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Festival Cinéma et Musique  (Paris)  du 3 au 8 juin 2008

L’été est la saison idéale pour les festivals de tous poils. Filmer la musique ouvre la saison début juin en proposant un projet transverse ou musique et cinéma se mêlent en toute liberté. Projections sur divers supports, concerts et performances sont au rendez-vous.

Ce festival revendique son côté underground et ultra contemporain tout en proposant quelques archives triées avec grand soin.

Amateurs d’OVNIS cinématographiques, adorateurs de punk et de rock alternatif, ou plus largement, amoureux de musique, curieux de voir cette dernière sous d’autres angles, ce festival est fait pour vous. En attendant la troisième édition, voici un petit tour d’horizon de cette manifestation originale.

Le Point éphémère offre l’espace nécessaire aux différents formats de films que propose le festival. Quand on se rend dans la salle d’exposition, on rentre dans le Mirror Ball Cinema. Là, des colonnes avec des écrans encastrés sont jonchées par-ci, par-là, libre au promeneur de s’asseoir, de mettre un casque et de se laisser emporter.

Toutes sortes de courts-métrages, vidéos, extraits d’émissions télé et concerts sont proposés.

 Les vidéos sont toutes très différentes, mais on toutes la volonté de montrer la face cachée du monde musical contemporain. Ici, les caméras filment le "hors-champ"  : fêtes underground à New York, vidéos déjantées (entre autres Michoko de Julie Coutureau et Joseph Marzolla ou l’on voit un type en short chanter "je danse la bourrée avec mes boots poilues" …), un plan séquence de la batteuse de The Gossip , caméras embarquées lors de concerts (Eric’s trip), concert de Daft Punk filmé par un téléphone portable….Bref, pas moins d’un trentaine d’OVNIS sont mis à la disposition de l’amateur de bizarreries et de lives.

L’étage au dessus, se trouve une petite salle noire, jonchée de sièges et d’un grand écran sur lequel défilent des images en slip screen. Casque sur la tête, on rentre dans un monde de bruits et de sons.  C’est la Noise Box, endroit idéal pour s’isoler un peu, et faire une pause avant d’aller voir les films dans la salle XXO.           

Les temps forts de Filmer la musique, ce sont les projections dans la salle XXO. Grande salle du point éphémère ou les films sont projetés en vidéo numérique sur un grand écran. L’essence du festival se trouve là.

Ma petite sélection des films les plus marquants :

ENSAUVAGER LA VIE Réalisé par Mathilde Moriere

Un voyage avec de le groupe de punk français Illegal process lors de sa tournée européenne. La réalisatrice a souhaité montrer les lieux et les gens qui les fréquentent plus que la musique punk en elle-même. Un petit voyage en Europe aussi réjouissant qu’alarmant. Le mode de vie alternatif existe bel et bien, mais est mis en danger partout. Le voyage commence à Nice, bastion fasho ou les associations ne bénéficient que d’un local, mais s’arrangent entre elles. Des témoignages intéressants sur l’organisation et la lutte au quotidien pour exister autrement. De même pour Berlin ou Illegal Process se produit. Lieu anarcho-associatif qui propose des logements temporaires aux jeunes sans toit, des concerts, etc. Quand aux pays de l’Est (Slovénie), des lieux d’exposition d’Art contemporain, ou lieu de concerts se font rares, il faut faire des kilomètres pour trouver un endroit pareil. Projection en présence de la réalisatrice et du bassiste d’Illegal Process.

BUT WE HAVE THE MUSIC Réalisé par Shanti Masud
Que fait la musique aux Hommes? Du bien, du mal, une explosion émotionnelle, un flot incontrôlable. Masud le montre à travers l’image : elle filme  des gens en train d’écouter une chanson qu’ils aiment. Point besoin de paroles, la musique parle pour eux. Personnages bercés, bousculés, regards pleins d’amour, trémoussements sensuels, regards au loin, ce court-métrage est un vrai moment de poésie brute.

LIGHTNING BOLT: THE POWER OF SALAD Réalisé par Peter Glanz et Nick Noe
Ce documentaire suit Lightning Bolt, un groupe américain constitué d’un bassiste usant et abusant des effets, et d’un batteur fou à lier, qui bourrine à longueur de temps sur son instrument. Le tout agrémenté de cris et de hurlements sauvages par-ci, par-là. Au final, ce que recherchent ces deux gus n’est pas tant la mélodie, mais la transe à travers l’exploit sonore et physique. Autour d’eux, le public gigote, saute hurle, bref, hystéro.

NINA HAGEN PUNK + GLORY Realisé par Peter Sempel
(En présence du réalisateur, et en partenariat avec le Goethe Institut).

La diva punk d’ex-RDA sous la caméra de Sempel devient très attachante. Brins de folie, toujours théâtrale, Très photogénique, sa beauté innonde l’écran. Sa relation à l’autre est mise en évidence, et on réalise que l’on est face à une personne au cœur énorme. Regards enfantins sur le monde qui l’entoure, pratique du bouddhisme, fragilité qu’elle peine à cacher derrière son jeu de scène de tous les instants. Nina, I love you! Euh, pardon, Ich liebe dich!

THE SLOG MOVIE Réalisé par David Markey
La scène punk hardcore californienne au début des années 80. Extraits de concerts et témoignages de l’âge d’or du punk américain, agrémenté de deux courts métrages allumés du même réalisateur et de Thurston Moore.

HEAVY METAL PARKING LOT Réalisé par Jeff Krulik et John Heyn
1986, avant un concert de Judas Priest, mythique groupe de heavy metal, les fans se déchainent sur le parking… Bière qui coule à flot, pifs cocainés, brushings vintage, tenues moulantes, et attitude rock n roll. Bienvenue sur le parking lot. Génération musicale en opposition au punk qui revendique un message social, les metalleux eux préfèrent l’attitude sex drugs and rock’n roll. Point de discours revendicatif ici à part le fait de faire la fête sauvagement jusqu’au bout. Parfois risible, mais une sensation galvanisante.

NICK’S WORLD OF SYNTHETISZERS Réalisé par Eve WOOD
Bienvenue à Sheffield ou habite Nick, créateur d’instruments. Dans son jardin, habillé d’un costard à carreaux que seuls nos amis anglais savent porter sans être ridicules, Nick nous montre ses inventions géniales.  Il nous explique qu’il souhaitait acheter un synthétiseur, mais trop cher. Que cela ne tienne : sans connaissances musicales, mais avec un vrai génie et une grande curiosité de la musique, Nick crée un nombre impressionnant d’instruments numériques aux sons nouveaux, et uniques !

FEIERN Réalisé par Maja Classen
Berlin est réputée pour ses fêtes techno. Les purs de durs se font des marathons de danse de plusieurs jours, non stop. Ceci aidé par les drogues, mais surtout par un vrai amour du clubbing et de la promiscuité conséquente à la musique. Une série de témoignages à l’ambiance veloutée, quelques scènes d’after, on reste suspendus….et flottants.

VAN INTERNATIONAL Réalisé par Juan Trip
Le film psychédélique du festival, qui a largement mérité son Mushroom d’or ! Aqua Nebula Oscillator en tournée, film trippant, plein de créativité, ou les membres du groupe se trouvent en Allemagne. Je vous assure que vous ne trouverez aucun guide touristique qui vous montrera cette vision de nos voisins…Je parle allemand, et pourtant, je n’ai pas compris ce qui se disait dans ce film. Heureusement qu’il y avait les sous-titres…Bien sympa !

1991: THE YEAR PUNK BROKE Réalisé par David Markey
Oui oui oui, un grand classique du film musical, on l’on suit Sonic Youth et Nirvana en tournée en Europe. Emotion de revoir Kurt Cobain

ROOTS, ROCK REGGAE Réalisé par Jeremy Marre
Un voyage dans la Jamaïque en 1977. Entre misère, violences, et clichés, la musique Jamaïcaine, et en particulier le reggae prend ses sources ici. On voit des groupes mythiques (the gladiators, entre autres…). Sessions d’enregistrement en studio, scène filmée dans magasin de disque ou il y a foule, castings fait dans les cours des maisons du ghetto. La musique en Jamaïque comme moyen de sortir de la misère, mais surtout comme mode de vie.

LA DANSE DE JUPITER Réalisé Renaud Barret et Florent de la Tullaye
Kinshasa : capitale de la République démocratique du Congo. Tout part à Vau l’au. Instabilité économique et sociale, blessures de la guerre civile. Malgré tout la vie continue. Et la capitale est un vivier de talents musicaux. Chacun y va de sa chanson, fabrique ses instruments avec des objets de récup’, voire des détritus. Jupiter, leader d’un groupe de musique nous fait découvrir cette ville dont la richesse vient de ses habitants mus par une envie énorme de vie. Un très beau film, plein d’espoir.

          
Le MK2 proposait trois films :

RADIO ON Réalisé par Christopher Petit

24HOUR PARTY PEOPLE Réalisé par Michael Winterbottom
ce n’est plus la peine de le présenter celui-ci!

HEAVY METAL IN BAGDAD Réalisé par Eddy Moretti et Suroosh Alvi
Ce film relate des difficultés au quotidien d’un groupe de Métal à Bagdad. Primé à de nombreux festivals de cinéma. (Toronto en 2007 et à la Berlinale en 2008)

Se sont ajoutés au programme cinéma toute une série de concerts, ceci tous les soirs!

J’ai réussi enfin après quelques jours de festival  à voler un peu de temps à Olivier Forest, créateur de Filmer la musique avec Eric Daviron. Petite interview :

Toi et Eric êtes à l’origine de FILMER LA MUSIQUE,  comment cette idée vous est venue ?

Olivier : De mon côté, j’ai  fait des vidéos pour des groupes. La question de filmer la musique en ayant le moins de déperdition possible m’intéressait donc. Il y a un truc qui paraît impossible : la musique n’est pas faite pour être filmée. Alors quand j’étais à New York, je suis tombé sur un vidéoclub, Kim’s videoplace. ou il y avait des centaines de VHS et DVD avec des trucs hyper rares, des pirates, des bootlegs, des trucs d’Iggy Pop à la télé, de Joy Division, plein de trésors.
Je me suis dit que ce serait une bonne idée de présenter ce genre de film. De plus, la plupart des festivals de cinéma rock proposent quasiment toujours les mêmes films, en gros une quinzaine. Ces films tournent en permanence, j’avais l’impression que personne n’allait chercher plus loin que ça. En plus, ce sont des films qui parlent du passé. Je trouve que les archives, c’est intéressant, mais je m’attache aussi à la création contemporaine. C’est de plus tombé en même temps que l’explosion de Youtube et Dailymotion. C’est-à-dire que les gens qui avaient des productions indépendantes ont pu commencer à las diffuser, mais un peu chacun dans leur coin. Le but du festival, ça a été de rassembler un peu tout ça.

Dans la sélection, il y a des films assez anciens, mais la plupart sont très récents….Comment s’est déroulée la sélection ?

Olivier : Il y a une programmation que l’on fait à partir de recherches sur internet, des films dont on nous parle, d’autres que l’on va voir, ou que l’on connaît. On est aussi en partenariat avec un magasin de DVD (ndlr : Potemkine, que je vous conseille sérieusement si vous souhaitez trouver des raretés en DVD….foi de cinéphile). Bref, on visionne beaucoup de films. Ceux-ci constituent la plus grosse partie de la programmation. En plus, on lance un appel à projet auprès des écoles d’Art, des écoles de cinéma, auprès des labels indépendants. Ce ne sont pas forcément des professionnels. On cherche des gens un peu "hors radar". L’appel à projet nous permet de faire venir ces personnes. On a des créations hyper-contemporaines.

Y avait-il des contraintes par rapport aux films que vous souhaitiez recevoir ?

Olivier : Non. Les films peuvent avoir deux images….D’ailleurs, c’est un des intérêts du festival. On a mis plusieurs supports, plusieurs moyens de diffusion : une salle de projection (ndlr : la salle XXO, dans la partie supérieure du Point éphémère), qui d’ailleurs a une déco pop et psychédélique avec des meubles vintages qu’on nous prête. On a la « noise Box » ou l’on passe des films aux formats plus étranges, qu’on ne pourrait pas passer en salle de projection et qui tournent en boucle, et puis on a le Mirror Ball Cinema avec cet écran mural sur lequel on passe toutes sortes d’images. On accueille aussi des performances, des concerts. C’est un lieu expérimental et vivant. On a plein de dispositifs pour ne pas se priver de quelque chose : filmer la musique au sens large.

Vous avez reçu beaucoup de vidéos ?

Olivier : On a reçu 400 films cette année. Le double de l’année dernière. La prochaine fois, on espère en recevoir plus, car nous étendrons l’appel à projet à l’Asie et l’Amérique du Sud. Ici, la plupart des films viennent de pays à forte culture rock, donc des pays anglo-saxons.
Deux grandes orientations sortent des projections : la musique comme Art, mais aussi comme lien social.
Quand tu fais une programmation, tu vas instinctivement vers ceux qui te plaisent. Tu ne peux pas te fixer un programme trop serré, c’est difficile de faire rentrer les films dans des cases comme ça. Mais effectivement, dans notre sélection, il y a quelque chose qui se détache. On s’en était déjà rendu compte l’année dernière : c’est que les films qui nous intéressent et qu’on a trouvé les plus beaux, ce sont ceux qui débordent de filmer la musique : quand tu filmes aussi la ville, les milieux d’où viennent les gens, quel est leur style vestimentaire, tout ce que tu peux voir à travers les films musicaux. Cette année, on peut dire ça, il y a une teinte politisée, une forme d’indépendance revendiquée, des choses « self-made », beaucoup de films indépendants, faits de façon totalement autonome. Tout ça mis bout-à-bout, un sens se met en place.

Dans les films du programme quels sont tes préférés ?

Olivier : C’est difficile, mais j’ai un vrai faible pour deux films. Ce sont des films dans lesquels on s’est un peu investis. Le film Dallas qui est un film sur les campements gitans. Le réal, Jean Michel Papazian a filmé un monde qui est à deux pas de chez nous, mais ou il est très difficile de rentrer, avec une caméra encore plus, j’imagine. C’est un film qu’on a beaucoup vu, on en a parlé avec le réalisateur. Il a du le remonter, et la version qu’on présente n’est pas définitive. Et puis, il y a le film de Shanti Masud (but we have the music), qu’elle a réalisé en pensant au festival. L’année dernière, on avait déjà passé un film d’elle, et là, celui-ci a fait l’ouverture. Ce sont des bobines super huit noir et blanc. Elle filme des gens sur une chanson qu’ils aiment

….D’ailleurs on vous voit tous les deux avec Eric sur une chanson de Ramones ("Hey Ho let's go"). En fait, vous êtes branchés  rock, ça se sent dans la sélection.

OLIVIER : oui, c’est un peu notre culture, et on la revendique. On ne veut pas trop se diluer. Il y a des festivals qui font ça, et quand je regarde leurs grilles, je les trouve un peu molles, Ca n’affirme pas grand-chose, nous on suit notre instinct. On fait en quelque sorte avec Eric le festival auquel on aurait envie d’aller. De toute façon, on préfère parler de ce qu’on connaît. Mais il y a aussi un film sur la Jamaïque, un autre tourné à Kinshasa, un film sur les gitans, sur le jazz, sur la musique contemporaine. On aime le rock, le punk, l’électro, mais on reste ouverts aux autres formes de musiques, on n’est pas fermés. Par exemple, j’aime le jazz, qui en plus est un musique très cinégénique.

Vous faites aussi pendant le festival une émission de radio en direct, vous avez déjà une émission sur radio campus

Eric anime une émission qui s’appelle DROPZONE dans laquelle il invite des artistes sonores, cette émission se fait avec le collectif MU (qui a aussi organisé le festival), et Eric et moi on a une émission qui s’appelle Panic city, qui est une émission punk. On invite des musiciens, on discute, un peu en hommage à la radio libre. Un petit souffle de liberté.

L’année prochaine, pour la troisième édition de filmer la musique, quoi de nouveau ?

On va essayer de faire plus de projections au MK2 en pelloche 35 mm, et pourquoi pas avec d’autres salles dans Paris. L’épicentre restera le point éphémère.
On a pas mal de pistes pour l’année prochaine, mais on vous en dit pas plus….

….Dommage.

Mais ce n’est pas grave, car j’irai voir ce que Filmer la musique nous propose l’année prochaîne. Ce petit festival à taille humaine propose un programme vraiment original, et croyez-moi, musique et cinéma font vraiment bon ménage. En éspérant, vous y croiser autour d’une vidéo de karaoké psychédélique, en juin prochain !

Un grand merci aux membres du collectif MU et en particulier à Corinne MACIAS pour son accueil….plein de bonne humeur.

 

 

En savoir plus :
Le site officiel de Filmer la musique
Le Myspace de Filmer la musique
Le site du collectif MU


Sabine         
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