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Interview  (Paris)  vendredi 29 octobre 2010

Quelques jours avant son concert au Divan du monde, Manu nous a reçus très gentiment dans le studio de Manu Lanvin pour une Froggy's Session mais aussi pour répondre à quelques questions autour de la sortie de son premier DVD live.

On s'était rencontré pour la sortie de l'album Rendez-Vous, il y a quelques temps déjà. Arrive maintenant ce DVD, qui est une version sur scène de cet album. Pourquoi ce DVD plutôt qu'un nouvel album que l'on aurait pu espérer 2 ans après la sortie du premier ?

Manu : D'abord parce que le prochain album n'est pas prêt et que, par ailleurs, on m'a proposé de faire une captation du concert de l'Elysée Montmartre (ndlr : en novembre 2009). J'ai sauté sur cette occasion. Avec Dolly, on devait faire un live pour nos dix ans, live qui malheureusement ne s'est pas fait. Ce qui fait que celui-ci est mon premier live. Quand on m'a proposé cela, j'ai bondi de joie. En plus, c'était sur la dernière date de la tournée, dans une salle que j'adore qu'est l'Elysée Montmartre, donc toutes les conditions étaient réunies pour que cela fasse un beau live.

Evidemment, du coup on n'avait qu'un essai, il fallait donc que l'on soit bon. C'était le dernier concert de la tournée. On ne s'est pas raté, et le public a fait le show aussi. Il nous a fait plein de surprises, c'était un moment magique et le fait que ce soit gravé, c'est génial. Symboliquement pour moi, c'était important de faire un live. Je n'avais encore jamais eu cette chance.

Ce live est dans un format un peu particulier puisqu'il est filmé de bout en bout. C'est un choix, c'est venu après ?

Manu :  C'est un choix qui s'est imposé naturellement quand on a visionné les rushes. Cela ressemblait vraiment à un plan séquence. Cela partait des loges, avec tout ce qu'il se passe avant la montée sur scène et on a poursuivi dans cette voie jusqu'à la fin du concert, c'est-à-dire que même entre les rappels, et jusqu'au retour en loge c'est comme cela.

Et je trouve cela bien car quand je vois un dvd live d'autres artistes, je suis frustrée de ne pas savoir ce qu'il se passe juste avant que le groupe arrive sur scène. Est-ce qu'ils sont comme moi ? Est-ce qu'ils ont le trac ? Est-ce qu'ils rigolent ? Après le concert aussi, qu'est-ce qu'il se passe ? Est-ce qu'ils s'engueulent ? Est-ce qu'ils sont contents ?

On voit tout cela sur ce DVD, y compris des choses que j'aurais préféré enlever mais bon, en fait on a tout laissé.

Tu penses que cela va être reçu par tes fans de la même façon que tu le ressentirais vis-à-vis des groupes dont tu es fan ?

Manu : Oui je pense, c'est un objet assez conséquent. C'est beau, c'est très complet. Cela dure 1h40 sans coupure, il y a plein d'invités, des inédits, un cd audio qui l'accompagne, des clips, le making off de plus d'une heure de Nicolas Robin, qui a également réalisé le DVD live, sur les coulisses de la préparation de l'album. En tant que fan, c'est ce que j'aurais aimé voir. On a fait le DVD que l'on aurait aimé voir des groupes dont on est fan en fait (rires).

A propos de fans, le dossier de presse indique plus de 10.000 exemplaires vendus de Rendez-Vous, ton premier album. C'est un beau chiffre de vente, il y a une grosse base de fans qui te suivent... depuis Dolly ?

Manu :  Oui sans doute, mais il y a également un nouveau public en plus de ceux qui suivaient Dolly et qui m'ont découverte avec cet album solo. Mais j'ai été également agréablement surprise car c'est vrai qu'à l'époque actuelle, 10.000 albums, sur une structure indé, c'est vraiment pas mal et nous sommes vraiment contents.

Il n'y a plus de label derrière vous pour le moment, encore moins de major...

Manu : Pour le DVD, il est clair que nous sommes indé de chez indé. On fait tout nous-même. C'est un production maison, avec un label que nous avons monté (Tekini records). Nous avons monté ce label pour Rendez-vous, même si nous avions à ce moment là quelques partenaires pour nous aider car nous ne maitrisions pas tout. Mais pour le DVD, on est en autonomie totale.

C'est un choix de ne pas avoir de partenaire ? Une résignation ?

Manu : C'est un choix pour cet objet là. Pour le prochain album, je ne sais pas. On fonctionne un peu au coup par coup, au fil des rencontres. Jusqu'alors je ne me suis jamais trop retrouvée avec les partenaires avec qui j'ai travaillés. On n'est jamais si bien servi que par soi-même. Mais  c'est compliqué car on doit avoir plusieurs casquettes. Si j'avais le choix, je préfèrerais ne faire que de la musique : composer et écrire. Mais il faut mettre la casquette de productrice, savoir ce qu'on va faire au niveau marketing, promo... C'est intéressant, cela permet d'apprendre mais c'est un petit peu compliqué. On a une totale liberté mais en contre-partie, on a une force de frappe moins importante que lorsque l'on est sur une major ou un gros label.

De toute façon, un DVD n'est pas ce qui se vend le mieux et l'idée n'est pas de faire de l'argent. Sinon on aurait fait autre chose... on aurait même fait un autre métier je pense (sourire). En tout cas c'est un bel objet, on en est fier et on ne voulait pas qu'il soit dénaturé par des gens qui n'auraient pas compris l'histoire.

C'est donc une production sans contrainte et sans compromis ?

Manu : Non, si ce n'est que nous avons quand même un distributeur qui a bien compris l'histoire mais pour le reste, pas de concession. On le sort comme on a eu envie de le sortir et beaucoup de gens nous ont aidés pour cela. Il y a eu beaucoup de bonne volonté. Nicolas Robin a fait cela avec tellement d'amour et un regard tellement tendre. Il connait bien les morceaux et nous connait bien maintenant. Tout ce travail d'étalonnage qu'ils ont fait, les couleurs, le grain... on est presque proche du documentaire parfois et il ne fallait pas mettre ça dans n'importe quelles mains.

C'est un bel objet jusqu'au bout, qui coûte cher et qui rapporte peu mais c'est un bel objet (rires).

Nicolas Robin a vraiment bossé tout le temps ou bien a-t-il perdu son temps à faire des jeux vidéos sur son ordinateur (ndlr : en référence à son émission "Temps perdu" sur Nolife consacrée aux jeux vidéos flash auquels on peut jouer sur son lieu de travail) ?

Manu : Nicolas nous a maudits pendant presque 2 ans car il n'a pas eu le temps de jouer beaucoup (rires). Depuis l'album où il était venu prendre des images pour le making off, et puis ensuite le DVD, qui représente des mois de montage car il est très méticuleux, très exigeant, jamais content. Mais j'aime bien même si parfois il faut le stopper car il retoucherait à l'infini. Il y a aussi Pili (Philippe Nègre) qui a participé au montage et qui a fait le clip de "Tes Cicatrices" et Sinh Vu Do qui a fait l'étalonnage.

Tout cela a pris du temps car ce sont des gens très occupés et parce qu'ils ont mis tout leur coeur là-dedans mais à mon avis, il n'a pas eu beaucoup de temps pour les jeux vidéos. Par contre, Nicolas a fait l'acquisition d'un bel écran, ce qui nous a permis de voir le montage sur un grand écran ! (rires)

Le DVD vient de sortir et ce concert au Divan du monde vient fêter l'évènement. C'est pour tourner définitivement la page de Rendez-Vous ?

Manu : Ce concert est pour fêter la sortie du DVD mais on espère aussi qu'il y aura d'autres concerts en province au début de l'année prochaine, au printemps toujours pour accompagner le DVD car on lui espère une longue vie. Les albums passés les trois premiers mois, ils n'existent plus mais le DVD, en tant qu'indé en plus, on peut lui imaginer une vie plus longue. Donc on continue les concerts et en parallèle, on travaille sur le prochain album qui, on l'espère, sortira avant la fin 2011.

J'allais justement demandé si tout cela laissait le temps de travailler sur un futur album...

Manu : Oui car il n'y aura pas flopée de dates. Ce sera juste pour marquer le coup, se faire plaisir. Mais dès le début de 2011 avec Nikko, Ben et Nirox, on va se remettre à bosser tous les quatre.

Cette fois-ci, on va procéder autrement que pour le premier album. Ce que j'aimerais et avec quoi les garçons semblent d'accord, c'est de répéter, enregistrer les répétitions et au final, pourquoi pas, les garder. Garder certains morceaux au niveau de la musique qui parfois n'ont pas besoin de retouches. Il y a des moments magiques comme ça. On va faire cela, quelque chose d'assez brut, d'assez spontané et puis après je referais mes voix, quand même faut pas déconner (rires).

C'est une idée qui est venue après le DVD ? C'est l'envie de live qui persiste ?

Manu : Peut-être, c'est ce que je préfère le live. Et puis j'aime bien quand ça va vite. De plus en plus... je suis de plus en plus impatiente.

Les compositions à venir vont-elles se faire sous forme d'un groupe ou bien cela va être Manu et les garçons en backing band ?

Manu : Cela va toujours être "solo" car on est parti sur ce projet là qui vient de moi, ensuite Nikko qui est venu m'aider à faire la production, à décorer les morceaux et puis j'aime bien partir des instrumentaux de Nikko. Donc on travaille à quatre, on a 5 ou 6 morceaux en chantier qui sont pas mal mais c'est vrai que je prefère toujours travailler avec Nikko après pour voir la couleur, ce que ca va donner... Mais cela restera toujours un projet solo dans la mesure où j'aurais le dernier mot. Je suis la chef ! (rires).

On reste pour autant avec des musiciens qui sont les mêmes.

Manu : Oui, cela s'est tellement bien passé. Et puis j'ai du mal à faire de la musique toute seule, j'ai toujours été en groupe. J'ai du mal à trouver cela amusant à faire de la musique toute seule. Du coup, j'ai trouvé 3 bons lascars et je vais en profiter !

Tu disais que tu souhaitais toujours avoir le dernier mot sur une chanson, mais est-ce également toi qui amène toujours les premiers ?

Manu : Oui, cela part toujours d'une base. Quoique là j'avais du mal au début. Il a fallu que l'on fasse quelques répétitions ensemble pour que j'ai le déclic. J'avais du mal à partir. C'est plus simple de toute facon d'avoir une personne qui se lance d'abord pour ensuite partir ensemble. Et puis ce sont mes textes aussi. C'est l'avantage de ne pas être en groupe. Parce que je me souviens avant (ndlr : avec le groupe Dolly), les garçons pouvaient m'emmerder juste pour un mot. Maintenant, le texte est comme ça et voilà. Si vraiment cela leur donne des boutons, on peut discuter mais en général, il n'y a pas de souci car si on joue ensemble, c'est avant tout parce qu'on est fan les uns des autres. C'est du plaisir, de la passion. Si on commence à se prendre le chou, cela ne vaut pas le coup, il y a suffisamment d'occasions de le faire par ailleurs. Cela peut-être un moteur le "fighting" mais je n'aime pas ça, je n'ai plus envie de ça !

Tu as joué pour la Froggy's Session un nouveau morceau en japonais, il y en avait déjà un sur Rendez-Vous avec une pochette un peu "manga" par ailleurs. C'est une direction possible, c'est un univers qui t'attire ?

Manu : Ce sont des clins d'oeil car je ne maîtrise pas du tout la langue. J'ai la chance de connaître une personne comme Suzuka Azaoka qui fait des textes sublimes, car "Tenki-ame" est superbe, c'est une chanson d'amoureux qui s'appelle en français "Sourire sous la pluie". L'expérience de "Suteki Ni" que Suzuka avait écrit sur le premier album m'a fait me rendre compte que c'était agréable de chanter en japonais. Cela m'a plu alors que je ne pensais pas et en plus, cela n'a pas été aussi laborieux que ça. Ceci dit, pour prétendre faire un album entier en japonais, il faudrait quand même maîtriser la langue.

C'est un marché qui pourrait t'attirer ?

Manu : Ah oui ! Tous les marchés m'intéressent (rires). C'est vrai que j'aimerais bien aller au Japon. Mais peut-être qu'avec ces 2 morceaux là, on pourrait commencer des démarches.

Sur le DVD, il y a eu quelques invités...

Manu : Oui, il y a Manu Lanvin – nous sommes d'ailleurs dans son studio –, la Chocolaterie, qui est venu faire "T'es beau t'es con", Benoit Delacoudre de Maxi Monster Music Show qui est venu faire un petit coup de trompette, Matt Murdock, ici présent (ndlr : il a joué en duo sur "Glitter" pour la Froggy's Session) qui a fait un peu de guitare. C'était notamment pour surprendre un peu le public, que cela change un peu car nous avions déjà fait deux dates parisiennes. Mais en fait, c'est le public qui a fait le show, qui nous a fait des surprises et de taille. Ils avaient préparé des confettis, des ballons, ils ont mis des chapeaux sur "Cowboy" mais au moment des rappels, quand on est remonté sur scène et que l'on a vu cette mer de petits papiers avec écrit "Merci" dessus, c'était plus qu'émouvant, cela m'a bouleversée. D'ailleurs, je le vois sur le DVD, je suis complètement déconcentrée.

Matt Murdock : D'ailleurs, elle n'est pas loin de verser une larme (rires). Il y a beaucoup d'amour envers Manu. Les gens sont beaucoup touchés notamment par les textes. Il y a un public assez féminin aussi, quoique c'est pareil pour les garçons.

Philippe Buton: C'est vrai que Manu a toujours été très accueillante envers son public, à l'époque de Dolly c'était pareil...

Manu : En tout cas, pour les mercis, je n'avais jamais vu cela... Tout le monde a joué le jeu en plus, parce que je suppose que tout le monde n'est pas arrivé avec leur feuille "Merci" donc c'était super efficace ! En tout cas, moi qui ne prépare jamais rien à dire entre les morceaux, ce qui fait que je dis beaucoup de conneries, mais alors là, à partir de ce moment,c'était parti... On m'a complètement perdue, je crois (rires).

Pour en revenir à ces collaborations, c'est quelque chose que tu voudrais renouveler ou bien aller chanter sur les albums des autres ?

Manu : J'ai fait pas mal de collaborations du temps de Dolly, j'adore ça. J'aime bien quand c'est spontané, comme quand Filou (ndlr : Philippe Buton qui a joué sur "Un beau Jour" pendant la Froggy's Session) a pris la guitare. Mais je n'arrive pas à écrire pour d'autres par contre. Il faudrait peut-être que je m'y mette mais pour l'instant, je n'ai pas réussi même si j'ai plein d'envies de collaborations sur mes projets. Sur le live, c'est plus facile.

Par contre, j'ai souvent été invitée. D'ailleurs, comme je ne sais pas dire non, il y a des trucs plus ou moins bien... Mais en général, c'était bien. J'ai fait un super duo avec Manu Lanvin, un truc assez étrange avec Apocalyptica... Etre sur scène avec eux, c'est assez... étrange (rires).

Si quelqu'un te proposait de faire un album avec lui/elle, qui aimerais-tu que ce soit ?

Tous : Johnny, comme ça, cela remplit vite fait le compte en banque. (rires)

Manu : Oui, une chanson devrait me payer le loyer pour quelques années ! Cela me suffirait ! Il y a plein de gens que j'aime mais entre aimer leur musique et avoir envie de travailler avec eux, ce sont deux choses différentes. Je suis très fan de Keren Ann mais est-ce que j'aurais envie de travailler avec elle ? Je ne sais pas...

Matt Murdock : Il y a Frank Black qui a appelé tout à l'heure, pour faire un album avec toi. (rires)

Manu : Ah ben j'y vais, là ! J'aimerais bien aussi essayé de ne faire que de la guitare dans un groupe, et faire les choeurs, sur des morceaux d'un autre, la pression ne serait pas que sur mes épaules à moi. Dans un groupe qui envoie !

Pour finir sur une question à la con, si tu devais mettre en musique un livre, quel livre choisirais-tu ?

Manu : Difficile, qu'est-ce que j'ai lu cet été... Ah oui j'ai lu un truc d'ado, True Blood, et j'ai regardé la série après. La BO de True Blood est mortelle. C'est très bayou, crade, bluegrass.

Je ne trouve pas... c'est des trucs d'intello, ça ! Mais j'aimerais bien essayer de faire de la musique pour un court-métrage pour commencer mais je ne sais pas si j'en suis capable. Je vois plus d'images quand je fais de la musique que réussir à mettre de la musique sur des images.

Peut-être que tu devrais écrire un scénario, en fait.

Manu : Peut-être... Il faudrait que je me lance. Au début, je ne chantais pas en français et maintenant j'adore ça ,alors... On se revoit dans 10 ans ! (rires).

Le mot de la fin ?

Manu : Je ne remercierais jamais assez les gens qui ont participé au DVD. Il y a une longue liste...

Matt Murdock : J'aimerais faire un petit complément à ce que a été dit tout à l'heure sur les maisons de disques. Si les partenaires ne sont pas des gens qui croient au projet à 100% en se mettant au service de l'artiste, cela n'a pas grand intérêt, ce n'est qu'une banque. Une banque qui prend de gros pourcentages donc à l'intérêt assez limité.

Là, il y a des partenaires quand même mais c'est par exemple Planete Live qui est un studio d'enregistrement, Nolife qui file tous les coups de main possibles. Ce sont plus des partenariats de passion. Dans une banque, quand tu fais un emprunt, tu as déjà un taux de... je ne sais pas combien mais dans la musique, c'est 50 % le taux. L'édition, c'est 50% et en production, ils prennent 90% si t'es un artiste. Mais si tu n'as pas un "putain" de manager comme il y a pu y avoir dans le rock, et si c'est pour être dans une maison de disque qui ne joue que le rôle d'une banque, l'intérêt est très limité.

Et Manu n'est pas toujours tombée avec des bons partenaires. Tant qu'il n'y a pas la personne idéale, c'est difficile. Il y a des partenaires avec nous mais ce ne sont pas des maisons de disques. Il n'y a pas de règle non plus. Tu vois, on a Nolife et pas MTV... et pourquoi pas mélanger les genres !

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Crédits photos : Thomy Keat (Toute la série sur Taste of Indie)


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