L'acadien Joseph Edgar était à Paris pour la première fois depuis longtemps. Même si on l'a déjà croisé au festival Interceltique de Lorient ou au festival Pause Guitare, on n'a pas souvent eu l'occasion de le voir dans la capitale.
La neige n'a pas fait reculer les parisiens puisque la Bellevilloise est bien remplie. En formule trio, les chanson de son dernier album Ricochets, trouve une énergie brute.
Lorsque, seul sur scène avec sa guitare électro-acoustique, il entame son tube "Espionne Russe", on retrouve le folk sans concession de l'ancien chanteur de Zéro Celcius. La version électrique de "Jo, Jane et Jim", avec la basse mise en avant, révèle la noirceur du morceau.
Aucun doute. Joseph Edgar sait faire monter la température malgré les températures extérieures.
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