux concerts également, donc selon comment le groupe est rémunéré (sur les entrées ou sur le bar), cela peut vraiment permettre de s'en sortir. Sur une des vidéos que nous avons faites, le coup de la bière avec les 4 pailles à Paris, c'est pas vraiment très loin de la vérité.

Quoi qu'il en soit, c'est un rêve d'aller jouer dans ce pays. C'est même une évidence je pense d'aller jouer là-bas et j'adore le projet de lever de fond. Cela nous permet d'être plus proches des gens aussi.

Ce qui est excitant dans ce projet, ce n'est pas seulement d'aller jouer aux Etats-Unis mais c'est aussi d'avoir l'opportunité de communiquer différemment. De donner qui on est et pas juste notre musique. C'est vrai que c'est un peu lourd comme travail d'essayer de rencontrer le maximum de gens possibles mais je trouve cela super sain quand tu es musicien de ne pas te focaliser juste sur la partie création, même s'il ne faut pas se perdre dans le versant inverse. Personnellement, je suis super content de rencontrer des gens que je ne connais pas du tout et avec qui je peux vraiment dialoguer sur la musique de General Bye Bye, sur d'autres choses et cela me donne des tas d'informations. Sur la vision qu'ils ont du groupe, leurs titres préférés. Par exemple, on me dit souvent que les bleus de travail font super sexy, etc. Moi je me vois plutôt comme une patate bleue.

Cela va loin votre truc. Selon les fonds donnés par les gens, cela leur donne droit à un court de français avec toi ou un cours de guitare avec Etienne, de piano avec Emmanuel, voire même un cours de cuisine ou une visite guidée de Paris avec les membres du groupe !

Philippe : Oui, j'espère que cela marchera mais en France il n'y a pas trop de rapport là, la philanthropie n'existe pas tellement. En tout cas c'est bien qu'on le fasse. Peut-être que l'on sera connu pour cela plus tard  ! (rires).

Et les gens qui donnent réclament-ils vraiment leur lot ?

Philippe : Pour les prix un peu originaux, il y a 2 personnes qui ont demandé la visite de Paris, mais on n'a pas eu les cours de langues... Mais je ne désespère parce que la manière dont nous avons communiqué n'était pas forcément bonne. Mais ce n'est pas évident quand même. Mais en tout cas je trouve cela complètement tripant...

Emmanuel : Mais attention ce n'est pas qu'une visite de Paris, tu as aussi l'album, un badge...

Les dates sont calées pour la plupart aux USA mais la levée de fond n'est pas finie. S'il n'y a pas suffisamment... partez-vous quand même ?

Emmanuel : Oui, on a nos billets d'avion...

Philippe : Et seulement nos billets d'avion, c'est pour cela qu'il y a un truc à faire.

Emmanuel et Etienne : Un truc entre l'aller et le retour à gérer oui ! (rires)

Toutes vos aventures au travers de l'organisation de cette tournée sont illustrées de petites vidéos. C'est vous qui faites cela tous seuls ?

Etienne : Oui on fait cela nous-mêmes.

Philippe : Oui on a une idée, on dit qu'on la fait... et on la fait ! On fait cela avec des appareils photos et des téléphones. C'est ça que j'adore. T'as une idée et tu la fais.

Emmanuel : Il y a tellement de gens qui disent "j'ai plein d'idée mais j'ai pas le matos, etc." Rien à foutre, t'as une idée, il faut la faire !

Philippe : Oui, plus le temps passe, plus je me dis ça. Sinon tu accumules des idées, tu les fais pas et tu deviens frustré et au final tu ne fais rien. Donc pour les vidéos, on a une idée, on prend rendez-vous pour un jour et quoi qu'il arrive on fait en sorte que cela puisse se faire. Et j'espère que l'on arrivera à ce point là en musique.

Comment se passe la suite de cet album. Vous êtes en pause au niveau de la composition ? Vous continuez de bosser des nouveaux morceaux ?

Philippe : Il y a 4 nouveaux morceaux, bientôt 2 de plus dans pas longtemps, avec des directions assez différentes. C'est beaucoup plus immédiat, même si je n'ai pas dit mon dernier mot sur un ou deux trucs (rires). C'est beaucoup plus naturel en tout cas car nous avons pris du temps pour apprendre à travailler ensemble. Chacun peut apporter quelque chose et on sait ce que l'autre pourra apporter également, même si on continue à se surprendre bien entendu.

Tous (dans un joyeux brouhaha) : Ce qui changera aussi, c'est que l'on va avant tout jouer les nouveaux morceaux en concert avant de les enregistrer. C'est vraiment un changement.

Philippe : Dans ma tête d'ailleurs, on ne pourra plus enregistrer un titre sans l'avoir joué ensemble avant. On voit l'évolution. Si les morceaux ne sont pas jouée live, ils ne valent rien. Même si sur l'album on rajoute toujours des parties, des arrangements, les morceaux ne peuvent pas exister sans avoir été joués ensemble.

Vous disiez qu'au début, Philippe arrivait avec des compositions avec énormément de pistes, etc. Philippe, tu ne ressens pas une frustration par rapport à cela avec ce nouveau mode de fonctionnement ?

Philippe : Si complètement. Plein. Mais c'est pour cela que je dis que je n'ai pas dit mon dernier mot concernant les nouveaux morceaux. Je pense que ce sont des choses auquelles les autres adhéreraient également si c'est apporté avec justesse (ndlr : Emmanuel et Etienne émettent quelques grognements de réserve). Par exemple, j'aime les cordes et je trouve que cela manque vraiment sur le groupe.

Quel a été votre premier rapport avec la musique ?

Philippe : J'ai écouté beaucoup de punk, beaucoup de merde d'ailleurs, mais il y a des groupes qui m'ont mis une grosse claque : Fugazi et My Bloody Valentine. J'avais 14 ans la première fois que j'ai écouté cela et au départ je croyais que le disque avait un problème.

Emmanuel : Moi j'ai commencé le clavier très jeune, donc j'étais plus attiré par les sonorités des claviers. J'écoutais donc pas mal de musique à base de synthétiseurs. C'est ça qui m'a donné envie de continuer à faire de la musique. Et j'ai longtemps été frustré avant de pouvoir faire les sons que je voulais. Ce sont des instruments qui coûtent cher et au départ on commence avec des petits orgues, etc. et je voulais avoir totalement le contrôle sur le son et je n'avais pas assez d'argent de poche pour m'acheter un tel instrument. Alors ce sont mes parents qui me l'achetaient à des anniversaires, Noël... Mais ce n'était  jamais ce que je voulais, c'était des trucs préprogrammés, etc. J'écoutais des groupes en rapport avec cela. Jean-Michel Jarre, Pink Floyd, Kraftwerk. Et pendant ce temps, j'apprenais effectivement Chopin que j'aime aussi beaucoup.

Etienne : Moi je n'ai pas commencé à faire de la musique très tôt mais j'ai baigné dedans car mon père est compositeur et j'ai 3 grands frères dont 2 font de la musique. Cela allait de Genesis ou Supertramp à Bach. C'est très vaste. J'ai été beaucoup touché par des choses que mon père écoutait quand j'étais petit. Stravinsky... Quand je réentends des choses maintenant que j'entendais quand j'étais petit, cela me fait quelque chose... J'ai joué aussi de la batterie à l'adolescence car j'ai un frère batteur. J'ai ensuite appris la guitare, au travers d'une guitare électrique. Je me suis intéressé aussi au jazz...

S'ensuit un débat entre Philippe, Emmanuel et Etienne sur leurs différences musicales, la différence entre une bonne chanson et une chanson chiante (qui pourtant peut-être bonne a priori...) sur le jazz, Tom McRae, Sonic Youth, AC/DC et Herman Dune impossible à traduire par écrit.

Et qu'est-ce qu'il en ressort de toutes des différences entre vous ?

Philippe : Il y a un truc que j'ai vu dans une chronique qui me semble être assez juste et représente sans doute un des points communs entre nous : c'est cet amour pour la dissonance. Entre Manu et moi, c'est évident... après pour Etienne peut-être moins...

Emmanuel : Mais si il aime le jazz !

Etienne : Non mais j'aime pas le jazz, attendez attendez !

Non mais c'est pas honteux d'écouter du jazz... (rire général)

Etienne : Non non mais là ça fait le mec qui écoute du jazz... J'adore Eric Dolphy et je suis fan de Mathieu Bogaerts, il est génial.

Philippe : Bref, l'amour de la dissonnance est quelque chose sur lequel on se rejoint.

Emmanuel : Et l'amour du hip hop mais cela ne se sent pas trop sur l'album. (rires)

Et après la tournée, que se passera-t-il pour General Bye Bye ?

Etienne : Moi j'attends des choses de cette tournée. Se créer un nouveau public, de révéler des choses dans General Bye Bye, de donner des nouvelles idées.

Philippe : Moi je n'ai pas de plan en tête mais je suis super excité à l'idée de jouer tous les jours. Pouvoir corriger un set du jour au lendemain pour arriver à quelque chose de stable, compact et être sûrs de nous. J'espère qu'il y aura un peu de public. On communique sur les blogs, dans les alliances françaises, etc.

Si vous deviez donner chacun un qualificatif au groupe, que choisiriez-vous ?

Ndlr : le groupe se concerte...

Philippe : Changeant... on aime bien créer des ruptures... Girouette !

Emmanuel : Mais on est en train de changer en fait...

Etienne : Adolescent !

Philippe : Je suis complètement d'accord !

Retrouvez General Bye Bye
en Froggy's Session
pour 4 titres en cliquant ici !
  

 

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique de l'album Girouette de General Bye Bye
La chronique de l'album Blood on my keyboard de General Bye Bye

En savoir plus :
Le site officiel de General Bye Bye
Le Myspace de General Bye Bye
General Bye Bye sur KissKissBankBank

Crédits photos : David Didier


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General Bye Bye (7 juin 2010)


# 24 mars 2024 : Enfin le printemps !

Le printemps, les giboulées de mars, les balades au soleil ... la vie presque parfaite s'il n'y avait pas tant de méchants qui font la guerre. Pour se détendre, cultivons nous !. Ajoutons à cela nos chaines Youtube et Twitch et la semaine sera bien remplie.

Du côté de la musique:

"Dans ta direction" de Camille Benatre
"Elevator angels" de CocoRosie
"Belluaires" de Ecr.Linf
"Queenside Castle" de Iamverydumb
"Five to the floor" de Jean Marc Millière / Sonic Winter
"Invincible shield" de Judas Priest
"All is dust" de Karkara
"Jeu" de Louise Jallu
"Berg, Brahms, Schumann, Poulenc" de Michel Portal & Michel Dalberto
quelques clips avec Bad Juice, Watertank, Intrusive Thoughts, The Darts, Mélys

et toujours :
"Almost dead" de Chester Remington
"Nairi" de Claude Tchamitchian Trio
"Dragging bodies to the fall" de Junon
"Atmosphérique" de Les Diggers
quelques clips avec Nicolas Jules, Ravage Club, Nouriture, Les Tambours du Bronx, Heeka
"Motan" de Tangomotan
"Sekoya" de Tara
"Rita Graham partie 3, Notoriété", 24eme épisode de notre podcast Le Morceau Caché

Au théâtre

les nouveautés :

"Gosse de riche" au Théâtre Athénée Louis Jouvet
"L'abolition des privilèges" au Théâtre 13
"Lisbeth's" au Théâtre de la Manufacture des Abbesses
"Music hall Colette" au Théâtre Tristan Bernard
"Pauline & Carton" au Théâtre La Scala
"Rebota rebota y en tu cara explota" au Théâtre de la Bastille

"Une vie" au Théâtre Le Guichet Montparnasse
"Le papier peint jaune" au Théâtre de La Reine Blanche

et toujours :
"Lichen" au Théâtre de Belleville
"Cavalières" au Théâtre de la Colline
"Painkiller" au Théâtre de la Colline
"Les bonnes" au théâtre 14

Du cinéma avec :

"L'innondation" de Igor Miniaev
"Laissez-moi" de Maxime Rappaz
"Le jeu de la Reine" de Karim Ainouz

"El Bola" de Achero Manas qui ressort en salle

"Blue giant" de Yuzuru Tachikawa
"Alice (1988)" de Jan Svankmajer
et toujours :
 "Universal Theory" de Timm Kroger
"Elaha" de Milena Aboyan

Lecture avec :

"Au nord de la frontière" de R.J. Ellory
"Anna 0" de Matthew Blake
"La sainte paix" de André Marois
"Récifs" de Romesh Gunesekera

et toujours :
"L'été d'avant" de Lisa Gardner
"Mirror bay" de Catriona Ward
"Le masque de Dimitrios" de Eric Ambler
"La vie précieuse" de Yrsa Daley-Ward
"Le bureau des prémonitions" de Sam Knight
"Histoire politique de l'antisémitsme en France" Sous la direction d'Alexandre Bande, Pierre-Jerome Biscarat et Rudy Reichstadt
"Disparue à cette adresse" de Linwood Barclay
"Metropolis" de Ben Wilson

Et toute la semaine des émissions en direct et en replay sur notre chaine TWITCH

Bonne lecture, bonne culture, et à la semaine prochaine.

           
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