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Interview  (Paris)  28 septembre 2006

Idriss est un passionné de théâtre. Comédien, metteur en scène, nous le rencontrons aujourd'hui à l'occasion de la mise en scène de "L'exil" dans le cadre du cycle Montherlant du Théâtre du Nord-Ouest.

Le bonhomme est sympathique, volubile et ne manque pas de projets.

On commence par un petit flash back ?

Idriss : J'ai débuté dans ce métier comme comédien, il y a très longtemps, juste après la guerre de 14 (rires). J'avais 20 ans et j'ai eu la chance de partir en tournée avec "Amphitryon 38" de Jean Giraudoux avec Odile Versois et au retour j'ai figuré dans la distribution de deux créations de Jean Anouilh qui m'appréciait. "Ne réveillez pas Madame" avec François Périer qui s'est joué pendant 2 ans et puis j'ai enchaîné pour un an avec "Le directeur de l'Opéra" avec Paul Meurisse. Cela m'a donc aidé en me permettant de rencontrer beaucoup de monde.

Depuis j'ai joué environ 80 pièces avec de grands noms comme Danielle Darrieux et Jean-Pierre Aumont dans"La maison du lac", avec Christian Marin dans "Décibels", etc… J'ai joué aussi bien des comédies de boulevard que des pièces dramatiques. J'aime le bon boulevard car dans tous les registres il y a du bon et du mauvais. Et j'ai toujours eu la chance de jouer des pièces que j'aimais et dans des couleurs différentes. Ainsi par exemple, il y a 2 ans, je jouais aux côtés de Virginie Pradal et Jean-François Derec dans "Ma fille habite à Paris" et ensuite Bartolo dans "Le barbier de Séville". Et c'est ainsi que je conçois mon métier.

Vous êtes presque un privilégié car c'est également une très grande chance de pouvoir faire ce métier, en vivre et jouer dans des pièces qui vous plaisent de surcroît.

Idriss : Tout à fait. Comme je n'ai jamais eu de plan de carrière, l'essentiel pour moi est de pouvoir m'amuser dans l'exercice de ce métier qui est davantage une passion.

Mais cette passion date de la prime jeunesse ?

Idriss : Je suis issu d'une famille modeste, mon père était ouvrier et ma maman mère au foyer et pour les vacances on m'envoyait en colonies de vacances car toute ma famille était en Kabylie. Et qui dit colonies de vacances dit animations dans lesquelles j'étais toujours le premier avec des copains pour faire l'andouille. Et j'ai vécu ma jeunesse à Asnières, dans la région parisienne, où il y avait ce que l'on appelait une maison des jeune set de la culture dans laquelle il y avait un atelier de théâtre auquel je me suis inscrit vers l'âge de 14 ans et où j'ai pu côtoyer, non pas vraiment encore le théâtre, mais la poésie

Et puis nous vivions dans une maison qui appartenait à une dame veuve sans famille et sans enfants pour qui j'étais un peu un petit fils d'adoption qui avait vécu toute sa jeunesse à côté des studios d'Epinay. Elle passait son temps à me raconter des anecdotes sur les tournages comme par exemple le fait que ses parents avaient prêté leur service de verre en cristal pour la première version parlante des "Trois mousquetaires" etc…L'ensemble a sans doute compté pour beaucoup dans mon envie de faire du spectacle.

Et la mise en scène ?

Idriss : Je me suis lancé dans la mise en scène tout à fait par hasard en 1985. Auparavant, j'aidais un peu les copains dans la répétition de scènes pour des auditions. En 1985, le maire de Montfermeil m'a proposé, dans le cadre du centenaire de la mort de Victor Hugo qu'il souhaitait célébrer en raison du lien avec ce dernier, avec "Les misérables", de trouver une pièce. Compte tenu de l'enveloppe budgétaire disponible, il n'était bien sûr pas question de monter ni Hernani ni Ruy Blas, d'autant plus qu'il s'agit de grandes pièces connues qui seraient montées partout en France.

J'ai donc choisi une pièce totalement inconnue de Victor Hugo qu'il avait écrit à l'âge de 14 ans, un opéra comique qui s'appelle " "AQCHEB", et qui n'avait jamais été jouée, une bluette dont le personnage principal était un personnage populaire très volubile comme Dom Cesar. Et quand il m'a donné son accord pour la monter en me confiant ce soin je n'ai pas pu lui refuser et j'ai donc relever le défi.

Et vous avez attrapé le virus de la mise en scène…

Idriss : Oui. Et depuis j'alterne les deux tout en ne jouant pas dans les pièces que je mets en scène.

En raison d'une position de principe ?

Idriss : Pour moi il me paraît difficile, peut être en raison d'un manque de confiance en moi, d'être à la fois sur scène et metteur en scène. Quand j'assure la mise en scène, j'ai un regard extérieur sur les comédiens et je sais ce que je veux et- attends d'eux. Moi je me connais trop et je sais que je vais donner dans la facilité comme n'importe quel comédien qui n'est pas dirigé. Je ne veux pas de cela. Cela m'est arrivé parfois mais uniquement quand j'avais un co-metteur en scène.

Et uniquement le théâtre ?

Idriss : Je fais peu de cinéma. A une époque j'ai fait beaucoup de télévision dans le cadre de la série "Au théâtre ce soir"La mort complaisante" de Graham Greene avec Marie Dubois et Jacques François, "La quadrature du cercle" montée par Vitali avec Sabine Azema et Georges Beller, et la série "Messieurs les jurés" puis des feuilletons. Cela m'a donné la chance de pouvoir partir jouer ne tournée avec Michel Bouquet dans "Le malade imaginaire", Sophie Desmarets dans "Fleur de cactus" qui sont des propositions qu'on ne refuse pas. Mais cela vous met en retrait de la caméra et vous êtes très vite oublié. En ce moment, j'essaie de réintégrer un peu ce circuit mais ce n'est pas évident car je fais beaucoup de théâtre.

Revenons au théâtre avec "L'exil" que vous ave z monté dans le cadre du cycle Montherlant au Théâtre du Nord-Ouest. Quelle en est la genèse ?

Idriss : Je connais Jean-Luc Jeener depuis très longtemps et il fait des critiques de mes pièces, parfois très bonnes parfois très mauvaises, mais cela je l'accepte car c'est la règle du jeu puisqu'il est critique de théâtre. Et j'en profite pour rendre hommage à son intégrité car ce n'est pas parce qu'il vous aime bien qu'il vous encense. Quand il a ouvert le Théâtre du Nord-Ouest je lui ai dit qu'il pouvait compter sur moi.

J'ai joué avec lui dans"L'école des femmes" dans le cycle Molière, "La cerisaie" dans le cycle Tchekhov, j'ai "Sur la grand route" montée par Delphin et j'ai monté "Tolstoi la nuit" un texte de Pascal Roux qui était un monologue que jouait Edith Garraud. J'ai ensuite monté "Il ne faut jurer de rien" dans le cycle Musset qui a reçu un bon accueil et qui est parti en tournée. Ce qui l'intéresse également car on connaît les conditions draconiennes dans lesquels on monte les pièces au Théâtre du Nord-Ouest et dans lesquelles jouent les comédiens qui ne sont pas payés.

A suivi une pause de quelques années car je pense qu'il ne faut pas s'enterrer dans un lieu. Il faut un peu voyager pour ne pas se scléroser. Et puis aussi parce que j'ai besoin personnellement de bouger. Et en avril 2006 je suis venu assister à une lecture d'une amie et Jean-Luc Jenner assurait la caisse.

Il m'a proposé de monter "L'exil" dans le cadre du cycle Montherlant. J’avais vu la création de cette pièce en 1974 au Studio des Champs Elysées et j'en avais gardé un très bon souvenir. Je lui demandé de me laisser un peu de temps pour prendre ma décision car il faut absolument que je "sente" la pièce ou le rôle pour l'accepter. Il m'a répondu que c'était urgent et qu'il voulait que ce soit moi qui la monte. Cela avait bien évidemment un côté flatteur…

… mais un peu dangereux aussi …

Idriss : …exactement parce que cela impliquez de ne pas le décevoir. Je me suis précité le soir même sur le texte car j'ai l'intégrale de Montherlant chez moi et j'ai craqué !

Et pourquoi "L'exil" vous a-t-il fait "craquer ?

Idriss : Tout dans cette pièce est en filigrane. J'ai aussi été touché par la fraîcheur de l'écriture car il s'agit d'une oeuvre de jeunesse avec ses maladresses, ses scènes inégales. Et puis le mélange de scènes très fortes d'affrontement de la mère et du fils et des scènes de comédie dignes de Feydeau avec les 3 punaises et les 2 trouffions. Ces dernières sont d'ailleurs nécessaires pour détendre un peu l'atmosphère. Car les sentiments exacerbés de haine et d'amour entre la mère et le fils qui sont arrivés à un tel paroxysme qu'ils ne peuvent plus que se séparer pour ne jamais se revoir.

Et dans ma conception de la pièce, il est évident que la mère et le fils ne se reverront jamais plus. La rencontre de Sénac et de Philippe de Presles rermonte au collège et il s'agit d'une très grande amitié. De Presles est profondément amoureux de Cenac mais il n'a pas découvert son homosexualité qui ne lui sera jamais révélée. Il a plus que besoin de la présence de Sénac tout en étant incapable de tout contact physique avec lui. Sénac aime tout autant Philippe mais il n'y a pas d'ambiguïté chez lui par rapport à ce sentiment. Sénac se mariera, aura des enfants et sera sans doute très triste d'apprendre la mort de Philippe.

Ce dernier voue un amour total, mais un amour platonique, il le dit dans la pièce et Sénac représente pour lui l'amour idéal. Quand il le revoit, il apprend que Sénac blessé a été soigné et dorloté par un autre, qu'il a été au bordel et surtout qu'il a changé. Sénac est devenu un homme et Philippe l'a perdu. Il ne retrouve pas l'être, et je dis volontairement l'être et non pas l'homme, qu'il a aimé sans le savoir. Cette perte sera à l'origine de son engagement pour le front.

Et la distribution qui est tout à fait judicieuse ?

Idriss : Je connaissais déjà Christophe Poulain pour avoir joué avec lui "On ne badine pas avec l'amour" dans une mise en scène de Jean-Paul Bazziconi dans lequel il jouait Perdican et moi Maître Bridaine. Je lui ai proposé lé rôle qu'il a accepté. J'ai auditionné tous les autres "jeunes" comédiens car j'en connais peu. Pour ce faire j'ai contacté Raymond Aquaviva que je connais bien et qui a un cours de théâtre. Il m'a proposé des noms et j'ai ainsi pu faire mon "marché".

Pour le rôle de Madame de Presles, je voulais absolument Marie-Hélène Viau, qui est une amie et qui a été emballée par le rôle, car c'était la Geneviève de Presles que j'imaginais. Comme elle a eu un problème familial qui ne lui permettait pas d'assurer les premières représentations, j'ai fait appel à Eliane Deleuze. Frédéric Touitou est parfait dans le rôle du majordome car je voulais quelqu'un de louche, d'inquiétant, de bizarre, d'énigmatique, tout en se révélant le brave homme à la fin de la pièce. Comme c'était un petit rôle, je voulais l'habiller un peu et il est merveilleux. Diane de Segonzac m'a demandé s'il n'y a avait pas un rôle pour elle et elle a accepté de jouer un petit rôle dans une seule scène. De même pour Nathalie Hamel.

Et c'est elle qui m'a présenté Marie-Véronique Raban avec laquelle elle joue le rôle en alternance. Pour Christian Chauvaud, je l'ai rencontré lors du tournage d'un court métrage avec un jeune réalisateur. Car je suis très intéressé par ces tournages. Comme je ne peux pas tourner avec les grands réalisateurs, je me tourne vers la jeune génération qui aura peut être un jour besoin de vieux "cons" comme moi. Je lui ai proposé le rôle qui l'a bien volontiers accepté.

Quand j'ai assisté à la représentation, vous étiez assis à mes côtés et armé de lunettes et d'un stylo vous preniez des notes et parfois vous appuyiez vos constatations d'une discrète onomatopée. C'est votre habitude ?

Idriss : Oui. De plus il y a une demande de la part des comédiens. Je pense que cela les rassure puisqu'il me sollicite quand je ne suis pas venu plusieurs fois de suite. J'ai monté ce spectacle dans la rigueur tout en leur laissant une certaine liberté. Il y a un rail sur lequel leurs personnalités peuvent s'exprimer. Les comédiens jouent en alternance et le spectacle est différent selon les comédiens sur scène.

Et quelles sont les causes de ces petits agacements qui vous font ainsi réagir et que vous notez fébrilement ?

Idriss : Oh, un temps trop long ou trop court, une intention qui n'est pas bonne car le comédien a essayé autre chose et est tombé à côté car comme toujours, 9 fois sur 10 ça tombe à côté. Mais ce ne sont pas des choses graves, d'ailleurs le public ne s'en rend pas compte, mais j'ai toujours deux pages de notes.

Quelle est la fréquence de la programmation au Théâtre du Nord-Ouest ?

Idriss : Il y aura 75 représentations au total. J'avais demandé à Jean-Luc Jeener de prévoir une programmation intense car jouer une semaine tous les 15 jours c'est mortel et rageant. Cette belle programmation constitue aussi la raison pour laquelle j'ai doublé la distribution, afin de pouvoir toujours assurer la représentation.

Deux distributions doivent être particulièrement lourdes à gérer ?

Idriss : Oui. Et il faut reconnaître qu'à la fin, j'en avais un peu marre des répétitions. Je saturais complètement car j'avais l'impression de ressasser mais avec des personnes différentes. Et puis j'ai été entouré pour ce projet. Ainsi mon épouse s'est occupée de la confection des costumes féminins. Francis Perrin m'a prêté des costumes et des accessoires. Quand on n'a pas d'argent, il faut se débrouiller. On fait la danse du ventre !(rires)

Jolie expression ! Un des buts est également d'exporter ce spectacle au dehors du Théâtre du Nord-Ouest ?

Idriss : Oui, bien sûr. Et cela sans renier le rôle du Théâtre du Nord-Ouest. Jena-Luc Jeener nous donne l'opportunité de monter des spectacles dans un lieu qui constitue un vrai tremplin. Cela étant il faut faire venir les critiques ce qui constitue une vraie difficulté. Car Jean-Luc Jeener, critique lui-même, les connaît tous. Ils ne veulent pas venir parce que faire de mauvaises critiques risquent de les mettre dans l'embarras par rapport à lui et en faire de bonnes ferait peser une suspicion sur leur objectivité.

Conclusion, ils ne viennent pas. Pour ma part, je préfère miser sur la venue des professionnels pour reprendre le spectacle. Ce qui est mon but également. Ainsi j'avais "vendu" le Musset pour 20 représentations ce qui permet aux comédiens de gagner leur vie. Je prévois une tournée pour septembre 2007. Et si nous trouvons une salle parisienne pour le premier semestre 2006, je prends !

Quels sont vos futurs projets ?

Idriss : En tant que comédien, début 2007, je devrais co-signer une mise en scène d'une comédie de boulevard, dans laquelle je jouerai également, qui s'appelle "Une femme branchée". Par ailleurs dans le cadre du cycle Shakespeare du Théâtre du Nord-Ouest, je souhaiterai monter "Les joyeuses commères de Windsor" avec Marie-Véronique Raban et Diane de Segonzac. Ceci est un scoop car je n'en ai même pas encore parlé à Jean-Luc Jeener. Et puis des projets à plus long terme dont une pièce que je veux monter depuis 15 ans mais je cherche désespérément une très jeune comédienne qui ait la grâce. Et ça…bonjour ! Mais je n'en démords pas !

Je finis par une question incontournable : allez-vous au théâtre en tant que spectateur et quels sont les spectacles que vous avez récemment apprécié ?

Idriss : Je n'arrête pas ! Je suis curieux de tout ! Il ne faut pas vivre en autarcie et je suis un spectateur éclectique. Le spectacle qui m'a beaucoup plu c'est "Marie Stuart" de Wolfgang Hildesheimer. mis en scène par Didier Long au Théâtre Marigny avec Isabelle Adjani. Elle est magnifique ! Nous avons été subjugué, ma femme et moi, et sommes restés dix minutes à applaudir comme des bêtes. C'est vraiment une star !

Et d'où vient cette fascination ?

Idriss : De ce qu'elle dégage. La grâce.

Est-elle bonne comédienne ?

Idriss : Oui. Autant dans "La dame aux camélias" je m'étais ennuyé comme un rat mort, la mise en scène était au demeurant fort pesante et triste, et elle n'était pas très bonne autant elle est ici magnifique. Et puis elle accepte de paraître moche, sale, le cheveu gras. Elle joue le jeu et bien sûr elle finit dans le somptueux costume de Marie Stuart comme une reine.

Et un spectacle sans grosse tête d'affiche ?

Idriss : "Le jardin" de Brigitte Duc au Théâtre des Mathurins avec Annick Alane, Marc Fayet et Isabelle Gélinas qui est un très joli spectacle et qui j'espère marchera bien. Il faut aller le voir, c'est superbe !

Donc ce sont les deux spectacles estampillés "Vu et approuvé par Idriss" ?

Idriss : Oui ! (rires).

 

A lire aussi sur Froggy's Delight :

La chronique du spectacle "L'exil"


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