Spectacle musical conçu par Stefano Amori, Nigel, Hollidge et Armel Petitpas, interprété par Nigel Hollidge, Antonio Interlandi et Armel Petitpas accompagné au piano par Vincent Gaillard (en alternance avec Daniel Glet).
Stefano Amori, Nigel Hollidge et Armel Petitpas ont conçu un spectacle inspiré du divertissement populaire d'un autre siècle, celui de la "revue-théâtre" comportant une succession de numéros et attractions, dispensé dans les nombreux théâtres qui, au 19ème siècle, officiaient sur le Boulevard du crime, puis dans les cabarets montmartrois .
Il rend également hommage, de manière indirecte, aux artistes de musi-hall dont le nom n'a jamais figuré en haut de l'affiche et qui cachetonnaient consciencieusement jusqu'au bout de la nuit.
"Argent, dette et music-hall" est toutefois ordonné autour d'un thème, celui de l'argent, et, placé sous le dispensable procédé de la mise en abime, en une double déclinaison, celle du spectacle dans le spectacle et de l'incursion dans les coulisses. Accompagnés au piano par Vincent Gaillard ou Daniel Glet, Armel Petitpas, Nigel Hollidge et Antonio Interlandi alternent chansons, puisées entre autres dans le répertoire musical de la chanson fantaisiste des années 1930, qui font le grand écart stylistique entre Kurt Weill et Didier Super, ithéâtre d'ombres chinoises, magie, ventriloquie et transformisme.
Dispensée avec humour et générosité, cette fantaisie proposée par la Compagnie Tro-Didro , sans images vidéo, micro ni boule à facettes, ravira les amateurs de spectacle vintage délivré "dans son jus". |